Bang chan

•27

Chan avait complètement péter les plombs. Il a faillit bondir d'énervement sur Yujin, mais je le connais, il a un code.

Et celui ci lui interdit de frapper une fille. Mais je sais aussi que c'est pas l'envie qui lui manque. Une fois l'avoir regarder tellement noir que si il avait des lasers à la place elle ne serais maintenant que des vulgaires dés de chair humaine.

Il s'était retourné, il avait posé ses poings serrés sur la table, puis il envoyait envoyé balader toute la vaisselle qui était posée sur la table. Inutile de rappeler de c'est pas lui qui allait nettoyer.

Il fait demi tour, il passe rapidement à côté de Yujin sans oublier de la fixer méchamment. Il prend sa veste en cuire qui était posée sur le dos du canapé, et seulement quelques secondes après on entend la porte claquée violemment.

Tout le monde se regarde, ChangBin fait un pas et je l'arrête avec l'aide de ma main que je pose sur son avant bras et le tire en arrière pour lui dire de rester là.

Moi: restes, je vais m'en occuper.

J'étais sortis de l'appartement de Seungmin, plus que rapidement, les seconde était comptées, j'avais peur qu'il fasse une bêtise ou qu'il lui arrive quelque chose. Il était énervé et c'est pas le moment de sortir parce que je sais qu'il était capable d'agir comme un éléphant dans un magasin de porcelaine.
Je descends les marche rapidement manquant presque de tomber trois ou quatre fois puis quand je passe enfin la porte je vois juste un dos qui s'éloigne de moi. C'était lui.

Je court comme jamais couru, quand j'arrive enfin à sa hauteur je passe devant lui rapidement. Il s'arrête. Un cigarette entre les lèvres, il avait les larmes au yeux.

Moi: chan... je suis désolée.

Chan: fermes la.

Moi: arrêtes, ça me fais rien quand tu me parles comme ça.

Mensonge. Ça me faisait mal. Il était si doux avant, toutes ces années l'ont endurcis, beaucoup trop même. Il avait une véritable armure autour de lui, il avait les larmes au yeux pourtant il refusait de les faire tombés.

Il ne me regarde même pas, il fixait simplement la lumière jaune orangée de la cendre chaude sur la cigarette qu'il tient entre ses doigts.

Moi: donnes en moi.

Chan: quoi?

Moi: donnes moi la.

Chan: tu es folle ma pauvre, crois pas que tu vas fumer tant que je suis vivant.

Moi: alors prend moi dans tes bras.

Chan: hein?

Je me rapproche doucement de son corps et passe mes bras autour de son dos et pose mon visage sur son torse. Il ne bouge pas directement. Il lâche sa cigarette d'entre ses doigts, l'écrase et me serre aussi, presque aussi fort que moi. Je lève alors discrètement la tête et dépose mon nez au creux de sa clavicule pour respirer son parfum.

Je respire cette odeur si agréable, puis je ferme les yeux.

Chan: tout est de ma faute, je suis tellement désolé. Si j'avais su je te promet-

Moi: fermes la.

Il abdique rapidement, serrais plus fort la pression sur mes épaules.

Chan: tu m'as manquée.

C'était plutôt inattendu. Mais c'est vrai que je ne peux pas nier, je tiens énormément à lui, il m'a beaucoup manqué aussi.

Moi: tais toi.

Chan: mais-

Je relève ma tête rapidement vers son regard que je fixe méchamment. Puis je me détache de lui, je prend sa main alors que lui son visage affichait juste un forme d'incompréhension.

Je l'emmène alors dans un grand parc qui est ouvert de nuit pas très loin d'où on était. Il s'assoit sur l'herbe et je m'assois à côté de lui, il lève la tête vers les étoiles, lorsque moi je pose mon regard on visage. Ses larmes avaient disparues.

Elles étaient parties. Ses yeux humides reflète seulement les milliers d'étoiles emprisonnés dans le ciel lointain. Ce spectacle était magnifique. Je me sentais bien.

Chan: je t'ai déjà dis d'arrêter de me fixer ma beauté t'attires tel un aimant ça en est presque fatiguant.

Moi: tu es beau chan.

Chan: qu'est ce que tu racontes sale folle.

Moi: d'accord ta raison t'es super laid
finalement. C'est juste que dans le noir je vois mal. Pardonne moi.

Chan: fais attention à ce que tu dis morveuse.

Moi: nan mais c'est pas de ta faute je comprend t'inquiètes pas. Ça doit être difficile tout les jours.

D'accord c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase apparement. En quelques mouvement et s'en que je m'en rends compte, j'étais complètement pliée de rire.

Il s'était retrouvé au dessus de moi, tandis que j'étais en train de rire les yeux fermés en dessous. Mais il me regardais fixement, il ne rigolais mais il avait le sourire coller sur les lèvres. Lèvres qui, m'attire fortement.

Moi: pourquoi est ce que tu me fixe comme ça je sais que je suis belle mais bon je vais finir par me poser des questions chan.

Chan: alors vas y.

Je fronce les sourcils.

Moi: chan...

Il rapproche son visage du miens doucement tout en gardant ses yeux river sur mes lèvres.

Avant de les poser tendrement sur les miennes. Et nous restions comme ça quelques secondes avant que je décide de continuer le baiser plus intensément.

Après cela, il relève son visage du mien avec un léger sourire qui s'inscrit sur les lèvres.

Chan: tu peux pas savoir depuis combien de temps j'avais envie de faire ça.

Moi: arrêtes de parler tu gâches tout.

Encore une fois, il refait des mouvements et réussi à mettre sa tête sur mes cuisses. J'étais assise au dessus de lui tout en lui caressant ses mèches blondes pendant que lui admirais les étoiles.