Pdv KatarinaJe me réveille aux aurores après une bonne nuit de sommeil. Je retire mes sous-vêtement qui tombent sur le sol et pars en direction de la salle de bain. Je me glisse sous la douche et me délecte de l'eau chaude qui ruisselle le long de mon corps, encore partiellement endormie.
Les journées d'un chef de Cartel sont longues et les nuits sont courtes. Mais si il faut en passer pas la pour relever le Cartel, alors ainsi soit-il.
Après avoir terminé ma douche et avoir noué une serviette autour de mon corps nu, je retourne dans un coin de ma chambre où se trouve mon dressing. Je surprend ma domestique en train de refaire mon lit et de ranger ma chambre.
- Bonjour, María.
- Bonjour, Madame. Avez-vous besoin de quoi que ce soit, Madame ?
- María, je vous l'ai déjà dit, pas la peine d'être aussi formelle avec moi. Dis-je en m'approchant d'elle et en lui souriant. Vous pourriez être ma mère et le fait de vous entendre m'appeler madame me met mal à l'aise.
- Bien. Je ferais en sorte de m'en souvenir. Désirez-vous du thé ou du café pour votre petit déjeuner ?
- Un café noir sans sucre, s'il vous plaît. Une fois ce dernier prêt, apportez le dans mon bureaux. J'ai énormément d'affaires à réglées.
Elle acquiesce avant de quitter la pièce. Pour ma part j'enfile une robes de tailleur noir avec un chemisier blanc. Une paire d'escarpins et je me dirige vers mon bureau. Il me reste encore deux heures de libres avant l'arrivée de mes hommes.
Je m'installe sur le fauteuil en cuir veritable trônant derrière l'immence bureau en bois massif aillants tout deux appartenu, jadis, à Abuelo. J'ai retrouver énormément de dossier lui aillant également appartenu. M'aidant considérablement sur le comment il faisait fonctionné le Cartel à son époque. Et je dois avouer que ce n'est pas de tout repos.
Je commence par traiter plusieurs dossier et à préparer plus actions que devrons menés à bien quelques-uns de mes hommes sur le terrain. Mais il reste toujours un dossier sur mon bureau que je n'arrive pas à réglé.
Ce dossier je l'ai trouver dans les affaires qu'abuelo avait laisser ici. Il cherchais qui pouvait être coupable de so empoisonnement.. Mais il n'a malheureusement pas eu assez de temps pour aller au bout de ses recherches. Et c'est à moi de les continuées aujourd'hui. Je trouverai le coupable et je lui ferais regretter de m'avoir ôter ma seule famille.J'entends soudainement plusieurs grondement de moteur m'indiquant l'arrivée en masse de mes hommes sur ma propriété. Je descend et me dirige vers la salle dans le salon où se trouvent bon nombres d'entre-eux.
- Bonjour, Messieurs.
- Bonjour, Patrón ! Disent-ils en chœur.
Je m'installe dans mon fauteuil et mes hommes m'imitent en s'asseyant à leur tour.
- Des nouvelles concernants les informations que je vous ai demander de me fournir.
- Oui, Patrón. Dit l'un d'entre eux en me donnant un dossier.
- Autre chose ? Et en ce qui concerne le petit réseau de cocaïne de Punta Diamente ?
- Il a était détruit, Patrón. On s'en ai occupé, comme vous nous l'aviez demander.
- Bien. Veuillez a ce qu'ils n'essaient pas de refaire leur petit réseau. Gardez un œil sur eux. Leur ordonnais-je. Bien, si cela est tout ce que vous aviez à me dire, voilà vos objectifs. Veuillez à ce qu'il n'y ai aucune bavure, messieurs. dis-je en déposant une pile de dossiers sur la table.
- Bien, Patrón !
- Vous pouvez disposer.
Sur ces dernière paroles ils se levent, prennent les dossiers sur la table et sorte du salon. A présent seul je me concentre sur le dossier que l'on m'a donner. J'ouvre ce dernier et je sens le dégoût et la colère s'emparer de moi à la vue de ces clichés.
- Pitoyable. Dis-je amèrement en referment ce dossier de merde et en le balançant sans ménagement sur la table.
Je ferment les yeux quelques instants afin de regagner mes esprits lorsque une voix m'interpelle.
- Qu'est ce qui est pitoyable, Mlle ?
- Bonjours Ricardo.
- Bonjours, Mlle. Dit-il en prenant le dossier sur le table afin de regarder de quoi il s'agit.
Il glisse ensuite un regard vers moi avant de refermer le dossier.
- Je vois que vous n'avait pas pu vous empêcher de faire surveiller Mr.Ortega .
- Je le garde juste à l'œil, au cas où. Rien de personnel.
- Rien de personnel ? Répète t-il amusé. Mlle, je vous connais assez pour savoir lorsque vous mentez. Et en l'occurrence, c'est le cas.
Il s'approche pour venir s'asseoir près de moi.
Il ouvre le dossier en grand sur la table. Je détourné le regarde ne voulais pas voir ses maudits clichés.
- Regardez-les, Mlle. Dit-il calmement.
Mon regard retourne, malgré moi, se posé sur ses clichés qui malheureusement, me font encore du mal. Qui a t-il de pire que de voir l'homme que l'on a aimé et que l'on aime sûrement encore, embrasser plusieurs femmes ? Voyant la tristesse dans mon regard, Ricardo pose une des ses mains sur mon épaule.
- Vous vous faites du mal à vous accrochez à lui. Il ne vous mérite pas, Mlle. Laissez-le partir. Un homme comme lui n'est pas digne d'être à vos côtés.
- Si vous le dites. Dis-je tout en me levant. Changeons de sujet, s'il-vous-plaît. A quel heure ai-je rendez-vous avec le chef du Cartel de Sinaloa ?
- À 14h, au vieux port, Mlle.
- Bien! Cela me laisse un peux de temps pour pouvoir réfléchir à une technique d'approche afin de conclure une trêves entre nous.
- J'ai une totale confiance en vous, Mlle.
- Merci, Ricardo. Lui Dis-je en lui souriant. C'est rassurant de vous savoir auprès de moi.
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Fin du chapitre 16
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ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 2 : Soᥙffrᥲᥒᥴᥱ Et Exᥲᥣtᥲtιoᥒ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]
FanfictionKatarina et Daryl vivent le parfait amour.. Tout va pour le mieux depuis que Daryl a aider sa belle a s'évader. Mais vous savez ce qu'on dit ? Le bonheur ne dure jamais bien longtemps.. Entre infidélité, trahison, colère et amour.. Nos deux amoureu...