The Eyes Of The Soul (EN CORRECTION) Tome 1

Chapitre 15

Stanley ne voulait pas bouger, il nous fixais de son regard haineux, une haine viscéral. Le stress et la peur montait en moi, quand il se transforma sous nos yeux, provocant alors la colère de seth, qui entra dans son jeu et se transforma à son tour.

Les deux loups se tournais autour, se jaugent, vouoant chacun dominer l'autre, montrent leur puissance de leurs crocs acérés, leur grognement bestiale raisonnant dans le couloir, laissant talia dans un recoin apeurer.

La situation ne pouvais pas être plus compliqué, le loup de stanley se baissa, prêt à bondir sur seth, quand à lui, seth resta de marbre face à l'agressivité que montrait l'autre loup, sans le voir venir seth bondis sur son adversaire qui lui se baissa et passa en dessous le loup, esquivant seth, stanley coura puis se tournas avant de parti en courant du bâtiment.

Seth toujours sous forme de loup jetta un regard en ma direction avant de s'élancer à la poursuite de son adversaire, il venait de le défier, l'avenir était maintenant entre les griffes de seth, talia tenta de le retenir mais en vain, il avait déjà passer les portes, s'élançant dans une course frénétique, entrant dans la forêt il disparut peu de temps après.

J'expirais tout l'air que j'avais contenu dans mes poumons et me retrouvas alors genoux à terre, apeurée et inquiète pour ce moment qui venait de se dérouler sous mes yeux. Je ne bougeais pas, espérant revoir la silouhette de ce loup qui venait de partir loin de moi.

-Seth. Murmurais-je plus pour moi-même.

Espérant qu'il n'entende ne serait-ce que la peine et l'inquiétude dans ma voix, qui le concernait. Je sentis une main se poser sur mon épaule et me tourna vers la personne qui venait d'apparaître, reconnaissant cette personne je lui sourie, il voyais que j'étais inquiète, il me saisi au épaules et m'aidait à me relever, avant de m'emmener vers la cafète.

-Il doit le faire tout seul. Me dit Eliott dans un murmure plus pour me rassurer.

Je posais ma main sur la sienne pour lui montrer ma gratitude et ma reconnaissance vis à vis de son soutien, malgré le faible sourire que je lui faisait, il me le rend juste avant de m'aider à m'asseoir.

-Hum... ta... talia ? Me demande gaïa.

Je la regarde attendant ce qu'elle veux me dire. Elle déglutit avant de reprendre.

-Tu... tu sais que... que en temps que loup et bien... et bien... comme... heu... comme on est fais partis de la meute de seth... et bien... et bien... heu...

Je la voyais combattre avec elle-même sur la façon de prononcer les prochain mot qui je suppose me feront sûrement peur ou me donneront du stress ou de l'inquiétude et du stress supplémentaire. Voyant qu'elle hésitais je posa ma main sur la sienne avant de lui montrer un faible sourire, lui signifiant qu'elle pouvait me dire ce qu'elle voulait.

-Et bien... on peux communiquer... enfin par la penser... enfin tu vois... je veux dire... que... la il se bat et que... nous... et bien... nous on vois tous.

Sa voix paniqué me fis réfléchir, si je leurs demandent alors cela montrera que je n'ai pas confiance en seth, et su je ne le fais pas alors il pourrait penser que je m'en moque.

Prise en pleine réflexion avec moi-même je mis ma tête dans mes mains avant de faire tout simplement ce que je pensais ou plutôt ce que je ressentais.

-Tu peux lui faire passer un message de ma part ? Demandais-je le plus sérieusement à Gaïa.

Elle hocha de la tête et montra qu'elle m'écoutais attentivement.

-Dit lui juste que il à intérêt à revenir et en un seul morceau, que... que j'ai confiance en lui et que je... je... j'ai quelque chose d'important à lui dire.

Gaïa hocha de la tête avant de se concentrer, puis un sourire vient s'afficher sur son visage, elle se tourna vers moi.

-Il répond ne t'inquiète pas je serais toujours la pour ma.... pour... pour ma...

Gaïa rougis légèrement bégayant sur le dernier mot, elle était trop gêné pour prononcer les mots de son chef. Eliott remplace alors Gaïa dans le discours.

-Pour ma futur femme.

Bouche bée telle était le mot qui décrivais actuellement ma façon d'être actuellement, si il avait encore l'humeur de rire pensais-je, alors c'est qu'il s'en sortais.