Avenir 2

Chapitre XXXI: Au cœur de l'île

Dans ce chapitre, les plantes ont le pouvoir. Pour ne pas mettre les votre en rogne, pensez à les arroser régulièrement. Les plantes sont des êtres vivants, avec des sentiments et des envies, soyez à l'écoute (ne faites pas comme Ikkaku. Vous comprendrez plus tard😂)

- Comment ça «personne ne me retrouvera ici»?

- C'est simple. Il n'y a que moi, ma petite fille et quelques habitantes qui connaissent cette endroit. Et il faut avoir le cœur bien accroché pour arriver jusqu'ici. Être un détenteur de fruit du démon aide aussi apparemment.

- Si l'accès est caché, la marine finira bien par le trouver.

- Non. Le seul moyen d'entrer se trouve en dessous de l'îlot du lac. Je ne sais pas qui aurait l'idée de chercher dans cette direction, d'autant qu'un fort courant contraire pousse les plongeurs vers la surface.

- Ils ont bien vue que je suis tombé dans le lac, c'est là qu'ils vont commencer à chercher.

La vieille resta silencieuse un moment. Law en profita pour remettre ses souvenirs en place. Il se rappela alors de la raison pour laquelle il était monté seul en haut de cette montagne.

- Mes compagnons, s'écria-t-il en se redressant violemment, je doit les retrouver.

Aussitôt après, il sentit une fort douleur au niveau de son tors. Il grimaça en se tenant le coté.

- Recouche-toi, insista la vieille femme en le poussant par les épaules.

- Mais...

- Il n'y a pas de mais qui tiennent. Je savais bien que tu ne pouvais pas être en un seul morceau après une tel chute.

L'habitante posa ses mains sur le tors de Law.

- Qu'est-ce que vous faites?

- Je cherche ce qui te fais souffrir, répondit-elle, concentrée, mais dépourvue de vue je dois utiliser le touché.

À la fin de ses paroles, le pirate se crispa en faisant la grimace et en laissant échapper une plainte de douleur.

- Tu as une... deux cotes fracturés. Elles n'ont pas l'air d'avoir heurté un organe. Je vais tout de suit commencer à m'occuper de ça.

Elle s'écarta de lui et s'éloigna de quelques pas.

- Ce ne sera pas nécessaire, je pourrais me soigner seul une fois ces menottes retirés. Et il faut que je parte libérer mes compagnons.

- Tu te crois capable d'aider qui que ce soit dans ton état? demanda-t-elle en se retournant vers lui.

- Ce ne sont que deux cotes cassées qui n'ont pas fait de dégâts internes. Je peux très bien porter secourt à mes compagnons.

- Tu as pensé à ce que tu as au poignet?

Il serra les dents. Avec ces fers en granit marin il ne pourrait pas se battre au maximum de ses capacitées.

- Écoute, je sais que tu veux aider tes amis mais si tu n'es pas au mieux de ta forme tu te feras tuer et eux avec. Tu n'auras rien gagner. En plus, tu ne peux pas remonter à la surface sans aide. Aide que je ne peux pas t'apporter. Ce que j'ai de mieux à te proposer est d'attendre ma petite-fille pour qu'elle te débarrasse de tes fers. En attendant, je commence à te soigner. Qu'est-ce que tu en dis?

- Je n'ai pas le temps d'attendre. Ils sont en danger. Est-ce que vous comprenez ce que je dis?

Il s'était relevé, plus doucement cette fois, pour parler plus fort et voir ce qu'elle faisait. Elle ne répondit pas mais s'approcha de nouveau de lui. Elle posa une main sur son front et la retira quelques secondes après.