Chapitre 28

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C'est juste un rêve. Un rêve. Il n'a pas vraiment dis ça. Personne ne m'a dis ça. Surtout pas lui. Juste un rêve.

Taylor : Elaya ? S'il te plaît, dis quelque chose ...

Non, non, non. Ça ne se peut pas. Pincez-moi !

Taylor : El' ?

Je le regarda, il était assis et me regardait les yeux brillant à cause des larmes qui menaçaient de couler. Ce n'était donc pas un rêve ... C'était belle est bien la vérité. Je m'assis aussi.

Taylor : Tu sais, je comprends si ce n'est pas réciproque. Je ferais avec.

Sa voix était faible. Ce n'était qu'un soupir. Ça lui faisait mal. Il n'avait pas le droit de penser ça. C'était moi. Tout était de ma faute.

Moi : Taylor ... Je ne sais pas quoi dire. C'est juste que ... Je ...

Les mots ne voulaient pas sortir. Ils étaient comme prisonniers.

Moi : Je ... Je ... Personne ne m'a jamais dis ça ...

Non. Je ne voulais pas dire ça. Il me pris dans ses bras et me serra fort. Il m'embrassa les cheveux.

Taylor : Mes sentiments pour toi son arrivés tellement vite que j'ai eu peur. Je ne savais plus ou j'en étais. Je me disais toujours : "Non ! Je ne suis pas amoureux d'elle. Ça ne se peut pas." Puis les garçons m'ont ouvert les yeux. Il m'ont dit, je cite : " Taytay' cela s'appelle clairement le coup de foudre. " Je n'y croyais pas au début. Plus les jours passés, plus je me rendais compte qu'ils avaient totalement raison. J'étais amoureux de toi. J'avais eu le coup de foudre pour toi. Je ne te demande pas de me dire je t'aime pour qu'après on est une vie comme les comptes de fée princesse avec des chocolats, des fleurs et des coeurs qui volent au dessus de nos têtes à bout de champ. Non. Je ne veux pas t'y obliger. Je veux juste que tu me donnes une réponse. On peut essayer quelque chose et si tu te sens mal ou autre chose tu me le dis et on arrête mais s'il te plaît laisse nous au moins essayer avoir une histoire qu'elle ne soit que d'une semaine, ou même 3 jours, je veux que tu m'appartiennes au moins une fois dans ma vie. S'il te plaît, Elaya, acceptes-tu de devenir ma petite amie ?

Il était maintenant assis en face de moi et me tenait les mains. Il me regardait avec ses yeux pleins de larmes.

Elaya : Tu sais Taylor. J'ai juste peur. Peur de ce qui peut m'attendre. J'ai peur. Si tu savais comme j'ai peur. Plus j'avance, plus je te vois, plus tu me regardes en souriant et plus j'ai peur. Peur de devenir dépendante de tes "je t'aime", dépendante de toi. C'est stupide car moi je sais que je suis déjà dépendante de toi. J'ai l'impression que tu vas disparaître et me laisser toute seule dans ce monde si grand. Je regarde de tous les côtés, les rues sont envahi de gens, il y a tellement de monde que même la lumière a disparu. Puis tu arrives au milieu de tous et la lumière revient, le chemin se dessine parce qu'avec toi tout me parait plus facile, tout me parait sans importance tant que tu es là. Tu me regardes et tout s'envole, plus de problèmes, d'un simple regard tu les as tous résolut. Une fois j'ai lu une citation, elle disait : " Refuser d'aimer par peur de souffrir, c'est comme refuser de vivre par peur de mourir ". Le problème, c'est que tout me fait peur. Je suis tellement heureuse que j'en ai peur. Je suis heureuse que tu m'ais dit tout ça. Parce que malgré tout le mal que m'as fait je t'aime. Je t'ai pardonné depuis le début que m'as demandé à te pardonner, mais je refuser de me l'avouer. J'ai juste peur de t'aimer, de tout ce que tu me fais ressentir, mais aussi de te faire souffrir.

Des larmes. Voilà ce qui coulaient le long de nos joues pour venir s'écraser sur nos doigts entrelacés. Assis face à face, je le voyais sourire à travers ses larmes. Il pleurait de joie ? Ou peut être bien de tristesse ? J'avais sûrement du dire quelques choses qui ne fallait pas.

Taylor : Tu me rends fou.

Qu'est que cette sensation ? Une sensation tellement magique. Une explosion dans le ventre. Des frissons tout le long du corp. C'était donc de ce sentiment dont toutes les personnes amoureuse parlent ? Cette sensation si forte. Et ses lèvres ? Elles étaient tellement douce, tellement sucrée. Je pourrais continuer à l'embrasser pendant des heures et des heures. C'était tout simplement magique. Juste inexplicable. Non ! Encore ! Il s'était détaché de moi. Son regard était pétillant. Ses lèvres rosies et légèrement gonflés à cause de notre baiser.

Taylor : Tu acceptes ?

Moi : Oui. Bien sûr que j'accepte !

D'un coup, il s'était levé, pris par les mains pour me lever, pris par les hanche et fait tournoyer dans les airs en rigolant. Je vous rappelle, on etait sur le toit d'un bus.

Moi : Taylor ! Arrêtes on va tomber !

Malgré moi, je rigolais quand même en disant ça. Il s'arrêta. Il avait ses mains sur mes hanches et me regardait Dans son regard, je pouvais y déceler de l'amour, de la joie mais surtout du soulagement.

Taylor : Je suis définitivement l'homme le plus heureux de l'univers en ce moment. Si tu savais comme je t'aime. Maintenant que tu es miennes ...

Il m'embrassa. Il coupait entre chaque baiser pour dire un mot.

Taylor : Je. Vais. Essayer. De. Te. Garder. Avec. Moi. Pour. Toujours. Non. Je. Vais. Te. Garder. Pour. Toujours.

S'il savait ...

Taylor : Il est 3h00 a.m. On dort ici ? A la belle étoile ?

J'hocha la tête. On se coucha sur la couverture. Il m'entoura de ses bras et je mis ma tête sur son torse.

Moi : Je t'aime Taylor. Bonne nuit.

Taylor : je t'aime aussi. Bonne nuit.

Je m'endormis a la belle étoile de fatigué, en sécurité dans les bras de l'homme que j'aime, mais aussi avec le sourire aux lèvres. Je l'aime et je l'aimerais toujours. Même la mort ne nous séparera pas. Enfin j'espère ...

La YouTubeuse MasquéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant