Revanche 2 !

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PDV ZEUS

Nous étions sur l'Olympe. Tous les dieux étaient rassemblés, appelés par la déesse Athèna. Celle ci était au centre de la pièce de marbre blanc. Elle se contentait de nous regarder gravement.
Je me redressais sur mon trône et m'adressai a elle.
- Athèna, commençai je. Pour qu'elle raison à tu fais venir les douze dieux ?
Mais je fut interrompus par Apollon.
- Ouais parce que j'étais en train d'écrire un poème moi, se lamenta t il.
Athèna lui décrocha un regard peu amène.
- Bien puisque nous sommes tous réunis, je vais prendre la parole, commença t elle.
-Nous t'écoutons, m'informai je d'un ton solennelle.
Elle soupira avant de reprendre la parole.
- Comme vous le savez, nos pères, Zeus Hadés et Poseidon, ont enfermé à la colonie des sang mêlé, une enfant au pouvoir puissant quoique mystérieux. Et comme vous le savez tous, si cette enfant meurs, nous mourrons avec elle.
Hadés fronça les sourcils.
- Ou veux tu en venir, déclara t il d'une voix d'outre tombe.
Athèna prit une inspiration.
- Et bien, reprit elle. Je suis allé à la colonie et je l'ai observé pendant un moment. ( Sur ma droite, je sentis Poseidon se tendre ). Et alors qu'elle ressortait de l'eau après une baignade, je l'ai vu se tordre par terre.
Aphrodite fronça les sourcils.
- Se tordre, souligna t elle.
- Oui, confirma Athèna. Elle se tenait le ventre et criait avec une telle souffrance dans la voix... elle ne cessai de répéter : « Mon ami et ma liberté ». Je ne comprends pas le sens de ces mots, mais j'ai la très nette impression que...
( elle se tourna vers nous, mes trois frères, avec gravité et une once de reproche ). Je crois que le mauvais sort que vous lui avait jeté, est en train de la tuer en ce moment même.
Ces paroles restèrent en suspens dans l'air comme un sort puissant. Je réfléchis un instant. On ne pouvait pas la laisser libre, mais si elle meurt nous mourons.
Nous n'avions pas le choix. Je me levai alors, et entreprit de prendre la parole.
- Dans ce cas, je crains que...
Mais à peine ai je finis ma phrase qu'un iris mail apparut au centre de la pièce. Il s'agissait de Chiron. Derrière lui, se tenait la barrière magique qui ne cessait de devenir transparente puis bleu. Comme si on l'a frappé. Il y avait également un bruit sourd et horrible derrière.
Le visage de Chiron trahissait une peur que l'on ne lui connaissait pas.
- Vous devez venir immédiatement, dit il paniqué.
Je descendis les marche de mon trône et m'approchai de l'iris mail.
- Que ce passe t il Chiron, demandai je.
- C'est Alison, expliqua t il. Elle est devenue folle !
Mais soudain, Chiron fut projeté à terre par une explosion et deux personne apparurent alors. Un satyre et une nymphe.
- Que ce soit bien claire, elle n'est pas devenue folle, souligna la nymphe. Ces cheveux volaient au vent sans aucune brise et ses yeux brillaient par sa colère. Vous les dieux vous l'avez empoissonnée !
- Vous l'avez privé de sa liberté, renchérit le satyre. Maintenant regarder le résultat !
Ils s'écarteront de l'iris mail et on pus voir le désastre.
Les bungalows étaient en feu, l'herbe était devenue noir. Le ciel d'ordinaire si bleu était envahi par un orage menaçant et dangereux avec des éclairs plus puissant que les miens. Des éclaires rouges.
Et devant la barrière magique, on voyait quelqu'un entourait d'une magie doré qui essayait avec puissance de détruire la protection magique de la colonie. Cette dernière, semblait être sûr le pont de céder.
Il s'agissait d'un chaos semblable à celui que provoqué les titans autrefois.
Le satyre et la nymphe revinrent devant le champ de vision. Leurs visages étaient couverts de suie et leur vêtement déjà pas nombreux, étaient troués.
Leurs visages, blessés, évoquaient une telle haine et rancoeur qu'on eu dis que l'on était des humains. Voir même, plus horribles que ça.
- Vous avez intérêt à venir réglés ça et à vous faire pardonner de votre crime, prévint le satyre.
- Sinon, contra la nymphe avec la même haine. Vous aurez gagné trois ennemies. Les satyres, les nymphes et cette même enfant que vous avez opprimé !
- Vous livrerez le plus dur combat de votre existence ! Hurla le satyre. Alors ramenez vos culs ! Et arrêtez la !
Et puis plus rien. Ils avaient déconnecté l'iris mail. Un silence de plombs s'abattit sur nous.
Puis soudain, Apollon se leva.
- Il m'en coûte de l'admettre père, commença t il en se tournant vers moi. Mais je crois qu'ils ont raison. Nous nous sommes mal comporté envers cette enfant. Nous l'avons kidnappé et ensuite enfermé comme une bête sauvage. Maintenant, c'est ce qu'elle est devenue. Mais je crois, que nous ne sommes pas obligés d'utiliser la violence pour la vaincre.
- Que suggère tu, interrogea Poseidon.
- Et si nous lui montrons juste que nous ne sommes pas ses ennemies ? Déclara t il.

Moi et les dieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant