Entre nos doigts rouillent les briquets.
Les cœurs brisés sont fatigués.
Clope fumante au bec sur les toits.
Chant mélancolique des criquets.
Nos regards vitreux font le guet,
Regarde qui s'font la malle, nos foies.Le temps qui court et nous derrière,
Crachant nos tripes, à bout de souffle.
Sur le corps, gravé jusqu'à l'os,
L'soleil qui passe par la verrière.
Nos rêves battent de l'aile, sentent le soufre.
Sur la peau, des azulejos.On a giflé le mur du son.
À deux doigts de faire une syncope,
Il nous pend au nez l'collapsus.
Nos âmes peinent, en pleine convulsions.
Rivés au ciel, nos télescopes.
La vie n'est qu'un vulgaire lapsus.Il est rusé comme un raptor.
L'Amour qui tel une maladie,
Quelques affections mendiant,
Déglingue, perfore son cœur en or.
« Donne moi ton âme. », le mâle a dit.
Nos carapaces se fissurant.— Adolescents — briser un miroir
et se délecter des morceaux de verre.
esprits pilés comme la glace,
le tranchant en plus. — éclats pourpres —
c'est dur de grandir, le monde des adultes
ça fait — un mal de chien —
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Au clair d'une lueur artificielle (terminé)
RandomEt on nous dira que c'est la vie ; tss... Pardon pour mes non-sens et mon art vulgaire, faut dire que j'fais d'la poésie au marteau aussi. DP | 2017 - 2018 - 2019 - 2020 - 2021 recueil #1 Image (cover) trouvée sur Pinterest, Tokyo Ghoul. Sans o...