Chapitre 25

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Je n'eus pas le temps de finir ma phrase, j'étais comme paralysé, honnêtement je m'étais emporté car ce qu'il avait dit m'avais blesser, j'avais hurler cette phrase, les larmes m'étaient monter dans le coin des yeux, je les avaient laisser dévaler le long de mes joues, pensant qu'il n'allait plus vouloir de moi, plus vouloir m'aimer, je me sentais perdu.

Seule, inquiète et tellement mal, je souffrait juste à l'idée de le perdre, cette vie ne valait pas la peine d'être vécue sans lui, sans seth, sans la personne que j'aimais plus que tout au monde.

Je me sentais perdu après ce que talia venais de me dire, je pensais qu'elle m'avait utilisé juste pour pouvoir vivre, mais c'était bien plus profond que cela, elle m'aimais, elle venais de le dire, elle ne voulais pas me perdre, sans vraiment réfléchir je mettais levé et j'avais courue, je la pris dans mes bras et scellait mais lèvres au sienne, dans un baiser des plus profonds, des plus amoureux que je n'avais encore jamais donner.

Ses larmes m'avaient marquer, quand je les ai vue je n'ai pas pue faire autrement que d'aller chercher son étreinte, j'étais un homme presque heureux à ce moment la, car vas-t-elle l'accepter ? Je ne veux pas qu'ils se rejettent, j'espère que tout ira bien et surtout qu'elle ne m'en voudras pas.

Je reculais et posa mon front contre le sien, ses yeux fermés, les traces rouges sur ses joues montrent le trajet qu'avaient fait ses larmes, la bouche entrouverte, son souffle cour, elle rouvrit les yeux, n'en pouvant plus je scellais une nouvelle fois mes lèvres au sienne, elle y répondit avec avidité, j'étais comblé à ce moment avant qu'une pensée me fit sortir de ma transe.

Mes parents nous avaient invité, il fallait que je sache ce qu'elle en pensais. Je me décollait d'elle et elle vînt se blottir dans mes bras, je resserre mon étreinte pour lui montrer, lui montrer que j'étais la, qu'elle était en sécurité, mais aussi, que je l'aimais plus que tout. Je pris mon courage à deux mains et lança le sujet de la discussion.

-Hum... talia il faut que l'on parle.

Ma voix se voulait assurer mais moi je ne l'était pas du tout. Elle voulue relever la tête mais mon étreinte l'en empêchait.

-Hum... seth je...

-Non laisse moi finir.

Je l'avais couper pour être sûr qu'elle me laisse finir car à ce moment mon courage serait sûrement partis, si elle me disais qu'elle ne voulait pas voir ma famille mais qu'elle y allait par obligation alors je me sentirais tellement mal, tant que mon courage étais la je devais finir ce que j'avais commencé.

-Tu sais hier... on as parler du faite... d'aller voir mes parents et... je voulais savoir ce que tu en pensais.

Mon rythme cardiaque accéléra au fur et à mesure des minutes qui s'écoulaient, attendant sa réponse, j'avais peur mais une fois que je le saurais soit je pourrais comprendre mais ça me feras mal.

Elle se decolla de moi lentement, je commençais à paniquer, non, qu'elle ne me laisse, j'étais à ce moment la comme un enfant perdu qu'on avait abandonné, seule face à ce monde cruelle que l'on appel généralement l'amour.

Il vous fait espérer, vous fait rire, pleurer, vous rend joyeux, malheureux, mais aussi vour rend fort, chanceux, vaillant, parfois courageux et parfois peureux, enfaîte être amoureux c'est juste supporter les hormones d'une femme enceinte, enfin bon revenons en au moment présent.

Je la regardais se diriger vers le lit, je pris place sur la chaise, je croisais les bras sur mon torse pour me donner une contenance, elle plogeas son regard dans le mien, je voulais me lever lui dire que non finalement je ne voulais pas le savoir, mais maintenant je ne pouvais malheureusement plus du tout faire marche arrière, c'était trop tard, meme si je voulais fuir à l'autre bout du pays, personnelement je ne pourrait même pas partir 2 jours sans revenir au galop auprès de talia.

-Personnellement... du moment que toi tu est heureux et que ça te fais plaisir... alors moi aussi je suis heureuse.

Tous les films que je venais de me faire venait d'être balayer d'un revers de la main, elle avait ce don de trouver les bons mots avec moi.

-Mais toi tu en pense quoi de rencontrer mes parents ?

Mais elle ne pouvais pas répondre avec ce genre de phrase si simple et je n'allait pas lâcher l'affaire si facilement.

The Eyes Of The Soul (EN CORRECTION) Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant