ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 2 : Soᥙffrᥲᥒᥴᥱ Et Exᥲᥣtᥲtιoᥒ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]

Chapitre 15

Pdv Katarina

Ma famille ? Je regarde Ricardo qui me rassure du regard.

- Prenez vôtre temps pour sortir de la voiture Mlle. Je vais aller les prévenir de notre arrivée. Sortez et venez me rejoindre lorsque vous vous sentirez prête.

Puis il sort du véhicule et entame sa marche vers l'attroupement de personnes à une cinquantaine de mètre de la voiture. Pourquoi est ce que je reste là, à attendre ? Certe j'appréhende énormément. Après tout j'ai passer une bonne partie de ma vie à mettre des gens comme eux derrière les barreaux sans savoir qu'au final, j'étais comme eux.

Je vois Ricardo donner l'accolade à plusieurs d'entre eux, tout sourire. Ce sont d'anciennes connaissance à lui, ça ce voit dans leur manière de communiqué. Certains parmis eux ont servient Abuelo. Je me doit d'être à la hauteur.

Ricardo glisse un regard vers le véhicule et capte mon regard. Il me sourit légèrement manière de me dire "tout va bien". Je ferme les yeux et souffle un bon coup avant d'ouvrir la portière de la voiture. Je sors de cette dernière et marche d'un pas assuré vers le groupe.

C'est ce que tu attendais de moi Abuelo ? Alors laisse moi te prouver de la ou tu es que tu a eu raison de te fier à moi. Ton Cartel brillera à nouveau. Je te le promet.

Me voyant approcher Ricardo se décale pour me frayer un chemin à travers la foule. J'entends plus personne réagir à mon arrivée. Ricardo m'accompagne au centre du groupe. Tout les regards so t à présent posés sur moi.

- Amigos ! L'heure est venu pour le Cartel de Los Reyes, de reprendre du service. Dit haut est fort Ricardo, pour se faire entendre de tous. Votre chef légitime est enfin de retour ! Qui de vous ne se sent plus de taille pour lui prêté allégeance ?! Si tel est le cas, il est encore temps pour vous de partir !

Un léger silence s'installe soudainement pendant de courtes secondes. Avant qu'un des nombreux hommes présents ne s'avance jusqu'à moi.

- J'ai attendu ce jour depuis temps d'années. Avoue l'homme, avant de poser un genou à terre. Vous pouvez comptez sur moi, Patrón .

À ma plus grande surprise, tout le groupe imite l'homme en posant un genou à terre. Ricardo me regarde fièrement.

- Je pourrais compter sur vous, Ricardo ?

- Toujours. Jusqu'à ce que mon cœur cesse de battre, Mlle.

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Pdv Daryl

Plusieurs mois se sont écoulés depuis que Katarina a quitter l'appartement. Trois mois pour être plus précis. J'ai retourné tout la ville et envoyé des hommes au quatre coins des États-Unis pour la retrouver, en vain.

Je me doute qu'elle a surement du quitter le pays depuis longtemps, mais pour aller où ? J'ai envoyer des hommes au Mexique en Argentine et même en Europe. Aucune trace d'elle.

Je sais que je ne la retrouverais jamais, je l'ai fais fuir et je dois assumer. Alors oui j'ai fini par perdre espoir. Et mes anciens démons sont revenus me hantés. J'ouvre les yeux et me retrouve dans une chambre que je ne connais pas. Je me lève du lit sans faire attention à la jeu e femme encore endormis a côté de moi. J'ignore qui elle est, j'en ai même oublié son prénom. Et comme à mon habitude depuis environ deux semaines je vais partir comme un voleur sans dire un mot.

Oh, je vous vois venir ! Vous pouvez me traité d'enfoiré si cela vous fait plaisir, mais je n'en reste pas moin un homme. Coucher avec ses femmes me permet pendant quelques temps d'oublier ce que j'ai perdu et tout simplement, car j'ai des besoins.

Je fini pas sortir de la chambre d'hôtel et retourne à mon appartement. Désespérément vide. Je déteste passer du tout ici à présent. C'est pour cela que je suis s'en arrêt en déplacement. Je me dirige vers le bar, après avoir déposer ma veste sur le canapé, pour me prendre un verre lorsque mon frère fait irruption dans la pièce.

- Salut. Lui dis-je simplement.

- T'étais où cette nuit ? Me demande-t-il

- En quoi ça te regarde ?

- Ça me regarde lorsque tu redeviens le connard que tu étais avant !

- Qu'est ce que tu veux que je te dise. Je suis majeur et vacciné.

- Tu as toujours aucune piste, c'est ça ?

Je préfère rester silencieux. Il le sais que ma façon d'agir est comme un appel à l'aide. Passé de femme en femme ce n'était plus moi. Ce n'est plus moi. J'étais près à me poser. J'étais prêt, bordel de merde !

- Tu l'aime encore, n'est-ce pas ?

- Je veux pas en parler. Dis-je simplement.

- Te renfermer sur toi même ne feras qu'empirer les choses Daryl. Si tu veux peut-être un jour tourner la page, arrête de jouer au con qui change de femme comme de chemise.

Nous sommes coupé par l'un de mes hommes qui rentrent dans l'appartement.

- Patrón, on a du nouveau ! Dit-il à bout de souffle.

Je regarde mon frère et remet ma veste grise.

- Excuse frangin. Mais j'ai a faire. Lui dis-je, avant de quitter l'appartement.

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Pdv Katarina

Je suis au Mexique et à la tête du Cartel depuis maintenant plusieurs mois. Et une chose est sûr c'est que je ne vois pas le temps passer. La première chose que j'ai dit faire et de trouver le lieux idéal pour en faire notre QG, notre lieu de rassemblement.

L'endroit qui serait mon nouveau chez-moi. Et c'est tout naturellement que j'ai décider de retourné à limmence propriété ou j'ai grandi avec Abuelo. Mais étant restant à l'abandon durant plusieurs années et sans entretien la nature avait fini par reprendre ses droits.

Avec l'aide des mes hommes, nous avons passer un bon moi et demi à remettre la propriété comme neuve. C'est ici que tout a commencé pour le Cartel et c'est ici que tout doit continuer.

J'ai bien sûr demander à Ricardo d'être mon bras droit, mon conseillé, mon confident. C'est encore tout nouveau pour moi, d'avoir t'en de personnes sous mes ordres. Je sais que lui seul sera de bon conseils.

Après la rénovation, les rumeurs ont commencées à circuler au Mexique. Le grand Cartel de Los Reyes serai de retour, mais pour certains ce n'est que fabulation.

Nous avons également commencé à reprendre, petit à petit, les territoires qui appartenaient autrefois au Cartel. Pour une fois depuis longtemps j'ai enfin l'impression d'avoir trouvée ma place.

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Fin du chapitre 15