XLVIII : Rouge à lèvre

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Je ne peux m'empêcher de regarder ces lèvres,
Je ne peux m'empêcher de vouloir t'embrasser,
Elles semblent m'appeler, je veux les embraser,
De milliers de baiser, ces deux bijoux d'orfèvre,

Quand elles s'entrouvrent, je suis hypnotisé,
J'apprends par coeur leurs traits, j'apprends leurs mouvements,
Pour ne pas oublier, à chacun des instants,
Les formes parfaites de ces divinités,

Ces lèvres pulpeuses, qui me font tant languir,
Ce beau rouge à lèvre, réveillant mon désir,
De t'embrasser encor, jusqu'à même en mourir,

Ces lèvres si douces, pourraient me rendre fou,
Et pourraient me guider, dans ce monde si flou.
Ces sublimes lèvres, sont comme deux bijoux.

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