Chapitre 7

1.5K 98 11
                                    


Pdv Katarina

Les hommes de Daryl sont là et assistent a la scène. je souffle bruyamment afin de montrer a Daryl ma gène. Je déteste réglé mes comptes en public.. Ce dernier se retourne alors pour leur faire face.


- « Veuillez nous laissez, messieurs. » leur dit-il, sur un ton dur.


Une fois que le dernier de ces hommes sort de la pièce, tout en fermant la porte derrière lui, Daryl lui se dirige vers la table et se sert un verre de Rhum avant de s'appuyer contre cette dernière en me regardant.


- « Écoute, je sais que tu m'en veux pour hier... Mais je devais régler cette faire à tout prix et puis il s'est passé quelque chose qui m'a retarder. » dit-il en posant son verre sur la table. « Le gang fait partie de moi. Ces hommes et ces femmes qui travaillent pour moi, ce sont ma famille avec toi et Matt... Katarina... Tu savais à quoi t'en tenir en voulant être avec moi... » dit-il simplement, en ancrant son regard dans le mien.


Voyant que ce dernier contrôle sa colère afin de ne pas envenimer les choses, je décide de faire pareil. Je m'avance lentement vers lui tout en contrôlant mon énervement.

- « Oui, je savais que tu ferais des choses risquées. Et n'oublie pas que le gang est aussi ma famille à moi aussi maintenant, Daryl. Tu n'as pas le droit de me tenir à l'écart comme une enfant fragile. » dis-je tout en continuant de m'approcher de lui. « Je suis forte Daryl et tu le sais ! Je veux t'aider au quotidien, être comme ton ombre et veuillez sur toi également... Je préfère une vie de danger à tes côtés plutôt qu'une vie passée à t'attendre. »


Alors que me poste devant lui les bras croisés, ce dernier en décidé autrement et ce dernier pose ses mains sur mes hanches et m'attire contre lui. J'essaie de rester de marbre malgré cette proximité et son parfum, que j'aime tant et qui vient chatouiller mes narines.


- « ... D'accord. » dit-il, simplement. « Mais a certaines conditions seulement. »

- « Dis-moi, je t'écoute. » lui dis-je.

- « Tu marchera selon mes règles. Tu feras ce que je te dit et quand je te le dis, lorsqu'il s'agira du business. Si je te dis tu bouge et tu me laisse en plan... Tu exécute les ordres, point. »


J'accepte d'un signe de tête.


- « Et pour finir... Ne fait plus jamais ça. » dit-il, en me caressant tendrement la joue avec sa main chaude.

- « Ne plus faire quoi ? » dis-je, en lui en passant délicatement mes mains le long de ses robustes bras.

- « Disparaître... Ne me fais plus jamais ça. » dit-il, en m'attirant davantage contre lui.


Je n'ai pas le temps de répliqué quoique ce soit car ses lèvres chaudes et sucrées entrent en contact avec les miennes dans un baiser, dès plus passionnés.
Puis ce dernier attrape mon sac à main, que je porte toujours, et le balance à l'autre bout de la pièce.

- « Hey ! Doucement c'est un de tes cadeau, j'y tiens ! » dis-je, entre deux baisers

- « J'ai quelque chose de beaucoup plus intéressant à t'offrir pour le moment » dit-il, en commençant à me dévoré littéralement la peau de mon cou.

Puis ce dernier passe ses mains le long de mes cuisses et me soulève, avec une facilité déconcertante. Par réflexe, j'enroule mes jambes autour de ses hanches et je me retrouve, quelques instant plus tard, assise sur la table.

Les baisers de Daryl dans mon cou fait grandement grimpé ma température corporelle. Cet homme connais mon corps sur le bout des doigts...
Il se recule légèrement et son regard sur le bas de ma robe rouge, , ainsi que sur mon imposante poitrine. Puis il replonge son regard de braise dans le mien.


- « Quelle tenue indécente, Mademoiselle Lopez. » dit-il, en remontant ses mains le long de mes cuisses.

- « Je ne vous le fais pas dire, Monsieur Ortega... » dis-je, en le dévorant des yeux.

- « Vous méritez une bonne correction pour tant d'indecence.. » dit-il, toujours en remontant ses mains toujours plus haut.

- « Dans ce cas... Je vous laisse faire ce que bon vous semble, Monsieur Ortega. » dis-je en me mordant la lèvre inférieure.

À peine ai-je fini ma phrase qu'une de ses mains atteint ce point si sensible de mon anatomie. Avec son autre main ce dernier appuie doucement sur ma poitrine afin de je m'allonge sur la table. Je m'exécute et me laisse totalement emporté par les vagues de plaisirs qui s'emparent de moi et qui bouillonnent à l'intérieur de mon corps.

Après plusieurs longues minutes à être allongé sur cette table, je me releve afin de me coller à lui. J'ai besoin de le sentir, de le toucher, de l'embrasser. Nos bouchent finissent par rentrées violemment en contact l'une contre l'autre et s'en suis un baiser des plus torrides.

Mes mains partent elles aussi à la découverte de son corps et partent plus précisément griffer et infligées de douce torture à la peau de son dos. Notre désir est si intense que nous ne prenons même pas la peine de retirer nos vêtements.

J'entends enfin le bruit métallique de sa ceinture claquer sur le sol, m'indiquant que les choses sérieuses commencent enfin.

Lorsque cet homme que j'aime prend finalement possession de mon corps, c'est comme une libération, une évidence. Mon corps et mon âmes ont tout deux étaient faits pour cet homme, je n'ai plus le moindre doutes la dessu depuis bien longtemps.

Après plusieurs longtemps minutes, de plaisir à l'état brute, nous atteignons le Nirvana comme à chacun de nos rapport.

Quelque minutes plus tard, me voilà à réajuster ma robe et ramasser mon sac pendant que ce dernier reboutonne les quelques boutons de sa chemise, que je lui ai précipitamment retiré. Puis, une fois ce dernier prêt à sortir de la pièce, il s'approche de moi et me regarde.

- « Ce fût un plaisir de vous punir de la sorte, Mademoiselle Lopez.. » dit-il en me donner une légère tape sur les fesses.

- « Tout les plaisir était pour moi, Monsieur Ortega » dis-je, en rigolant avant de quitter la pièce.


Fin du chapitre 7

**non corrigé**

ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 2 : Soᥙffrᥲᥒᥴᥱ Et Exᥲᥣtᥲtιoᥒ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant