ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 2 : Soᥙffrᥲᥒᥴᥱ Et Exᥲᥣtᥲtιoᥒ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]

Chapitre 20

Pdv Daryl

Mes lèvres touchent la peau chaude et palpitante de son cou. Je pourrais presque sentir les battements de son cœur s'accélérer. Son corps se cambre sous mes baisers ce qui ne fait que me prouver que l'effet que je lui procurait est rester intacte.

Je lui mordille légèrement le lobe de l'oreille avant du lui susurrer à cette dernière.

- Tu es encore plus délicieuse, que dans mes souvenirs..

Elle essaie de reprendre possession de ses bras mais je ne l'y autorise pas.
Je caresse son nez à l'aide du miens. Cela fait des mois que nous n'avons pas eut cette proximité.

Et dans un élan de douceur, je dépose un chaste baiser sur ses lèvres. Je ferme les yeux pour savourer se court instant. Bordel, qu'est-ce que ses lèvres mon manquées.
Katarina elle a comme arrêter de se debattre. Intrigué, je réouvre les yeux et la regarde.

Cette dernière a les yeux clos avec des larmes perlant de part et d'autre de ses joues.
Alors que j'allais déposer une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes, un raclement de gorge m'en empêche.

Je relâche les bras de Katarina qui se sépare de moi immédiatement et fais face au connard qui nous a interrompu.

- Oui, Ricardo ?

- Je vous cherchez, Mlle. Des habitants on apporter des offrandes pour El diablo. Désirez-vous que je m'occupe de préparer son Ofrenda ?

Katarina se relève et me regarde légèrement avant de partir en direction de Ricardo.

- Merci Ricardo, mais c'est a moi de le faire. Dit-elle, en quittant la salle.

Alors que j'allais suivre cette dernière Le vieil homme me retient de justesse.

- Restez loin d'elle.

- Je n'ai pas d'ordre à recevoir de vous. Dis-je en me dégageant de son emprise.

- J'ai passer les derniers mois à ramasser Mlle à la petite cuillère pendant que vous flirtiez avec ses femmes plus vulgaires les une que les autres, soit dit en passant.

- Votre avis vous pouvez vous le foutre au cul, le vieux.

- Je vous le répéterai pas. Restez loin d'elle. Dit-il de manière menaçante.

- Compte pas la dessus, mon gars.

- Ne me forcer pas à employer la manière forte pour cela, Monsieur Ortega.

- Oooh c'est une menace, Ricardo ? Lui demandais je, avec un air de défis.

- Non, Monsieur. C'est une promesse. Dit le vieil homme avant de partir à son tour.

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Pdv Katarina

Après avoir fini la préparation de l'ofrenda d'abuelo et déposer par terre le chemin de fleur pour guidé son esprit, je retourne à mes appartements. Je dois me préparer pour ce soir et c'est d'ailleurs pour cela que Maria m'aide a m'apprêter.