Pdv KatarinaDeux jours sont passés depuis ma visite à l'hôpital. Deux jours que mon cœur est en miettes rien qu'à l'idée de savoir que l'homme que j'aime ne se souvient pas de moi. N'y de ce que l'on a vécu. J'en ai envie de vomir rien qu'en y pensant.
J'ai promis à Matt de l'aider à faire rapatrié son frère aux États-Unis. Et j'ai peut-être trouver un moyen, mais pour cela j'ai dû me rendre là où tout à commencer. New-York.
Plus précisément dans un petit quartier résidentiel.Vous vous demander sûrement pourquoi je prend un énorme risque en revenant ici, et seule qui plus est. Et bien vous comprendrez bien assez tôt, ne vous en faites pas.
J'avais oublier à quel point les nuit sont fraîches à New-York. Je m'approche de l'immeuble qui m'intéresse puis je fais alors le tour de ce derrnier pour accéder à l'arrière de l'immeuble, dans une petite ruelle où se trouve l'escalier de secours.
Je grimpe dans le plus grand silence jusqu'à cinquième étage et me positionne prêt de la fenêtre. J'ouvre facilement cette dernière, même de l'extérieur.
Et bien ! Niveau sécurité, j'ai connu mieux !Je rentre dans l'appartement en refermant la fenêtre derrière moi et commence à inspecté les lieux. C'est un appartement des plus banal à New-York, quoique je dois avouer que la décoration intérieur est à la fois chic et minimaliste à la fois. Comme sa propriétaire.
Durant mon exploration je tombe en ouvrant une porte sur un énorme bureau où repose des dizaines de dossiers. Ça ne m'étonne pas d'elle. J'ai toujours était certaine qu'elle du genre a ramené du travail à la maison.
Je fais le tour du bureau et viens m'asseoir sur le fauteuil en cuir véritable, qui il faut l'avouer est incroyablement confortable.
Je sors en cuite mon arme et la charge avant de la posée sur le bureau. Bon, je n'ai plus qu'à attendre qu'elle rentre chez elle maintenant.
Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu avant d'entendre la porte d'entrée claqué. Je me redresse sur le fauteuil, tapis dans l'obscurité de la nuit. Les pas se rapproche de plus en plus et je pose ma main sur mon arme pour la prendre au cas où. Je me tiens prête à toutes éventualités.
La porte du bureau s'ouvre et la lumière s'allume, me dévoilant ainsi à la lumière. La personne en face de moi est surprise mais contre tout attente elle ne fais aucun mouvement suspect et se contente de me regarder avant de refermer la porte derrière elle.
- Vous savez, c'est très impoli de s'introduire chez les gens en pleine nuit, Katarina.
- Oh, excusez moi Jane. La prochaine fois je ferais ça de bon matin.
Elle s'approche lentement et s'assoit sur un siège en face de son bureau.
- Bien. venez en au fait, s'il vous plaît. J'ai passer une assez longue journée et j'aimerais aller me reposer.
- J'ai une affaire qui pourrait vous intéresser.
- Je regrette mais nous ne passons pas de marchés avec des fugitifs.
- Vraiment ? Même quand il s'agit de Joaquín Guzmán Loera ?
Elle ne s'attendait pas à ce que le nom d'El chapo soit prononcé à ce que je vois. Je te tiens, Jane Mitchell. Pour lui prouver ma bonne fois je prend le dossier que j'ai emmener avec moi et le posé sur son bureau. Il contient toutes les informations que moi et mes hommes avont tu découvrir sur lui et sur son Cartel. Ai si que de nombreux clichés le montrant avec ses collaborateurs.
Elle regarde le dossier quelque secconde avant de reporter son attention sur moi.
- Dites toujours. On ne sais jamais. Que voulez-vous ?
- Je veux que vous effacez le casier judiciaire de Daryl Ortega ainsi que tout son passé criminel.
- Pourquoi prendre tout ses risques pour un chef de gang, qui n'a jamais eu le moindre remord pour ses crimes ?
- À l'heure actuelle Daryl ne sais plus qui il est, ni ce qu'il a pu commettre par le passé. Un terrible accident la rendu amnésique. Et je crois que tout le monde a le droit à une deuxième chance.
- Et quand est-il de vous et de votre cavale ?
- Je ne vous demanderai rien en ce qui me concerne. Dis-je simplement. Alors ? Marché conclus ? Je vous donne toutes les informations nécessaires pour coincé El chapo afin de le faire extradé jusqu'aux États-Unis et en échange vous blanchissez Daryl de tout ses crimes. Rien ne sera retenu contre lui et il pourra rentrer en homme libre...
- Bien. Dit-elle en posant sa main sur le dossier. Vous avez ma parole.
- Merci, Jane.
Je me lève et me dirige vers la fenêtre pour repartir, heureusement que cette dernière a également un escalier de secours, lorsque Jane m'interpelle.
- Katarina..
Je me retourne pour lui faire face.
- Ravie de voir que vous allez bien.
- Il en va de même pour moi, Jane. Prenez soin de vous.
Puis je pars dans la pénombre de la ville de New-York. J'ai finalement trouver un échappatoire pour Daryl. Il pourra réapprendre à vivre grâce à l'aide de Matt, sans être en caval.
Plusieurs jours après mon entretien avec Jane je suis retourné à l'hôpital pour prévenir Matt que bientôt il pourra repartir avec son frère. J'ai encore de l'espoir pour que les souvenirs de Daryl lui reviennent. Pour que je puisse le prendre dans mes bras.
- Katarina, écoute ne m'en veux pas mais... Il serai peut-être préférable que mon frère ne te voit pas.
- Pourquoi Matt ?
- Durant des années j'ai espérer qu'un jour mon frère arrêter de diriger ce gang et déciderai enfin de se ranger dans le droit chemin, comme je l'ai fais. Et aujourd'hui il en a enfin l'occasion.
- Tu es en train de dire que... Je suis néfaste pour lui ?
- Non, je n'ai pas dit ça. Tu l'aime je le sais. Ça ce voit ! Mais le Daryl que tu as connu ne reviendra probablement jamais. Et si je veux aider mon frère à se reconstruire, ce sera loin de toutes ces histoires de gang. Ne m'en veux pas. Je veux ce qu'il y a de mieux pour lui.
Je n'ai pas la force de lui répondre et lui tourne le dos dans le but de repartir. Mais ce dernier me retient par le bras. Je lui refait alors face, des larmes coulant le long de mes joues.
- Je voulais te dire que mon frère t'as aimé. Vraiment. Il avait remuer ciel et terre pour te retrouver.
Puis ce dernier fouille dans la poche intérieure de sa veste avant de me tendre une petite boîte.
- Je suis désolé de te donner ça dans ses conditions. Mais je sais qu'il aurait aimer que tu l'ai. Il avait l'intention de te le demander alors...
Je prend la petite boîte et pars sans un regard en arrière. Il faut que je parte de cet endroit. J'étouffe ! Je regagne rapidement ma voiture et cesse enfin de retenir mes larmes.
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Fin du chapitre 27
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ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 2 : Soᥙffrᥲᥒᥴᥱ Et Exᥲᥣtᥲtιoᥒ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]
Fiksi PenggemarKatarina et Daryl vivent le parfait amour.. Tout va pour le mieux depuis que Daryl a aider sa belle a s'évader. Mais vous savez ce qu'on dit ? Le bonheur ne dure jamais bien longtemps.. Entre infidélité, trahison, colère et amour.. Nos deux amoureu...