Dans mon sang je le sens, elle viendra de mes cendres,
Ma renaissance sent l'essence de la vie,
Une douce odeur de feu, pas celui qui détruit,
Celui qui te permet une vie bien plus tendre,
Comme ce bel oiseau, mythique, éternel,
Renaissant de ses cendres, aux plumes rouges et or,
Qui dans un brasier, n'a jamais vu la mort,
Il ne voit que lumière aux flammes de dentelle,
Je n'aurai plus jamais cette peur d'être faible,
Car il suffit d'y croire, pour voir la renaissance,
Et pour se relever, pour vivre une danse,
Qu'on appelle la vie, qui est imprévisible,
Je serai un phœnix, la mort me terrifie,
Je serai éternel, je brûlerai encore,
Je serai éternel, je le sens dans mon corps,
Je serai un phœnix, j'aurais ma biographie.
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Nota-Bene : la dose de narcissisme étant assez élevée dans le dernier vers, je tiens à préciser que je parle aussi d'une éternité à travers les mots. Pour qu'on se souvienne de moi, et si j'ai une biographie, normalement c'est que j'ai été important, je l'affirme « j'aurais » pourtant je n'y crois pas MDR, soyez indulgent avec ma rime, elle a été dure à trouver T-T
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Nuits blanches
PoesíaDe la poésie pour soigner mes peines et qui sait peut être les votres aussi. #29 dans le #poeme le 28/09/19
