-Point de vue Zoé-
Alex me ramena à la maison dans sa voiture, mais ne rentra pas. J'étais heureuse de le connaitre mieux et soulagé aussi. Je lui fis signe afin qu'il puisse rentrer chez lui. Arriver dans l'appartement, je vis le père de Max toujours suspendu à la télé, scotché devant un match de Baseball, pour lequel il était bien animé.
- Monsieur Anderson ?
Il n'y eu aucune réponse de sa part...
- Monsieur Anderson ? savez-vous où est Max ?
Il m'ignora de nouveau...
- Monsieur Anderson ! Max ? il est où ? Criais-je presque.
- Hein ? Oh euh je ne sais pas surement dans sa chambre. Répondit-il évasivement.
Je ne pris même pas la peine de le remercier, car il était déjà replongé dans son match. J'allais cogner à la porte de Max. Aucun son d'en sortie, je répétais l'expérience, toujours aucun bruit. J'ouvris donc la porte. La chambre était déserte. Génial... Je réalisais à ce moment que c'était la première fois que j'entrais dans sa chambre en 5 mois de cohabitation. À ma grande surprise d'ailleurs sa chambre était dans les teintes de beige, elle était claire, rien à voir avec la chambre au graffiti noir de chez ''les Delahay''. Sa chambre était très spacieuse, plus grande que la mienne avec la même salle de bain attenante. Il y avait une grande affiche positionner sur le dessus de son lit représentant l'ouest canadienne et c'est grande vallée, c'était magnifique. J'avançais dans le chambre et vie plusieurs revu de moto des Harley-Davidson pour la plupart, mais aussi des Benelli et des bombardiers, ça me fit sourire. Je savais qu'il aimait les motos et cela me le confirmait. Je fus étonné de remarquer que tout ces cours étaient sur son bureau, ouvert sur le texte qu'on devait faire en français, sur la perceptive d'atteindre nos rêves. Il avait écrit que deux lignes :
<< Comme tous le monde j'ai un rêve, une chose banale qui me rend Bea dès que je commence à en parler. L'atteinte d'un rêve est pour moi comme un aboutissement qui vient nous forger et construire qui l'on est...>>
C'était pas mal, j'avais très envie de savoir ce qu'était son rêve maintenant...
D'un coup que Max rentre maintenant, je ferais mieux de quitter sa chambre. Je re-déposais donc la feuille sur son bureau et partie vers la porte, mais bouscula une boite en carton qui s'ouvrit sur le coté de la porte. À l'intérieur, il y avait des clichés d'une belle blonde qui embrassait fortement Max sur la joue, celui-ci devait être plus jeune de 3 ans, il avait d'autre cliché avec Stan et Vincent...et puis Lola. J'eus le cœur gros en voyant le large sourire de Max que je ne lui connaissais pas. En-dessous des photos il y avait des magasines de culture environnementale in vitro, je restais perplexe devant ces revus et les rangea, avec les photos. Puis partie dans ma chambre.
Je ne faisais que remuer encore et encore dans mon lit aux prises avec des pensées qui n'arrêtaient pas de me troubler. D'autant plus que mon inconscient me troublait avec des images de Kathy et de l'époque sombre qu'on avait traversées ensemble avant qu'elle ne soit comme elle est aujourd'hui. En nage de sueur, je me réveillais sous les lueurs de la lune qui brillait à illuminer ma chambre. Sortant de celle-ci pour prendre un verre d'eau un bruit de fracas se fit entendre déjà à l'extérieur de ma chambre, mon cœur ne fit qu'un bond avant que j'empoigne un trophée qui trônais sur le meuble du couloir. Sur le qui-vive, j'approchais doucement de la cuisine prête a frapper l'inconnue de toute mes forces. Alors que je prenais mon élan pour frapper l'ombre qui apparaissait en face de moi. La lumière s'alluma d'un coup me faisant hurler en abaissant le trophée de toute mes forces. J'assommais l'ombre qui venait d'ouvrir la lumière un cri de douleur s'échappa de l'homme, qui n'était nulle autre que Max. il se releva en se tenant la tête.
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Attirance malgré tout
Roman d'amour'' Il se fige, apparemment il ne s'attendais pas à ce que ce soit moi... - Qu'est-ce que tu fais la ? dit-il en faisant des yeux ronds. La fatigue prend le dessus je suis blasée. - Je suis le parasite qui vit en-dessous de chez toi. Je m'évertuais...