XXIX : Un autre monde

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Esquisse d'un monde dans mon esprit fécond,
Où tu as disparu de sa surface immonde,
Alors, il ne reste que ce que l'homme fonde,
Ces tristes bâtiments, ce monde moribond,

Les pales lumière de la ville s'éteignent ,
Mais ta lumière ne s'allumera plus,
Tu as été consumée par les années rebut,
Qui ont vu l'homme naître afin qu'on t'atteigne,

On causa ta perte, juste pour guerroyer,
Ils t'ont pris ta beauté, ils en ont fait une arme,
Sans jamais regretter, sans verser une larme,
Pour toi qui nous a vu, grandir, évoluer.

Ici le noir complet signifie couvre-feu,
Ta si belle lumière était ma liberté,
Mais ils me l'ont prise... Mais ils me l'ont volé,
Alors j'écris sur toi, sur tout, sur moi, sur eux.

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Nota bene : ce poème est le fruit total de mon imagination, il ne reflète pas -et ne reflétera jamais, je l'espère- la réalité, j'ai imaginé comment l'égoïsme de l'homme, sa bêtise et sa soif de pouvoir, pouvaient évolué.
Quoi qu'il en soit, moi qui n'écrivait plus « Vik » (mon autre histoire) ça m'a donné des idées pour la recommencer à 0 avec une vraie idée de ce que je veux écrire, un plan, pas juste laisser défiler ma plume sans trop réfléchir.
Enjoy dans ce monde qui va mal, sauvons le pour éviter le scénario de ce poèmes et tous les autres qui nous parlent de fin du monde, parce que tout de même, la vie est belle.

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