À tous ces mots perdu à jamais sur ces pages,
Tous ces maux de la nuit, qui ne verront jamais,
La lumière du jour, sans laisser d'héritage,
A part des souvenirs, restant inexprimés,À ces idées trop pauvres, à ces beaux vers errants,
Sans attaches aucune, qui ne paraîtront pas,
Qu'on ne lira jamais, écrit tout en souffrant,
Toute la nuit durant, tout au fond de mes draps,À ces vieux brouillons, qui ne le resteront,
Que par obligation, car jamais terminé,
C'est pourtant leur beauté, à ces petits bourgeons,
Bourgeons de poèmes, à jamais délaissé.Je vous rend hommage dans ce simple poème,
Pour ne pas oublier, que vous m'avez soigner,
Sans reconnaissance, mais pourtant je vous aime,
Vous m'avez inspiré, étant inachevé.
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Nuits blanches
PoesíaDe la poésie pour soigner mes peines et qui sait peut être les votres aussi. #29 dans le #poeme le 28/09/19