Chapitre 24

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Pdv Katarina

J'attends plusieurs minutes assise dans le fond de mon fauteuil que les données GPS soient tracées. Un petit *bip* se fait entendre et je m'empresse de regarder a nouveau l'écran.

La voiture a été localisée à Zihuatanejo.. Mais quest ce que tu fais là-bas, Ricardo ? Nous n'avons aucune connaissance là-bas. Et il ne serais jamais partis sans me le dire au préalable.

Je dois aller voir se qui se trame dans mon dos. C'est louche cette histoire. D'abord une tentative d'assassinat sur Daryl et maintenant Ricardo qui disparais. Quelqu'un en veux au cartel  ou en a après moi. Je demande à plusieurs de mes hommes de se préparer à m'accompagner à l'aide du talki walki, y aller seule serais du suicide si jamais il y a du danger.

Je me lève et me dirige vers la bibliothèque, qui se trouve dans un coin de mon bureau, et fait pivoter une petite statuette. Cette dernière fait un petit "clic" m'indiquant que la trappe secrète et ouverte. Je tire sur la bibliothèque et entre dans la pièce qui été cachée par cette dernière.

C'est ici que sont placer toutes mes armes personnelles ainsi que des faux papier d'identités, juste au cas où.

J'attrape un fusil à pompe ainsi que pistolet, que je place à dans mon dos, et me dirige vers la sortie. Zihuatanejo est à plus de quatre heures de routes d'ici. Cela me laissera le temps de réfléchir à certaine choses.

Une fois arrivé sur le lieux où se trouve le véhicule de Ricardo nous remarquons des impact de balles. Donc, sa venue ici n'était pas anodine. Il lui ai bel et bien arriver quelques chose, mais quoi ?

Je contourne le véhicule tout en regardant a l'intérieur. Puis un de mes hommes m'appelle pour me signaler quelque chose à l'arrière du véhicule.
Je m'approche et remarque qu'un epais liquide rougeâtre, provenant du coffre, traverse la carrosserie pour venir s'écraser sur le sol.

Je pose ma main sur le loquet pour ouvrir le coffre lorsqu'un de mes hommes me met en garde.

-" C'est peut-être piègé, patrón."

Je n'y prête pas attention et ouvre ce dernier.

- "Oh mon dieu, Ricardo !" Criais-je

Ce dernier est bâillonner et ligoté les mains dans le dos. Sa chemise v
Blanche est converte de sang du a une blessure par balle à l'épaule et à d'autres blessures, qui elles sont superficielles. Mais fort heureusement, ce dernier respire toujours.

Avec l'aide de mes homme nous le sortons et le ramenons jusqu'au véhicule. Une fois de nouveau en route en direction de la villa une des mes homme appel le doc' afin qu'il se prépare à s'occuper de Ricardo à notre arrivée. Pendant ce temps j'essaie par tout les moyen de maintenant Ricardo en vie en faisant pression sur sa plaie.

- "Reste avec moi, Ricardo ! Tu peux pas me lâcher comme ça ! Pas maintenant ! J'ai besoin de toi !"

Nous finissons par arrivé à la villa. Ricardo à perdu beaucoup de sang durant le voyage mais il est rapidement pris en charge par le doc qui le conduit à une chambre médicalisée.

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Pdv Matt

Combien de jours ai-je patienté entre ces mur blancs et ses bips incessant ? Trois, quatre jours.. Ou peut être plus, qui sais ? Je reste là désespérément assis, sur ce maudit fauteuil à regarder mon jumeau branché à des machines.
Les médecins ignorent si il gardera des séquelles du au coma dans lequel il est plonger. Enfin pour cela, il faudrais déjà qu'il se réveil.

Une des nombreuses infirmière prend les constantes de mon frère, ainsi que changer sa perfusion. Puis elle  entrepris les geste pour faire sa toilette mais je l'arrête gentiment en posant ma mains sur son bras.

- "Je vais le faire, s'il vous plaît. C'est à moi de le faire."

Elle hésite un moment avant de me passe le tissu avant de sortir de la chambre avec avoir fermer les rideaux.
Une fois seul à seul avec mon double je repli la couverture jusqu'à ses pieds et commence à passer le tissu humide sur son visage, puis ses bras.

Je fini par lui ôter cette immonde blouse blanche pour finir sa toilette. Heureusement ce dernier porte encore son boxer. Son torse est entaillé à certain endroit dû aux debris de verre. C'est dur pour moi de le voir allonger la comme ça, lui qui est si vif.

- " Tu sais, il serait peut-être temps que tu te réveil maintenant. Flemmard. " Dis-je en plaisantant avec un soupçon de tristesse.

Lorsque sa toilette fut fini, je le revêt d'une nouvelle blouse et le recouvre avec la couverture par la même occasion. Puis je m'assoie de nouveau sur le fauteuil, en l'ayant préalablement rapprocher du lit. Je glisse ma main dans celle de mon frère. Ce simple contact me permet de garder espoir.

Épuisé par ses longs journée et nuit à veillé sur mon frère je repose ma tête sur mon bras qui est posé sur le lit et m'autorise à fermer les yeux juste quelques instants. Mais alors que le sommeil prend peut a peut possession de mon être, un évènement me tire de ma léthargie.

J'ai pas rêvé la, si ? J'ouvre les yeux et regarde la main de mon frère qui remue légèrement. Je me lève précipitamment et cours appeler les infirmières.

C'est dernières arrivent précipitamment dans la chambre. Elles s'approchent de lui et essaie de le stimuler jusqu'à obtenir une réaction, ce qui ne tarde pas à venir, car ce dernier essaie difficilement d'ouvrir les yeux.

Je me précipite vers lui et m'approche de son visage. Ce dernier ouvre les yeux et me regarde.

-" Hermano, tu m'a fait peur tu sais !"

Il ne me répond pas mais me regarde bizarrement.

-" Pardon mais.. On se connaît ? "

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Fin du chapitre 24












ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 2 : Soᥙffrᥲᥒᥴᥱ Et Exᥲᥣtᥲtιoᥒ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant