Chapitre 67

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Je viens de me  réveiller, Léna n'est plus dans le lit, elle est sur mon bureau en train  d'écrire. Je décide de la taquiner un peu, je prends un oreiller et lui  lance.
L'oreiller atterrie sur sa tête, ensuite sur le bureau ce qui renverse son verre d'eau.

-Léna: Putain ! Ryland tu fais chié ! Je venais de finir ma rédaction ! Tu vas me le payer !

Elle se lève et saute sur le lit, et me tape avec l'oreiller que je lui ai lancé.

-Ryland: Arrête arrête !

Nous sommes morts de  rire à ce que nous sommes en train de faire, je me lève, la prend par la  taille et la fait tomber brusquement dans le lit. Le coussin qu'elle  tenait tombe à terre. Je me mets au-dessus d'elle, et tiens ses mains  au-dessus de sa tête.

-Ryland: Tu veux jouer à ça, on va jouer..

Je me lève et la traîne  avec moi (je la tiens toujours par les mains). Je prends un foulard à  Léna et la repose sur son lit. J'enroule le foulard autour de ses  poignets, le serre et l'attache à mon lit. Elle ne peut plus bouger ses  bras, elle est sans défense. Elle sait très bien ce que je compte faire,  la chatouiller.

-Ryland: Par contre ça va pas bien avec tous ces vêtement...

-Léna: Tant pis ah ah !!

-Ryland: T'inquiète j'ai la solution à ce petit problème...

Je soulève son tee shirt  et le passe au-dessus de sa tête, il reste sur ses bras comme je l'ai  attaché... J'enlève ses chaussettes et commence à déboutonner son jean,  elle me tape ave ses jambes en rigolant, mais j'arrive vite à la  contrôler.

-Ryland: Calme, chuuut.

Tout le monde est encore en train de dormir, je n'ai pas vraiment envie qu'il débarque.

Je reprends en enlevant  doucement son pantalon, et le jette dans la chambre. Je lui embrasse la  joue et je me lève pour aller chercher deux autres foulards. Je lui  attache les jambes de part et d'autres du lit.

Je vais fermer la porte à clef. Et retourne vers ma beauté, je la regarde, lui sourit et lui chuchote à l'oreille.

Ryland: C'est partie...

Je commence à la chatouiller. Elle est très chatouilleuse. Elle rigole en essayant de se débattre.

Pendant plusieurs minutes nous rigolons, elle souffre de mes chatouilles, c'est drôle.

-Léna: S'il te plais !! Arrête !!

D'un coup j'arrête tout.  Je prends la couette qui est au bout du lit et la met sur nous. Je me  tiens au-dessus d'elle. Je l'embrasse tendrement, descend sur son cou,  en y laissant quelques traces rouges qui vire au violet.

-Léna: hum... arrête... faut que... que tu réécrit la rédaction...

J'enlève mon teeshirt et  le reste de mes vêtements, je continu de lui embrasser son cou et lui  arrache les seuls vêtements qui restées sur elle. Je dois avouer que de  la voir allonger et attacher dans mon lit m'a excité.

-Ryland: je te l'écrirai après ta rédaction, pour l'instant on va s'amuser un peu, ok ?

Elle me fait un signe de tête et je reprends.

-Ryland: allons y...

[...] Lundi

-Léna: Bébé, réveille-toi... il faut que tu me conduises en cours.

Je ne réponds pas

-Léna: Allez bébé, sinon tu vas devoir te passer de moi, je repars chez les parents si tu ne te lèves pas. T'a 3 secondes.

Je ne réponds toujours pas.

-Léna: Tu l'auras voulu.

Elle se lève du lit, et immédiatement je lui prends le poignet et la tire dans le lit.

-Ryland: Je me lève, un bisous avant, et tu sais si tu repars chez tes parents, je te suis.

-Léna: Ouais, en parlant de ça, faut qu'on en parle ce soir, enfin cette aprèm, je fini à 14h30.

Je lui souris, me lève et part enfilé un jogging et un tee shirt. Souvent je me lave après l'avoir conduit.

[...]14h45

Léna et moi venons d'arriver à la maison.

-Léna: Ryland vient, je dois te parler...

Léna et moi montons dans la chambre. Nous nous asseyons sur le lit.

-Léna: Tu sais,  j'aime vraiment vivre ici, avec vous. Mais... ma mère veut que je rentre  à la maison... je ne savais pas comment te le dire... en plus c'est toi  qui s'occupe tout le temps de moi, de me conduire de revenir me  chercher...

-Ryland: Ah.... Mais  je n'ai pas envie que tu partes moi... c'est pas grave, je continuerai  de te conduire et de venir te chercher... je t'aime, peut importer où tu  habites.

-Léna: Moh... moi  aussi je t'aime, ma mère veut que je rentre, parce que c'est les cours,  mais dans 2 mois je suis en vacances, et je pourrais revenir.

-Ryland: En voilà une bonne nouvelle.

A la fin de ma phrase, je l'embrasse tendrement. Et lui glisse un petit "je t'aime" contre ses lèvres...

-Léna: Allez vient, on descend.

Nous descendons rejoindre toute la famille dans le salon, et nous regardons la télé.

R5 Léna ParkerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant