LXVII : Hommage à la lune

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Au dessus des nuages, au dessus du la terre,
J'ai vu cette lueur,  d'un rose très timide,
Est ce toi mon amie, m'appelant comme mère,
Appelle son enfant pour un baiser humide,

Oui c'est bel et bien toi et non les lumières,
De l'avion qui m'emmène au delà des cieux,
Je n'ai pas oublié, Ô combien tu m'es chère,
Ô combien tu m'aidais à me rendre plus heureux,

Je t'ai remercié les joues baignées de larmes,
Ce soir, je suis heureux, et les larmes aux yeux,
Je veux te remercier du fin fond de mon âme,
De m'avoir écouté, de la haut dans les cieux,

Nos discussions était mon moyen d'évasion,
Mon moyen d'oublier les tracas de la vie,
Mon moyen de vivre, même sans passions,
Si ce n'est de te voir, lorsqu'il fait noir nuit,

Alors je t'observe, les yeux pétillants,
Fasciné, amoureux, comme épris de folie,
Je me remémore ces instants inspirants,
Même si cette ère n'est plus aujourd'hui,

Je ne t'oublierai pas, et te rendrai hommage,
Tout au long de ma vie, et je t'observerai,
En restant silencieux, en écrivant des pages,
Sur tout ces beaux instants, qu'on a pu partagé.

Nuits blanchesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant