Dix-septième chapitre

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Je sors du commissariat après avoir prit toutes les infos qu'il me faut, qu'il nous faut.

L'adrenaline me pousse à avancer, cette étrange sensation est géniale. Demain sera le jour où tout va changer. Où tout va s'améliorer.

Je monte dans ma voiture, démarre et file vers le hangar d'un fournisseur général de la gendarmerie et surtout de l'armée. Il a plein de truc qu'il faut que je récupère.

J'entre dans le hangar, il m'accueille avec un grand sourire, de détachant de son plan de travail pour venir m'accueillir avec une accolade.

- Alors Victoria, qu'es-ce-qu'il te faut ? Demande-t-il en faisant un grand signe de bras vers tout son stock autour de nous.

- J'ai besoin d'un kit d'extraction, et le reste, je vais prendre au hasard. Tiens. Soufflais-je en lui tendant un chèque de 500 euros.
- Merci, va-y, sers toi. Dit-il avec un long sourire. Je vais te chercher ton kit.

Il sort tandis que je regarde avec émerveillement le stuff autour de moi.

Je prends un sniper, un lance-grenades et quelques packs de grenades et de munitions que je pose à l'entrée.

- Tiens. Il sourit en me tendant le lit. J'ai pas mal de nouveaux trucs. Ça ! C'est un petit bijoux, créé récemment et marchant parfaitement. En gros ( il saisit deux sortes de gros bracelets en acier avec un grand sourire ) ce sont des bracelets énergétiques. Le porteur a juste à les faire se rentrer dedans pour qu'une onde énergétique se diffuse. Ça met le plus souvent KO mais c'est aussi mortel.
- Et le porteur, il n'à rien ? Je demande, prenant les bracelets assez long dans les mains.
- Non, rien. Enfin... je crois. On l'à peu testé en cause de sa puissance. Mais c'est conçu pour que le porteur soit... immunisé contre les charges énergétiques. Et... il y a une sorte de puce qui s'enfonce dans les nerfs, il se contrôle directement par le porteur, en quelque sorte. Si tu t'énerves, les décharges seront plus souvent mortelles , un vrai bijoux... de technologie sensorielle.
- Je peux le prendre ? Demandais-je avec un petit sourire.
- Bien sûr, sers toi encore, il y a encore trop de stock ici. Souffle-t-il en faisant à nouveau un grand signe de bras.
- Merci, vraiment, merci beaucoup. Souris-je en continuant le tour que je faisait.
- Jamais rien ne pourra annuler ma dette. Même si je te donnais tout ce que j'ai. Alors prends, ce n'est pas parce que je me suis excusé que ça excuse mes mensonges. Je prie toujours pour que vous me pardonniez. Dit-il, tandis que je me retournais vers lui.
- On t'as déjà pardonnés Jerry. Il n'y a plus de raisons d'avoir des remords. Et pour tout avouer, je crois que moi et Steve on s'entendait sur quelque chose, qu'être les enfants de ces gens était la pire honte qu'on pouvait avoir. Alors merci, merci de nous avoir avoué qu'ils n'étaient pas nos vrais parents.

Je reprends mon observation tandis qu'il s'accoude à son atelier.

- Et je suis sure que Steve te dirait la même chose. Tu sais, cette connexion entre jumeaux, ça fonctionne assez bien. Dis-je, riant un petit peu.
- Merci. pauvre garçon. Qu'es-ce-que je l'aimais ce p'tit, comme mon propre fils.

Il se frotta le visage, probablement ressassant des souvenirs douloureux.

- Moi aussi je l'aimais Jerry, mais on doit faire avec.
- Oui, t'as raison. Se convint-il en se relevant.

Je souris et continue mon observation.

- T'as des...(je montre mon oreille) tu sais les trucs là...
- Des oreillettes ? Oui, tout un stock. Il t'en faut combien ?
- Je sais pas, une douzaine. Dont une discrète.
- Vous devez faire une infiltration ? Il demande en partant dans le fond du hangar.
- Ouais.

𝙲𝙻𝙰𝚂𝚂𝙸𝙵𝙸𝙴𝙳     [Bucky Barnes] TERMINÉ ✅ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant