23 - Piégée

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⚠️ Salut tout le monde!
Je n'aime pas écrire en début de chapitre mais c'est important!
Tout d'abord c'est le dernier chapitre avant l'épilogue et donc la fin du Tome 1. C'est un chapitre que j'ai beaucoup hésité à écrire et par la suite à poster. Il est vraiment dur à écrire et j'imagine à lire. Je m'excuse d'avance et déconseille la lecture aux plus sensibles ⚠️

















Un quart d'heure qu'il est sorti de ma chambre, un quart d'heure que je suis en boule sous ma couette, la tête dans mon oreiller pour étouffer mes sanglots.

Je décide de sortir et d'aller trouver du reconfort auprès de mon poney. J'ai l'impressoin que dans ses moments, il est le seul à me comprendre. Arrivée devant son box, j'explose une nouvelle fois en larmes. J'entre dans son box, il est couché, je m'assoie a côté de lui et il vient collé sa tête à mon épaule.

- Pourquoi ? Pourquoi je n'ai pas vu plus clair dans son jeu ? Je savais qu'il préparait quelque chose, mais j'étais loin d'imaginer ça.

- Louise ?

C'est Luc. Il a du m'entendre pleurer. Il est devant la porte du box.

- Louise qu'est-ce qu'il se passe?

- Je, impossible de continuer que j'explose en sanglot.

- Viens on va aller parler au calme.

Je ferme la porte du box et le suis jusqu'à son bureau. J'entre en première, et il ferme la porte. J'entends qu'il la ferme à clé mais je ne relève pas. Je suis beaucoup trop mal pour faire attention à ce qui m'entour.

- Vas-y assis-toi.

Je m'éxécute et il s'appuie en face de moi sur son bureau.

- Alors explique-moi ce qu'il s'est passé.

Je souffle plusieurs fois pour me calmer.

- On sortait ensemble avec Jules depuis un peu moins d'un mois.

Ouai avec les vacances et le stage on doit bien être à trois semaines et demies voire un mois.

- Woaw et bien ça pour une surprise.

-Ca fait pas mal de temps qu'on se tournait autour mais sans jamais rien se dire. Un jour on a sauté la pas et on a décidé de sortir ensemble, d'essayer.

Pendant que je parlais, Luc s'est abaissé à mon niveau.

- Et tout à l'heure on s'est disputés parce que j'ai découvert qu'il s'était servi de moi.

- Je vois. Ne t'en fait pas, il ne sait pas la chance qu'il avait de t'avoir, me répond-il en posant une main sur ma cuisse.

- Je-

Je n'ai pas le temps de répliquer qu'il plaque ses lèvres sur les miennes. Je suis tétanisée, je ne bouge pas. C'est quand ses mains s'aventurent sous mon t-shirt que je réagis et le repousse. Je me lève et me dirige vers la porte mais il me rattrape par le poignet et me coince entre lui et le bureau.

- Luc qu'est-ce que tu fais ?

- Ce que j'aurais du faire depuis longtemps. Je vais te montrer ce que c'est un homme, un vrai. Tu vas être tellement bien que tu vas oublier ce morveux.

Je suis paralysée par la peur. C'est impossible . Pas lui. Il a toujours été un modèle pour moi. Comment peut-il dégénérer à ce point ?

- Non Luc ! Je t'en supplis n-

Il coupe mes cris en plaquant une nouvelle fois ses lèvres aux miennes. J'ai envie de hurler. Comment ma journée à pu dégénérer à ce point ? J'aimerais tellement que Jules vienne me sortir de là.

C'est stupide Louise, comme si on pouvait communiquer par la pensée. On n'est pas dans un film, personne ne viendra te sauver.

Une de ses main déboutonne mon pantalon tandis que l'autre tient mes mains au dessus de ma tête. Il réussi je ne sais comment, à me faire ouvrir la bouche et enfonce un morceau de tissus pour me bâillonner.

Non ! Je ne peux pas le laisser faire. J'essaie de bouger mais avec son poids plus la façon dont il est positionné, je ne peux pas bouger; je suis bloquée. Je suis piégée. J'essaie de me débattre mais il me frappe. Ma tête se retrouve sur le côté et les larmes descendent abondamment sur mes joues.

Il baisse mon pantalon et monte sa main libre sur ma cuisse droite,  jusqu'à ma culotte avant de la baisser elle aussi. Je le vois déboutonner son pantalon à son tour et le descendre en même temps que son caleçon. Je détourne le regard vers la porte; priant pour que quelqu'un débarque à cette instant précis mais rien n'y fait. Il va vraiment effectuer cet acte barbare. J'entends un papier ce déchirer et il vient se coller à moi. J'ai envi de vomir. Il me dégoute.

- Tu vas voir, tu vas avoir du plaisir.

Et voilà comment en moins de deux heures j'ai tout perdue. Il m'a pris ma virginité et mon innocence. Il n'a pas hésité à profiter que je sois faible pour me violer. Après avoir fini son affaire il m'a rhabillée en vitesse avant de jeter en dehors de son bureau. Je me dégoûte, je me sens sale. J'ai envie de mourir.



•••

Je suis désolée pour cette fin🥺

Même si c'est un acte horrible qui est représenté ici, j'aimerai votre avis sur ce chapitre...

À la prochaine ❤️

Sport étude Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant