The Purple Stone - Spider-man // Peter Parker

Chapitre 35-

-Comment ça s'est passé ? Demandais-je en m'asseyent dans le canapé.

-Bah comme on te l'avais dit, on les a niquer. Me répond Scott.

Je lâche un faible rire et regarde les Avengers.

-Ça va, vous n'êtes pas trop blessés... Tout ça est... vraiment finit ? Je veux dire... Plus personne n'en a après la pierre ou... moi ?

-Maë, commence Tony, des gens convoitent surement la pierre. On va appeler Captaine Marvel pour qu'elle l'a détruise. Pour ce qui est de "en avoir après moi", on ne peux pas savoir. En tout cas, ce qu'on suppose être leur chef, est enfermée dans cette tours. Ses larbins sont en prison et... J'ai envoyer une armure à distance pour qu'elle s'occupe du bébé dans ta chambre.

-Le bébé ? Intervint Ant-man.

Je remarque que Spider-man n'a pas dit un mot depuis qu'il est là. Il a les bras croisés et fixe le sol. Je devrais peut-être allé lui parler ?

Non, mauvaise idée ! Je me contre-dis moi-même ! Mais même si on ne voit pas son visage, quand quelqu'un fixe le sol, qu'il ne prends pas la peine de regarder en l'air pour apprécier ce qu'il y a autour, c'est qu'il ne va pas bien...

-Bon bah les enfants, merci d'être venu ! Vous pouvez repartir hein ! Dit Tony. Scotty, reste pour manger.

L'homme de fer me fit un clin d'œil puis parta. Tous les Avengers se dissipèrent en me saluant, sauf Scott qui se jette littéralement sur le canapé.

-Doucemennnt ! Dis-je.

-Pardon, c'était trop tentent.

Je rigole et tourne la tête vers le balcon. Je vis l'homme araignée se tenir contre la rambarde.

Je m'approche doucement de lui, même si je sais que je vais le regretter.

-Hey... Dis-je.

-Ah... Salut.

Wow, ça fait plaisir.

-Tu te sent bien ? Pas trop amoché ?

-Non, ça va. Et toi ?

-Mieux, oui, même si c'est une journée riche en émotion.

Un blanc s'installa, mais il le rompt.

-Tu n'étais pas sensée m'ignorer ?

-Très bien. Dis-je en croisant les bras.

-Non ! Parle moi ! Mais ce que je veux dire c'est... Ça va duré combien de temps ?

-Je ne peux pas te le dire.

-Si tu savais qui j'étais, ça changerais tout... Murmure t-il.

-Oui, probablement. Mais tu sais, je t'apprécie. Ce n'est pas parce que j'ai décider de ne plus te parler que je te hais...

-Bah encore heureux ! Sans toi je peux pas !

Il recula de quelques centimètre après avoir dit sa phrase, se rendant probablement compte de la bêtise qu'il venait de faire.

Je souris bêtement.

-Qu'est ce qui t'empêche de me dire qui tu es ? Demandais-je.

-Moi ! Maë, file au lit !

Je me retourne et vis Tony, les bras croisés.

Je soupire.

-On n'a même pas encore mangés !

Il rigole et se dirige vers la cuisine en faisant une petite danse... Me faisant un peu penser à la démarche d'un canard

-un mois plus tard-