The Eyes Of The Soul (EN CORRECTION) Tome 1

Chapitre 19

Je marchais dans la forêt, slalomant entre les arbres, chaque pas que je faisait raisonnait dans cette forêt, le bruit des feuilles s'écrasant contre le sol au contacte de mes chaussures, les fine branches qui étaient tomber des arbres craquaient sous mon passage.

La lumière du soleil passant entre les feuilles, venant laissait quelques rayons trainer dans cette forêt, laissant ainsi la forêt iluminer ses arbres et ses feuilles, le silence reposant, les animaux paisibles.

Je continuais ma marche quand je fini par tomber sur un arbre, immense, trônant au milieu de cette forêt, surplombant de toute sa hauteur les autres arbres, comme si il était le roi, l'ancien, le sage, comme si lui avait tout vécu.

Ses racines ressortant du sol, les fissures profonde sur son tronc montrant son âge avancée, ses branches étaient grandes, comme si il entourais la forêt pour la protéger, mais il était la, seul au mileiu de tous, comme moi.

Je m'approchais de cet arbre et fis glisser mes doigts le long de ses racines, je pris appuie sur une grande racine et m'assieds dessus. Mes jambes balançant dans le vide, mes mains poser de part et d'autre de mon corps, j'observais, devant moi, j'observais cette forêt, l'odeur de bois, de feuilles et sève me parvint au nez.

Laissant peser une agréable atmosphère autour de moi, je descendis de l'arbre et fit le tour, je vis entre deux racines, comme un siège, comme un cocon agréable laisser par l'arbre, pour laisser les gens si installer et qu'ils se sentent en sécurité.

Je pris place à cette endroit, mes fesses sur le sol, mon dos coller à ce tronc, je pris une grande inspiration et ferma les yeux, l'atmosphère de ce moment, de cette endroit, de cette arbre, m'apaise comme si j'étais chez moi, comme si ce lieu m'appartenait.

La réflexion pris place dans mon esprit, ou plutôt mes questions revenait à l'assaut, comme un château se faisant attaquer par des chevaliers, peut importe comment, elle m'attaquait de par et d'autre, j'avais beau fermer mon esprit à tout penser elles étaient la.

La fatigue aussi fit son apparition, le sommeil ne tarda pas à m'emporter loin de ce monde, loin de cette réalité, qui s'amusait avec moi, avec mes émotions, mais aussi... avec ma vie.

Endormis profondément talia ne sentais arrivé cette chose, tapis dans l'ombre, l'observant de ses yeux sombre, il l'a trouvais magnifique, mais restais méfiant, elle pouvais se réveiller d'une seconde à l'autre.

Il entendit sa respiration lente, son coeur battant à un rythme régulier, il savait, il savait que le sommeil venait de l'emmener, l'emmener loin. Il l'observait encore quelques minutes, avant de s'approcher d'elle, des mouvements furtifs et calculés, ne faisant pas raisonner cette forêt, il regardais l'arbre qui de ses branche protégeait talia, qui de son visage endormis paraissait sereine, comme si elle se trouvais dans un cocon maternelle.

Il se positionnait sur ses membres, surplombant l'éphémère de toute sa hauteur, sa prestance ne faisait pas tâche dans cette forêt au contraire, cela évoquais un tableau d'une splendeur époustouflante, il paraissait comme étant le maître de ce lieu, qui pourtant lui était clairement familier, du faite qu'il avait l'habitude de venir ici, et cela depuis bientôt plusieurs années.

Son regard toujours poser sur l'éphémère, il attendais son réveil, qui ne tarda pas à se faire, il le compris quand il entendit un léger changement de rythme cardiaque provenant de celle-ci, sa respiration se faisant plus courte, ses paupières papillonais, son regard se dirigeas alors vers l'autre présence.

Je me sentais réveillé, comme si la forêt m'appelais, comme si elle voulait me tirer de mon sommeil, je repris conscience assez rapidement, mes yeux papillonais, mon regard se dirigeas alors vers lui, l'incompréhension totale, je ne pensais plus à rien à ce moment la.

Je le regardais depuis un moment, il m'observait lui aussi à son tour, personne ne bougeais, ses pattes ancrée de le sol, ce regard perçant, je le sentis, c'était lui, je le regardais et repensais à cette journée, avant de laisser sortir de ma bouche c'est quelques mots qui pourtant avant ne seraient jamais sortis.

Et dans un dernier souffle c'est mots traversèrent les remparts de mes lèvres avant de résonner dans cette forêt toujours aussi silencieuse.

-Marque moi.