Depuis mes premiers pas, j'aurais du me douter,
La vie qui m'attendait, la vie de guérilla,
Au loin du nirvana, allait m'épuiser,
C'était ma destiné, la vie de vendetta.J'ai aimé l'automne, quand ils aimaient l'été,
J'ai été attristé, quand ils étaient des clones,
J'allais au sonotone, à l'amour ils jouaient,
Sur mes joues il pleuvait, quand ils goûtaient l'opium.Je me sentais maudis, je le suis sûrement,
Ça me semble évident, la vie m'a trop meurtri,
Mes nuits se sont blanchies, et mes jours chancelants,
Comme accompagnement, n'ont qu'un ciel obscurci.J'étais trop différent, trop seul, trop à l'écart,
C'est le point de départ, de ces nuits murmurant,
Que le linceul m'attend, j'ai donc plongé dans l'art,
Ces mots, mon exutoire, ils me sont inhérents.NB : ces mots, ce poèmes sont les derniers avant un petit moment, enfin les derniers publiés jusqu'à ce que je finisse d'écrire ce fameux poème 50, ce poème là juste au dessus s'appelle les prémices, les prémices de toute mes nuits blanches durant lesquelles j'ai écris tant de choses, qui n'ont pas forcément fini publié ici. Le prochain poème portera le même nom que celui de ce « recueil » , il donne sens au titre, il donne sens au mal être ressortant de tout ces poèmes, aujourd'hui je ne dirais pas que ça va mieux, que je ne ferai plus de ce genre de poèmes, mais je pense me diversifier et ne plus parler forcément que de choses ressenti, mais aussi me pencher sur l'esthétique des choses, etc... Voilà, je voulais faire quelque chose de spécial pour ce poème « anniversaire » donc je risque d'être long peut être, mais promis je reviens avec quelque chose d'assez gros!
Merci pour vos lectures,
V.T
VOUS LISEZ
Nuits blanches
PoetryDe la poésie pour soigner mes peines et qui sait peut être les votres aussi. #29 dans le #poeme le 28/09/19