Merlin: l'enchanteresse

Chapitre 3: Départ

- Jeans, sous-vêtements, T-shirts, robes, pulls, pantalons, shorts. Question vêtements, on a tout et pour toutes sortes d'événements et de températures. fit Amanda

- Imagine, ils ne portent pas les mêmes vêtements que nous. lui dis-je

- Et bien on avisera. Maintenant que nos quatre sacs de vêtements et accessoires sont fermés, passons aux équipements et divertissements: arcs, carquois, flèches, épées d'escrimes, glaive, bouclier. Matériel de dessin, plume, crayons et contes disney.

- Livres, violon, flûte, arc, carquois, flèche, livre sur les remèdes de Mère-Grand, mes tableaux d'éléments chimique, mini laboratoire avec le nécessaire de chimie et mon fidèle compagnon Sweeti le renard.

- Tu prends ta peluche fétiche?

- Oui et alors?

- Chacun ses méthodes.

-Une photo de nous tous réunis et de ma petite famille avec mon père.dis-je

- Une jeune fille exemplaire. 

- Tu ne vas quand même pas emmener Foky le Phoque? 

- Oh mais qu'est ce qu'il fait là? Je ne l'avais pas remarqué. 

- Il n'est pas bon de juger hâtivement. dis-je en cachant un léger rire

- Tout se passe comme vous le voulez? demanda ma mère en entrant. 

-Oui. Mes affaires sont presque prêtes. répondit Amanda

-Tenez. dit-elle en nous tendant deux petits paquets. J'ouvris le mien, il contenait une chaîne avec un joli petit pendentif qui avait la forme d'une rose. Amanda elle avait reçu un oiseau qui semblait entrain de voler. Amanda m'accrocha le mien et je lui accrochai le sien.  

-Merci maman, c'est magnifique. lui dis-je en la prenant dans mes bras. Une fois notre câlin terminé, elle me tendit un étui de violon, ancien en extérieur, mais l'intérieur était de velours bleu nuit. Mon violon semblait être fait pour cet étui. 

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-Faisons un récapitulatif. dit Amanda

- Si tu veux. 

-Dîner? 

- On vient de le terminer.

- Bagages? 

-Tout est en ordres. 

- Douche? 

- On s'est déjà lavées au moins trois fois depuis dix-sept heures. 

- Je ne sais pas pourquoi mais je commence à stresser. me dit-elle

- C'est ironique. C'est moi qui suis sensée être obligée d'y aller. Et au final, c'est la volontaire qui stresse le plus. dis-je en rigolant. 

- C'est vrai. Excuse moi, comment tu te sens? 

- Un peu inquiète, mais au fond je sais que c'est ce qu'il y a de mieux pour moi. Je ne me sens pas vraiment à ma place ici. lui dis-je honnêtement.

- Je te comprends. Toute ma vie il n'y en a eu que pour Caroline, là j'ai l'occasion de montrer que je suis plus qu'un second choix. En plus, on a toujours tout fait toutes les deux, je n'allais pas te laisser partir sans moi.  

- Les filles, c'est l'heure! dit la voix de Madame 

-Puis-je? demanda Marc en tendant les bras vers nos quatre sacs de vêtements.