Je partirais loin de tout, pour ne lui souffrir encore plus, le coeur meurtrie de me pensée loin de lui, mais je ne fais que le protéger, ce petit être qui grandit en moi le fruit du bonheur que j'ai avec lui, je ferais tout pour qu'il est une vie pleins de bonheur. Cet homme m'est indispensable, je me pensée jamais pouvoir dépendre d'une personne, et avec lui je suis devenu, accro, dépendante à son amour, à ses câlins, son sourire bienveillant. On se pense fort pour tout affronter dans la vie, on se construit une carapace pour nous protéger du monde extérieur par peur de souffrir, car le monde n'est pas tout rose, loin de là, remplis de mauvaises personnes, le monde est régit par ceux qui veulent du pouvoir et non la chose la plus pur au monde l'amour.
Je pars m'asseoir sur le fauteuil près de la fenêtre mon téléphone à la main, je cherche le courage nécessaire pour me convaincre que c'est une bonne décision. Serrant fortement le mobile dans mes deux mains, cherchant à comprendre pourquoi on s'acharne comme ça sur nous ?
Je vide mon esprit et telle un robot, j'appelle ma mère, personne ici ne m'aidera même pas mon ami Oskar, mais ma mère même si elle n'est pas d'accord, elle ne dira jamais non...
Après deux tonalités, ma mère décroche sans me laisser le temps de dire un mot, elle me pose directement des questions sur notre santé, un sourire triste s'affiche sur mes lèvres, je ne vais pas avoir que des bonnes nouvelles pour elle.
- Maman, on va bien, ne t'inquiète pas, je prends soins de nous, lui dis-je en tapotant ma main libre sur le rebord de la fenêtre.
On parle de tout et de rien pendant quelques longues minutes jusqu'à que je lui dise ce que j'ai en tête, elle ne parle plus, mais je peux être sur qu'elle est toujours avec moi grâce à sa respiration,
- Maman, tentais-je doucement en fermant les yeux
Un soupire s'échappa de ses lèvres, mais elle ne parle toujours pas alors j'entends tranquillement le coeur battant qu'elle daigne me donner une réponse.
- Je ne peux pas faire ça ma puce...tu ne peux pas prendre une telle décision hâtivement.
Je secoue la tête de gauche à droite bêtement sachant qu'elle ne me voit pas, un vertige me fait baisser la tête quelques secondes avant de pouvoir reprendre mes esprits.
- Je te demande juste ton aide maman, je sais ce que tu pense de ça, mais je ne dors plus, le stress m'accompagne au quotidien c'est ce que tu veux ?
- Tu veux quitter toute cette richesse pour des bêtises, il te protégera, me dit-elle calmement, je cligne des yeux comme si je me trouve dans un mauvais rêve, ma mère ne m'aurait jamais dit cela, elle viendrait en courant pour m'aider, pour me sortir de cette endroit..
L'endroit qui fait à la fois mon bonheur et me rend triste malgré tout.
- Je..maman, soufflais-je la gorge bloqué par mes larmes
- Oui, tu m'a bien entendu, tu nous as privé de notre fils, tu es partis je ne sais où, me laissent seule avec ton père, j'étais pendant une année entière la risée de mes amies et plus même les gens qui ne me connaissent pas me regarder de travers à cause de toi alors maintenant que je ne suis plus la risée de mes amies, mais la mère de la femme d'un roi, tu veux m'enlever ça, je t'interdis de le quitter, tu reste avec lui.
Elle ne dit plus rien pendant un moment avant de reprendre,
- Je ne veux plus entendre « Tu n'as pas su la protéger » faux, tu le provoquée il m'a dit la vérité, alors ne joue plus la victime...
- Privé de ton fils, je suis ta véritable fille, murmurais-je
Elle râle quelques mots que je ne comprends pas tant mon esprit est embrouillé, j'ai l'impression que toute ma vie n'est succession de tristesse que seul l'année au village est vraiment mon moment de vérité et de bonheur. Les larmes coulent silencieusement sur mes joues, j'ai ni le courage, ni la force de lutter contre.
- C'est un jeune homme fort et beau à chaque fois que je sortais avec lui, on me jalouser, mais à cause de toi, j'ai tous perdus, et maintenant que tu peux racheter tout le malheur que tu as causé tu me demande ça !!
Nous pensons connaître les gens que nous aimons, mais finalement le monde est remplis de surprise, et pas que des bonnes surprises, je ne dis plus rien raccrochant le téléphone, profitant pour envoyé un message à Oskar que j'espère va m'aider.
Il arrive quelques minutes plus tard, se figent devant la porte en voyant mon visage remplis de larmes, il court vers moi me prenant dans ses bras.
- Ma chérie, ne pleure pas pour eux.
J'ai si mal, j'ai juste envie qu'on me laisse vivre ma vie en paix, je ne veux voir personne, juste rester loin des gens, vider mon esprit. Je ne sais plus ce qui ai vrai dans ma vie, je ne sais plus qui croire et je ne sais plus où j'en suis.
- Tu m'aime, demandais-je à Oskar la voix couper, il arrête de me caresser le dos pour me prendre les joues tendrement
- Je t'interdis de douter de l'amour que je te porte, je t'aime comme une soeur, une amie en or, me chuchota-t-il en déposant un baiser sur mon front - Que se passe-t-il ?
Je lui raconte doucement ce qui vient de se passer et mon projet. Il me serre encore plus fort dans ses bras, me chuchotant des mots réconfortant pendant des longs minutes avant de me dire calmement,
- Ma chérie, c'est infaisable ce que tu me demande, et
- Accepte de m'aider et on verra
- Je d'acco..
Il n'a pas eu le temps de répondre que la porte s'ouvre à l'arrache laissant apparaître devant moi un Federik vert de rage. Il avance vers nous, mais j'ai l'impression qu'Oskar n'existe pas que son regard, son attention est braqué sur moi. Elle l'a prévenus !
- J'essaie de tout faire pour qu'on reste ensemble et toi...
Oskar lève sa main droite pour lui demander de se calmer, mais celui-là ne fait pas attention à lui, le regard étant toujours ancré dans le mien
- Tu peux dire tout ce que tu veux, mais tu ne peux pas me retenir ici, à ce que je sache ce pays à des droits,
Il essaie de s'approcher, mais mon ami le garde à distance, il est tellement en colère qu'il pousse Oskar sur sa gauche, celui-ci se rattrapa avant de tomber. Il se trouve en face de moi les yeux rouges de colère, sa respiration n'a rien de calme, il souffle plusieurs fois avant de me dire durement - Ta pauvre mère m'a appelé en pleure pour me dire de te raisonner parce que sa chère fille lui crie dessus de je cite '' j'en peux plus, viens me chercher de cet enfer '' tu...
Je lui demande de ne plus parler, ses paroles m'achève, je sombre petit à petit, tout est confus dans ma tête, rien ne va, tout devient de plus en plus flou, ça fait de plus en plus mal...
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Cʜᴏɪsɪʀ ᴅᴇ s'ᴀɪᴍᴇʀ
Roman d'amourIls ne se connaissent pas. Chacun a ses secrets. L'un veux y croire, l'autre rejette cet amour par peur de ne pas être à la hauteur et de souffrir. Quelques personnes c'est le coup de coeur, d'autres apprennent à ce connaître. L'amour peut être au r...