Je te regardais la, dans cette rue passante,
Tu me fixais aussi, je ne voulais que toi,
Toi, tes lèvres, ton corps, tu tourbillonnes en moi,
Tu m'obsède bien trop, d'une façon indécente,Je vais devenir fou si je n'ai pas tes lèvres,
Poser contre les miennes, alors je prend ta joue,
je frissonne, j'ai peur, je t'aime et puis c'est tout,
Je le sais, je le sens, c'est tout comme une fièvre,Une fièvre d'amour, fièvre de toujours,
Tu me l'as transmise juste en me regardant,
Je veux que tu le saches à cet instant, ce moment,
Tu mordilles ta lèvre, ou je rêve en plein jour?Et je t'embrasse la, certain nous regarde même,
Mais plus rien n'importe, sauf ce moment, sauf toi,
Mon coeur redémarre, tu lui a donné foi,
Je me sens vivre ici, près de toi, car je t'aime.
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Nuits blanches
PoetryDe la poésie pour soigner mes peines et qui sait peut être les votres aussi. #29 dans le #poeme le 28/09/19