Bonjour ou bonsoir, dépendant comme d'habitude de l'heure à laquelle vous lirez les mots suivants.
Comme vous avez peut-être eu l'occasion de le constater, l'oeuvre que vous êtes sur le point de lire, Dystopia, n'est ni un roman, ni une nouvelle, mais une pièce de théâtre. Ce qui signifie qu'elle a été créée pour être mise en scène, ainsi bien sûr il n'y a pas de descriptions très précises des personnages et des décors, puisque chaque metteur en scène est libre d'organiser la pièce comme il lui convient au niveau de la scénographie et des comédiens.
Je précise toute fois que, bien entendu, je n'autorise aucun metteur en scène amateur (j'entends là qui n'est pas rémunéré) à mettre en scène ma pièce sans avoir reçu mon autorisation préalable, et signale aux éventuels metteurs en scènes professionnels que je préfère attendre d'avoir publié ladite pièce dans un format à vendre et atteint l'âge d'être rémunéré avant de les autoriser à la monter. Parce que oui, les pièces que vous voyez passer dans les théâtres n'ont pas toutes été écrites par des auteurs morts, et le dramaturge a droit lui aussi à sa part des choses, avec l'édition et tout ça, je suppose.
Bien sûr, je n'y connais rien en domaine économique et technique, mais ne me faites pas dire qu'une maison d'édition qui ne rémunère pas correctement les romanciers et autres dramaturges qui publient chez elle, c'est une arnaque. ^^
Aussi, comme le théâtre est une forme de littérature très propre à elle-même et particulière, vous trouverez de nombreuses didascalies (les indications de jeu, de décor, etc, inscrites en italique), les noms de chaque personnage seront explicitement précisés avant chaque réplique, et la pièce sera divisée en scènes. Dans Dystopia, pas d'actes particuliers, car le théâtre contemporain nous permet en général d'être plus vagues au niveau des durées et des décors, mais en revanche, trente scènes, certaines très courtes, d'autres plus longues.
Aussi, un nombre incalculable de références, à des œuvres classiques ou plus contemporaines, mais je n'en dis pas plus là-dessus, le Prologue vous le précisera, et vous vous en rendrez bien assez compte de vous-même au fur et à mesure de la lecture.
J'ajoute juste, pour clore cet avant-propos ennuyeux, que Dystopia est la première pièce de théâtre que j'ai réussi à terminer d'écrire, dont je suis naturellement très fier, et que, l'ayant fait lire à quelques personnes de mon entourage, j'ai déjà eu l'occasion, grâce à leurs fins conseils, d'y apporter des retouches et des corrections. Une autre pièce, voire deux si j'arrive à reprendre la première, est en préparation, et j'espère aussi pouvoir un jour la partager, entre-autre, avec vous, mes lecteurs wattpadiens (dit-il d'un ton solennel même s'il sait qu'il va avoir 10 lecteurs, et ce sera déjà pas mal si ça n'atteint ne serait-ce que ça).
Enfin, je n'ai pas jugé nécessaire de mettre l'histoire en catégorie Mature parce que, faute de genre littéraire, les scènes violentes ne sont pas explicitées dans le texte, mais pour les quelques élitistes qui connaissent déjà bien Matt Grey ainsi que pour tous les autres, bien entendu, vous ne serez pas étonnés d'apprendre qu'il y a de nombreux personnages qui meurent de façon plus ou moins subtile, plus ou moins violente, ou encore plus ou moins débile. Sur ce, je vous laisse enfin tranquilles à la suite de cette préface aussi chiante que d'habitude, et vous souhaite une... bonne, ou mauvaise ? bref, une lecture, et un adorable ou un détestable spectacle. Sweet dreams.
- Matt Grey
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DYSTOPIA
Random« Papa ! Papa, j'ai un ver dans l'oreille, papa ! J'ai essayé, j'arrive pas à l'enlever ! » Avez-vous jamais rêvé de pouvoir entrer dans le subconscient des gens ? De savoir ce qu'il se passait dans la tête des violeurs et des assassins ? De pouvoi...