Cops And Crime [Gruvia]

Chapter 30

Pdv Juvia

Quand je me réveilla, je remarqua que la place à mes côté était froide. Ce qui normalement est normal. Mais je me souviens exactement de ce qu'il s'est passé hier soir. Je commence à paniquer. Hier soir, on n'était pas sensé aller aussi loin. On était juste sensé s'échanger deux ou trois baisers. J'aurai jamais imaginé que ça aurait tourner comme ça... Quelle imbécile je fais... Je suis quand même rassurée de voir qu'il est pas là. Je suis dans sa chambre et mes vêtements sont au sol. J'ai honte de comment je me suis laissée aller. J'aurai pas du. J'alla me doucher et par gêne, je suppose, recouvra ma peau le plus que possible. J'ai honte rien qu'à me souvenir qu'il m'a vue nue. Et que je l'ai vu nu. Je secoue vivement la tête pour chasser ces souvenirs mais c'est impossible. Je sais qu'ils vont revenir au pire moment possible.

Je suis encore plus rassurée en voyant qu'il n'est même pas là. Il doit être au travail. Je sais pas si je pourrais supporter de l'avoir devant moi après ce qu'il s'est passé. Je ne veux pas qu'il pense que je l'ai pardonner et que tout va bien juste parce qu'on s'est envoyés en l'air. Je prend alors quelques pains au chocolat pour les mettre au four. Je commence à avoir mal à la tête tellement mon cerveau chauffe. Pourquoi j'ai fais ça...

Je sursaute en entendant la porte s'ouvrir.

J'ai parler trop tôt, il est pas au travail. Il apparut quelques secondes plus tard, des sacs de course à la main. Il me vit seulement après les avoir déposer.

- Bonjour.

- Bonjour...

J'ai l'impression de voir à travers ses vêtements. Au mon dieu. C'est horrible. C'est pas ma faute si il a des muscles. Ça m'a marqué.

- Ça va ? Me demanda-t-il comme si de rien était alors que je meurs de gêne.

- Ouai... Et toi ?

- Bien.

- Cool.

Grey a pas l'air si mal à l'aise que moi. Même si je pense qu'il est dans le même état que moi dans sa tête. Il sait bien cacher ses émotions quand il veut.

- Tu veux que je t'aide à ranger les courses ?

- Si tu veux bien je dis pas non.

Je l'aide à ranger mais en restant le plus distante que possible. Je ne veux par aucun moyen le toucher.

- Juvia... Je suis... Vraiment désolé pour hier... C'est de ma faute.

Je ne lui réponds pas tout de suite et continue de ranger les courses.

- Être désolé ne changera rien. Ce n'était pas seulement ta faute, c'était aussi la mienne.

- Mouai... Si tu veux que je te paie un appartement pour toi, je comprendrai totalement tu n'as qu'à demander, tu sais, j'ai les moyens.

- Je... Je vais rester ici. De toute façon je déteste être seule.

- D'accord. Je... Je vais travailler. À ce soir.

- A ce soir.

Il ne pense même pas à ranger les sacs vides de course et s'enfuit. J'ai cru l'entendre renifler. Mais je suis pas sûre. Je range alors les sacs moi même. La tâche une fois finit et mes pains au chocolat engloutis, la sonnerie de mon portable retentit. Je reste une poète expérimentée.

[Les vielles blagues qui dates lItTéRaLeMeNt d'un an jpp]

- Allô ?

- Oui allô Juvia chérie comment vas-tu ? Dis Jordan à l'autre bout du téléphone, la voix mielleuse. Même si j'ai l'impression qu'il parle moins fort que d'habitude. Et j'ai pas envie de savoir pourquoi.