Le repas se déroulait dans le plus grand de tout les calmes. Le repas succéda aux entrées et à vrai dire Albafica et Kardia n'avait jamais vu autant de nourriture rassembler sur une même table. Les assassins se dirent qu'ils avaient vraiment beaucoup de chances mais d'un côté ils se dirent que tout ça, tout ce qu'avait les nobles ils n'avaient qu'a se baisser pour le ramasser alors qu'eux...ils devaient s'arracher pour pouvoir l'effleurer.
Ce qui paru étrange c'est que tout au long du repas malgré le début de discussion qu'avait débloqué Séraphina, quelque chose les mettaient mal à l'aise. Et cela était dût au regard oppressant d'Aspros. Ils ne savaient pas comment le prendre, de plus cette homme était à la fois simple et difficile à cerner. Et quelque chose en eux criait "ne lui fait pas confiance".
« -oh et j'aimerai inviter mon frère pour le mariage, cela ne pose aucun inconvénient j'espère ?
-bien sur que non ma mie, ne pas inviter sa famille pour son mariage ce serai là un inconvénient.
-je le savais et puis cela fait si longtemps que vous ne vous êtes pas vu avec Unity ! »
Séraphina déborder de joie, Degel avait bien de la chance, il détenait un bout de soleil que personne n'aimerait éteindre.
Le repas s'acheva et un petit peu malgré eux Kardia et Albafica demandèrent à rentrer chez eux. Leur petite maison leur manquer mais ça ils ne le dirent pas à voix haute. Et contre toute attente alors qu'ils se dirigeait vers la calèche Degel les intercepta :
« -excusez moi mais...Tenez Albafica, il lui donna une petite enveloppe, j'y est écrit mon adresse si jamais Kardia ne se sens pas bien ou quoi que se soit, n'hésiter pas à venir.
-...euh merci...merci beaucoup et remercier Manigoldo de ma part aussi. »
Degel lut beaucoup de gratitude dans le regard d'Albafica, il ne savait pas ce qu'avait dit son ami pour le rassurer mais il savait de quoi il s'agissait.Et même si oui Manigoldo aime faire le pitre, Degel savait qu'en matière de réconfort c'est lui qui comprenait le mieux lespersonnes qu'il croisait.
Kardia voulut lui aussi le remercier mais quand il affronta le regard de Degel, ses mots s'envolèrent et il le remercia d'un regard chargé de gratitude et de franchise. Degel lui renvoya son regard. L'assassin malade savait désormais qu'il aurai une personne sur qui s'appuyer pour l'aider.
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« -voila monsieur nous sommes arrivé.
-merci.
-tu es sur que c'est ici Asmita ?
-non je ne m'y suis jamais rendu.
-ah. »
C'est sur ces paroles rassurante que Deuteros avait poser le pied à terre prenant son cheval par les rennes en passant devant. Ils étaient devant une assez jolie demeure plutôt modeste pour un quartier assez riche, ce devait être une résidence secondaire ou quelque chose de ce genre.
Un majordome était devant la porte et en voyant Asmita il alla prévenir son maitre.L'inviter et le clandestin furent emmener dans un salon le temps de patienter.
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The Last Canvas
FanfictionDans le Paris du XVIIIè siècle, deux assassins nés dans la misère et la pauvreté sont obligés de tuer pour survivre. Tuer ou être tué. Mais leur destin change du tout au tout dès lors qu'ils rencontrent deux nobles qui leur apporterons leur aide. Vo...