Chapitre 10: Carmélite

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C'est donc elle, Guenièvre ,aussi charmante que dans la légende. C'est pour elle qu'Arthur va se battre et pour elle qu'il aura le cœur brisé. Si un jour j'avais rêvé du prince Arthur, face à elle je pouvais laisser tomber ce rêve. Elle avait l'air d'être parfaite. Dès qu'Arthur revint je prétextais un mal de ventre soudain pour m'en aller:

-Tu vas bien? me demanda inquiet le prince

-Oui, ne vous inquiétez pas votre Altesse, je vais juste aller m'allonger. lui dis-je

- Tu veux que je te raccompagne?

-Non, ne vous donnez pas cette peine. Profitez de la compagnie de notre charmante invitée. dis-je en m'éloignant. 

Quelle idée d'aller au bal avec le prince. On savait tous que ce jour aller arriver et là il est là. En me dirigeant vers la sortie je fit la rencontre de la reine des fées: Titania, du roi des elfes: Obéron, eu une discussion avec le diplomate du peuple nain: Bradforgg . La discussion avait été si longue qu'Amanda eût le temps de me rejoindre et de prétexter une urgence pour que je puisse m'échapper. 

- Le prince m'a dit que tu te sentais mal, est ce que ça va? me demanda-t-elle une fois sortie

- J'ai menti Am. lui avouais-je

- Et pourquoi? Tu aurais pu profiter de la soirée.

-Je devais m'éclipser, il est avec Guenièvre princesse de Carmélite. expliquais-je

-Ah. Et ça va? me demanda-t-elle

-Oui,pourquoi ça n'irait pas? Je savais que ce jour arriverait. lui dis-je en ayant l'air convaincu

- Parce que tu parles en dormant, et dans ton dernier rêve tu disais; J'accepte de prendre Arthur Pendragon roi de Camelot comme époux de l'aimer et de le chérir à jamais. m'imita-t-elle

 - C'est faux, jamais je ne dirais ça. dis-je en riant nerveusement. 

Nous continuons le chemin en silence, un silence de malaise,  jusqu'à nos appartements, une fois ma robe de chambre vêtue, Amanda essaya encore de me réconforter:

-Tu veux en parler? 

- Non pas la peine, il n'y a rien à dire. Bonne nuit. fut ma dernière réplique avant de me couvrir de ma couette. 

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Je passais les jours suivant à m'entraîner avec Adonis, il suffisait que je dise Adonis Vulpis pour qu'il apparaisse de même pour le sceptre juste un: Virirgam argenteam sidus en ayant la broche dans mes mains et il changeait complètement de forme.  Adonis ne quitter jamais mon poignet et le sceptre jamais mes cheveux. Avec les entraînements, mon familier et moi avons remarquer que si je faisais un trop gros effort magique mon tatouage brillait. 

- Sinon tu as d'autres passions que la magie? me demanda le renard curieux pendant notre pause.

- J'aime le violon et lire. lui dis-je

-Tu fais de la musique ? Tu pourras m'en jouer un morceau? me demanda-t-il intéressé. 

- Ce soir, je vais entraîner Lux , peut être que nous emporterons le violon pour une pause de classique entre deux. lui dis-je

- C'est vrai? demanda-t-il en écarquillant les yeux  

-Bien sûr. 

Mais nos projets fut remis à plus tard, quand Perceval débarqua en nous disant que les loups garous avaient attaqués Carmélite et que le prince voulait partir immédiatement.  Le voyage fut long et il y eut un nombre de péripéties incalculables. Une fois arrivés dans le domaine, la guerre éclatait dehors:

- Nous les prendrons par surprise. ordonna Arthur: Pour renforcer notre puissance Elizabeth utilisera Ductu sur tout nos soldats plusieurs fois par jours. Nous repousserons les ennemis. Une fois cela fait, Perceval, Lancelot et moi nous introduirons dans le château pour libérer le roi Léodagan et sa fille. Amanda restera avec Elizabeth. Ne vous faîtes pas prendre je tiens à vous voir tous en vie pour le banquet de la victoire. plaisanta l'héritier. Il me lança un regard qui signifiait le départ. Je regardais les premières troupes autours de moi, fermais les yeux et :

-Ductu! criais-je 

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Ainsi, voilà mon rôle renforcer la puissance des guerriers et les soigner. 

J'étais avec Amanda en haut d'une colline, les soldats défilaient devant nous pour des soins ou de la puissance. J'étais ennuyée, j'observais le paysage et vis une rivière. 

Avec la force de ton sceptre et d'Adonis combinés, tu pourrais balayer le terrain et emmener les loups loin très loin au fin fond des bois d'où ils viennent. 

Mais le prince m'a donné des ordres. 

Oui mais le prince n'est là que pour sa belle. Alors plus vite tu nettoies cette pagaille, plus vite tu pourras les laisser roucouler sans craindre pour la vie de ton protégé. 

- Marc! interpellais-je le soldat:  Où est le prince et ses deux chevaliers? 

-Ils sont déjà dans le château milady. 

- Bien, dîtes aux soldats de Camelot de se replier. J'ai le moyen de gagner rapidement cette bataille en évitant à tout le monde d'être blessé. 

- Mais le prince....

- Si vous voulez vivre, suivez mon plan. dis-je en élevant la voix .

- Bien. 

Les gardes se replièrent pendant que je me préparer:

-Tu vas y arriver? 

-Il le faut bien, je me suis engagée: Adonis Vulpis.

- Je suis à tes côtés maîtresse. me dit le renard

- Merci mon ami: Virirgam argenteam sidus. 

Je fermais les yeux, et vis une vague engloutir les loups de la vallée enneigée et les menaient chez eux. J'empoignais fermement mon sceptre des deux mains:

-Aqua. dis je en chuchotant, la vague se formait:

-Aqua. Aqua. Aqua! Aqua! dis-je de plus en plus fort et la vague se formait, je la dirigeais avec mon bâton d'argent.

-AQUA! hurlais-je en déversant l'immense vague sur la vallée, les loups furent ainsi entraînés dans le cheminement de la rivière sans pouvoir s'échapper. Le courant les emmenèrent directement dans leurs bois. Les chevaliers et soldats se dirigèrent alors vers le château et mirent en fuite les derniers loups-garous restant. J'entrais dans le château accompagnés des généraux des divisions et d'Amanda. Je m'arrêtais devant un homme d'âge mur que j'avais déjà vu maintes fois. Il discutait avec le prince:

- Roi Léodagan, prince Arthur. dis-je en m'inclinant.

Merlin: l'enchanteresseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant