Watts arbore un grand sourire avant d'esquiver mon coup et de m'entailler le ventre pas trop mais assez pour que ce sois une blessure assez grave. Pourtant, je ne ressens absolument aucune douleur et je continu à le bombarder de coup rapide et puissant qu'il esquive tous en répliquant facilement et, à chaque fois, assez pour créer de plus en plus de blessures qui peuvent être considérer comme grave. A un moment, je m'arrête et fais un bond en arrière, essouffler et mon visage cacher par mes cheveux bleu cristal.
"Et bien alors, déjà fatigué jeune fille? Mais avoir une tel puissance a à peine 15 ans, c'est remarquable. Vraiment remarquable ! Je comprends pourquoi le général t'a adopter et prit sous son aile ! J'aurais fais de même à sa place. Ce qui est dommage, c'est qu'il a oublier que tu as des ennemis encore plus puissant. Au bord du gouffre, avec toutes tes coéquipières entrain de mourir, que vas-tu faire?
- T'exploser la tronche..., je murmure.
- Crystale, je suis au regret de le dire mais là, ce sont tes yeux rouges qui te maintiennent debout et en vie. Il faut que tu t'arrête!
- Pas question... Il a fait trop de mal à ceux que j'aime pour que je laisse filer comme ça.
- CRYSTALE!"
Je bloque ma conscience contre Elvina et j'avance lentement vers Watts en traînant mon épée sur le sol. Il se met à rire et attend que j'arrive devant lui pour me donner un énorme coup dans le ventre qui m'envoie valser au loin. Je me relève de nouveau et je recommence. Et il me projette en arrière encore une fois. Je continu, encore et encore sans relâche. Watts rigolait a me voir continuer de résister, mon corps s'affaiblissant petit à petit, ayant énormément de mal à tenir debout.
"Tu es tellement pitoyable pauvre enfant. Aller, je vais être sympa, je vais t'achever et achever tes amis."
Watts s'approche de moi, menaçant. Je serre mon épée au point où les jointures de mes poings étaient devenu blanche. J'entends Elvina m'hurler de partir et Watts lève une épée au-dessus de ma tête pour me la couper. Je réagis alors à ce moment-là et je lui plante la mienne à toute vitesse dans le ventre. Avant qu'il ne puisse abattre son épée sur ma tête, sa douleur lui arrache un hurlement et il recule en titubant. Mon épée revient automatiquement dans la main, aggravant son hémorragie causer par mon épée. Il s'effondre sur le sol et je m'avance vers lui, toujours le visage cacher par mes cheveux qui, maintenant, était couvert par endroit du sang de mon ennemi et du mien. Arriver devant lui, je lève mon épée au-dessus de lui, comme lui avec moi quelques instant plus tôt, prête à la lui planter de nouveau dans le ventre. Mais je suis couper par un atterrissage d'avion. Je me retourne et, quand je reporte mon attention sur ma cible, elle avait tout simplement disparu. Je plante mon épée dans le sol pour me maintenir debout grâce à celle-ci. Je vois le général accourir vers moi et des médecins prendre en charge mes trois coéquipières mourantes. Je regarde le général avec mes yeux rouges.
"Qui..., commence le général.
- Le docteur Arthur Watts. Celui qui s'est barrer il y a quelques temps., je répons, ma réponse souffler par Elvina."
Le général tente de me prendre dans ses bras pour me ramener dans l'avion mais je le repousse et y va de moi-même après avoir ranger mon épée. Dans l'avion, je vais m'asseoir prêt de mes coéquipières sans relâcher mes yeux rouges pour éviter de mourir d'un coup à cause du nombres de blessures que j'avais. Le voyage se passe à toute vitesse, étant donner l'urgence de nos états. Une fois rentrée, Winter, Rosa et Geenjia sont emmener à l'hôpital pour leurs éviter une mort certaine et on essaie de m'y emmener également mais je repousse les médecins.
"Je n'ai pas besoin d'aide! Contentez vous de sauver mes coéquipières !, m'écris-je en m'énervant.
- Mais vous aussi avez besoin de soin, sûrement même plus que vos amies !, explique un des deux médecins, inquiet.
- Je n'ai pas besoin d'aide j'ai dis., je répète."
Je pars en direction des dortoirs et tout le monde me dévisage lorsque je passe, encore couverte de blessure et de sang.
"On peut savoir à quoi tu es entrain de jouer Crystale? Ça sert à rien de jouer au dur avec tout le monde et les médecins ont raison, tu dois te faire soigner. Tes yeux rouges ne pourront pas toujours tout régler.
- Laisse moi Elvina. Je veux être LITTÉRALEMENT seule.
- D'accord... Mais tu ne pourras pas dire que je ne t'avais pas prévenue., dit-elle en soupirant.''
J'entre dans le dortoir de notre équipe et des larmes se mettent à couler sur mes joues sans que je le contrôle. Je serre les dents et je vais dans la salle de bain pour voir dans quel état j'étais. Je me déshabille complètement et vois que je suis couverte, réellement, de sang partout. Je soupire et entre dans la douche pour retirer tout ce sang qui me collait à la peau. Je gémis de douleur en sentant l'eau chaude couler sur moi mais je fais en sorte de ne pas tomber dans les pommes. Je risquerais de ne jamais me réveiller de toute façon. Une fois laver de tout ce sang, j'inspecte totalement mon corps et vois que certaines blessures ont déjà cicatriser, les moins grave, et que d'autres étaient encore des plaies béantes. Je regarde dans notre trousse de soin que Geenjia avait ramener de chez elle et fouille puis trouve de quoi me faire des points de suture et du désinfectant. Je soupire de soulagement et comme à soigner mes blessures, du moins, celles que j'arrive à atteindre. Pour le reste, je mets du bandage sur les endroits que je n'ai pas réussi à atteindre. Une fois mes blessures approximativement soignées, je retourne dans notre chambre et prends simplement des sous-vêtements et un short que j'enfile tout de suite et plonge dans mon lit. Je fais disparaître mes yeux rouges et toute la fatigue que j'avais accumuler me tombe dessus comme un coup de marteau. Je gémis encore de douleur et me mets en boule pour dormir. Quand je me réveille, il fait toujours nuit dehors. Où je me suis endormi alors qu'il faisait jour? Bref, je me lève et j'entends de nouveau la voix de la précédente Dame de l'Été.
"Tu n'arrive plus à dormir?
- A ton avis?, je soupire et me masse les tempes.
- Tu devrais essayer de te reposer encore un peu.
- Je veux voir comment elles vont.
- Je sais mais pense à ta santé aussi.
- C'est à cause de moi qu'elles sont de cet état alors je dois aller les voir et m'excuser.
- Sauf que cela peut attendre. Surtout si elles ne sont pas encore réveiller.
- Oh la ferme par pitié, je décide encore de ce que je fais ou pas."
J'entends Elvina soupirer et je me lève pour prendre un de mes vieux sweet à assez ample et j'enfile des chaussures pour ensuite sortir des dortoirs, les mains dans les poches. Je vais vers l'hôpital et arrive à l'accueille. Comme je m'y attendais, il n'y avait personne. J'entre discrètement et je cherche les dossiers de mes amies pour trouver leurs chambres. Je vois leurs noms apparaître après deux trois dossiers. Deuxième étage, aile de soin d'urgence. Okay, allons-y alors. Je sors de l'accueille après avoir tout remis à sa place et je me glisse dans les couloirs et file le plus vite possible à l'étage où elles se trouvent. J'entends des voix au bout du couloir, où elles sont normalement. Je me glisse derrière la porte et pose mon oreilles pour écouter.
"James, est-ce que tu te rends compte de ce qui est arriver à ma fille et à ses coéquipières à cause de ta protéger?, dit une voix qui me disait quelque chose.
- Je sais, et ce qui est arriver n'est pas de sa faute Jacques."
Jacques Schnee, le père de Winter!
"Si c'est de sa faute ! Elle n'aurait jamais dû intégrer l'académie et tu aurais dû la livrer à Salem dès le début !, s'écrit monsieur Schnee.
- Ça, il en est hors-de-question. Crystale est beaucoup trop importante pour qu'on la lui livre. Et si on le fait, alors elle montra la jeune fille contre nous et alors, on sera extrêmement mal barrer. Tu te rends compte du pouvoir qu'elle a?!
- je m'en contrefou du pouvoir qu'elle a James. Ce qui compte là, c'est la vie de ma fille. Mais te parler ne sert à rien. Je vais régler mes comptes avec ta protéger par moi-même."
Au moment où il dit cela, je décide d'entré dans la pièce.
"Excusez-moi de vous déranger, mais vous n'aurez pas à vous déplacer jusqu'au dortoir de l'académie pour me voir.
- Crystale? Qu'est ce que..., commence le général.
- Général, s'il vous plaît. Laissez moi seule avec Monsieur Schnee."
Il soupire et sort de la pièce.

De l'apprentissage à la guerre finaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant