Chapitre 2

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Le trajet était long mais sans encombres.

Thomas ne m'avait plus parlé. Mais à vrai dire tant mieux!

Il était tellement arrogant et pitoyable en même temps. Ça ne m'étonnait pas qu'il travaillait dans le même domaine que mon père.

Peut-être que tous les hommes sont comme ça.

La limousine s'était garée devant une superbe maison. Elle paraît encore plus grande que la mienne avant.

Il y a deux étages, la maison paraît magnifiquement décorée, avec goût.

Thomas ouvre la porte de la voiture, et la referme juste avant que je puisse sortir.

- "Mais quel con ce gars!" Annonçais-je à haute voix.

J'ouvrais la portière pour enfin pouvoir sortir.

J'avais encore ma robe de mariée, elle était très gênante quand même, avec tous les froufrous.

J'essayais de suivre Thomas jusqu'à la porte d'entrée, mais j'étais en pleine galère avec mes talons, j'espère que j'aurai des affaires pour pouvoir me changer.

Thomas ouvrait la porte, et parti dans la maison. Je ne savais même pas où j'étais, je pensais que c'était la maison de Thomas.

Une domestique venait enfin à ma rencontre, je n'étais plus seule.

- "Mademoiselle Wallon?" Disait-elle.

- "S'il vous plait appelez moi Ambre."
Je souris.

- "D'accord Ambre, je vais vous montrer votre chambre."

- "J'ai une chambre rien que pour moi quand même?"

- "Oh, oui mademoiselle. Vu le nombre de chambres ici, on peut se le permettre." Disait-elle en riant.

- "Attendez, je vais enlever mes talons qui me font souffrir!"

Dès que j'avais enlevé mes talons, la dame me les avait pris des mains.

Elle commença à marcher, je la suivi.

On passait par plusieurs couloir qui paraissait sans fin. Puis elle s'arrêta et ouvra une porte.

- "Voilà votre chambre, Ambre."

J'écarquillais les yeux tellement ma chambre était belle.

Les murs étaient de couleur blanc mais quelque uns étaient roses pastels. Tous les meubles étaient blancs, eux-aussi.
C'était un lit à baldaquin avec des magnifique draps bleus pastels et des petits dessins blancs.

Il y avaient un gigantesque baie vitrée qui me donnait une vu sur le grand jardin où quelque personne étaient en plein travail.

Le temps que j'avais mis pour observer ma chambre, la domestique était déjà parti.

C'est vrai, dès que j'observe ou que je prête attention à quelque chose, je ne vois plus que ca et je ne fais pas attention à ce qui m'entoure.

Je faisais ce que je fais à chaque fois que je rentre dans une chambre c'est à dire sauter dans le lit.

Je tombais dans le lit et m'enfonçais dans les cousins. Je restais comme ca quelque instant, j'étais tellement bien, tout les problèmes que j'avais avait disparue pendant ces quelques instants.

Bon, maintenant j'aimerai vraiment me changer... Je regardais autour de moi.

À côté d'un canapé, il y avait une porte.

J'essayais de me sortir du lit pour aller voir ce qu'il y a de l'autre côté de la porte.

J'ouvris la porte, c'est... Un dressing!

Mariage forcé.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant