Chapitre 6-

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Sérieusement, il y a plus de deux millions de personnes qui habitent au Queens, pourquoi faut-il qu'il vienne me voir moi ? Je suis sûre que pleins d'autre gens ont besoin de lui. Sans faire attention, je fonce dans quelqu'un.

-Attention.

Je lève la tête et vis collant rouge. Il se déplace trop rapidement.

-Ragh ! Tu n'as pas... Des trucs de super héro à faire ? Dis-je, plus qu'énervée.

-Je ne suis pas vraiment un super héro.

-Ça, j'avais remarquée ! Lâche moi la grappe !

Puis je passe en prenant le soin de bien le bousculer.

-Tu ne veux pas que je te ramène ? Propose t-il.

Je m'arrête. Ça pourrait être une bonne idée.

-Et comment ? Demandais-je en me retournant.

Il tire une toile d'araignée vers un immeuble.

Je ricane.

-Alors là, NON ! Même pas en rêves ! Dis-je.

-Tu as peur ?

-Non, je n'ai pas peur ! Ce que je ne veut pas c'est devoir me coller à toi pendant tout le trajet. Eurk, non.

Il soupire.

-T'es compliquée, toi.

-Tu me l'as déjà dis. Dis-je froidement.

De son autre mains, il tire une toile d'araignée sur mon bras et me tire dans ses bras.

-Collant ! Lâche moi tout de suite !

-Voilà que tu m'appelles comme Monsieur Stark. Dit-il d'un air amusé.

Je n'ai pas le temps de répliqué que je suis propulsée dans les airs. Par réflexe, je me tiens à lui. J'enroule mes bras autour de son cou. Je tiens à ma vie ! Mettons notre fierté de côté, les enfants...

-LAISSE MOI DESCENDRE ! Criais-je.

-T'aime pas ? Dit-il assez fort pour que je puisse l'entendre.

Je cris. Ça fait peur son truc. A chaque descente je m'agrippe plus fortement à lui. Ça le fait rire.

-JE TE DÉTESTE ! ARRÊTE DE RIGOLER C'EST PAS DRÔLE, SALE SADIQUE ! Criais-je.

Un cris mélangé à la peur et à l'énervement.

-Je te dépose où ? Demande t-il.

Je lui cris l'adresse, et il accélère. Au bout de quelques minutes, je commence à m'habituer et je dois avouer que c'est cool. Le problème, c'est que ce soit avec lui !

-On arrive dans environ 10 minutes ! Crit-il.

-Déjà ? Dis-je en criant tout aussi fort.

Le vent fait du bruit.

-C'est bien plus rapide que le train !

Je rigole intérieurement. C'est un bon moyen de transport.

Le vent frais fouette mon visage et c'est assez agréable. Mes cheveux volent dans le vent. C'est clicher, mais vrai. Quand on est seul avec de la musique, se balançant d'immeuble en immeuble, ça doit vraiment être relaxant et amusant.

Quand il me pose enfin sur le sol, j'ai un peu le tournis et je tangue. Je m'écroule, perdant l'équilibre, mais au dernier moment il me rattrape.

-Attention. Dit-il.

Je me redresse rapidement et m'écarte de lui.

-Tu connais Monsieur Stark ? Demandais-je.

-Je travail avec lui.

C'est... Impressionnant... J'ai toujours trouvée Tony Stark impressionnant.

-Aujourd'hui j'ai aider une jeune femme en détresse ! Dit-il, fière de lui.

Je soupire. Toujours aussi arrogant celui là.

-D'accord, tu m'as aidée A MON INSU, mais bon, maintenant que ta "mission" est terminée, tu peux partir. Dis-je, froidement.

Il m'a aidée, mais il reste toujours autant prétentieux.

Je rentre dans l'immeuble sans attendre sa réponse, mais il me retient par le poignet.

-Lâche moi ! Dis-je, méchamment.

-Pourquoi tu me déteste autant ? Demande t-il.

-Tu es prétentieux et tu fais tout pour attiré l'attention. J'ai horreur des personnes comme toi. Puis, en plus, tu es masqué. Si ça se trouve, tu es un vrai psychopathe. Ou alors, je te connais en vrai et je te déteste. Trop de mystère autour de toi et je déteste ça.

-Ou alors tu m'adores.

Je me libère de son emprise et mis ma main sur sa tête pour le pousser loin de moi.

Je rentre dans l'immeuble en fermant la porte derrière moi. Je monte au deuxième étage et vais devant l'appartement 12, le miens. Je sors mes clés et rentre.

Je m'écroule sur mon lit, fatiguée de cette journée.

Quand j'ouvre les yeux, il est 21h. Je n'ai pas encore mangée, ni fait mes devoirs...

Je tourne la tête vers ma fenêtre. Je me lève, ouvre cette dernière et vais chercher un arrosoir. Je le prend, me dirige vers mon robinet, le remplis et vais sur mon petit balcon arroser mes deux petites plantes. J'ai vue sur la plage, d'où je suis. Il y a mon immeuble, la route, puis une sorte de muret assez haut. Derrière ce muret il y a la plage. A cette heure là, c'est vide. Malgré tous les habitants du Queens, la plage est vide le soir. Sauf pendant l'été. J'arrose donc mes deux Aloe vera, puis pose l'arrosoir à terre. Je m'appuie sur la petite barrière en bois de mon balcon et observe la plage, les vagues... C'est calme. Ça serait mieux si il n'y avait pas le bruit des voitures... Et si j'allais y faire un tour ? Non, je pense qu'il s'est déjà passé assez de choses pour aujourd'hui. Je tourne un peu la tête et vis Spider-man assis sur le muret. Il balance ses jambes. Il est calme, ne faisant rien appart fixer les vagues dansante et le sable volant à cause du vent. Je soupire. Pourquoi je le croise tout le temps ? Je lève la tête vers la lune. Une petite brise refait son apparition, me faisant frissonner. Je retourne la tête vers l'homme araignée. Il n'a pas bougé. A si, maintenant il regarde le sol. Et si il n'allait pas bien ? Bon, bah c'est pas mon problème. Il a qu'a être moins arrogant. Il est arrogant, oui... Mais moi je suis méchante...

Je ferme la fenêtre en poussant un soupire, puis vais me faire réchauffer une pasta box. J'ouvre mon agenda pour regarder si j'ai des devoirs et vois que je dois faire un travail en science. Une étude de document.

Je vais chercher mes affaires et ramène tout ça sur la table du salon, puis lance la télé. Mon micro-onde sonne, donc je vais chercher mon repas. Je m'assoie sur la canapé et commence a travailler, tout en mangeant, avec la télé comme bruit de fond. J'aime bien faire ça. Les avantages de vivre seule... Seule.

The Purple Stone - Spider-man // Peter ParkerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant