Bon, dans quelques heures ce sera le dîner avec Thomas, ses associés et ses futur clients.
Du coup, je décidais de m'habiller le plus classe possible, et le plus chic.
Je fonçais dans dressing pour me trouver une robe. J'essayais de me trouver une robe par mis toutes mes robes.
J'arrivais à me sortir une robe bleu foncé. Elle tombais jusqu'à mes chevilles, avec une fente qui remontait jusque juste au dessus du genoux. Le haut était en corset bleu foncé à paillettes avec des magnifiques et fines bretelles.
Je l'enfilais, avec délicatesse. Je me choisissais une paire de talons noirs à paillettes qui rappelle le haut de ma robe.
Avant de les mettre, j'allais me maquiller plutôt simplement (voir photo)
- "Aller! Tu te dépêches un peu! On va être en retard, criait Thomas"
Mais c'est pas vrai, il a des sautes d'humeur? Des lubies? Il est vraiment bizarre ce gars.
- "Roooh c'est bon! J'arrive dans trois secondes!"
Je me remettais un peu de rouge à lèvre, puis je glissais mes pieds dans les objets de tortures communément appelé "escarpins".
Je courais dans les couloirs jusqu'au hall d'entrée.
Le voilà, punaise mais qu'est-ce qu'il est beau. Il porte un smoking, noir , simple mais qui lui allait parfaitement. Sa cravate noire sur sa chemise blanche faisait ressortir ses yeux gris bleuté.
- "Ah bah te voilà enfin. Je vois pas ce qui t'as fais prendre autant de temps. Tu es très moche ce soir."
Il avait dit sa dernière phrase très naturellement. Alors je lui répondis toute aussi naturellement.
- "Merci, toi aussi très cher."
Il me tendit son bras, et je le pris immédiatement. Nous avancions vers la limousine qui allait nous conduire jusqu'au restaurant.
Je m'asseyais, lui aussi, à côté de moi.
Il était tout proche, peut être trop proche même.Je me décalais un peu pour m'éloigner de lui.
Il se collait à moi, encore une fois.
- "Mais pousse toi, j'veux pas être aussi près de toi." Disais-je un peu énervée.
- "Pourquoi tu me repousse comme ca?" Disait-il en me faisant les yeux doux et en se rapprochant encore plus.
- "Tu es aussi collant que de la glue."
Je me décalais encore une fois, j'étais contre la portière cette fois.
- "Mais tu ne peux pas me rejeter, je suis ton mari!"
- "C'est pas pour autant que je t'apprécie."
Je regardais dehors pour pouvoir l'ignorer.
Il me pris le menton, pour que je le regarde.
Je fixais ses yeux. Ils étaient gris, avec des touches de bleu, magnifique. Mon visage était très proche du sien, je sentais son souffle contre ma peau.
- "Mais pourquoi tu ne m'apprécies pas?" Disait-il avec un air triste.
- "Tu es trop arrogant, méchant."
Sa main lâcha mon menton, il s'éloigna.
Thomas s'écarta de moi d'un coup puis regarda à travers la vitre.La voiture s'arrêta. Thomas ouvrit sa portier, et sortit. Il m'attendait, et me tendait le bras. Je le pris et commença à faire mon sourire de "faux cul heureuse".
On rentra dans le restaurant. Il était vraiment très classe et chic.
- "Monsieur et madame Wallon?" Avait dit un serveur.
- "Oui c'est nous." Répondit Thomas.
- "Suivez moi, les autres sont déjà arrivés."
On suivit le serveur jusqu'à une table où deux hommes y étaient déjà installé.
- "Bonjour!" Disait chaleureusement au deux hommes. "Je vous présente ma femme. Ambre je te présente Charlie et Florian."
Je pensais qu'ils étaient frères. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau. Mais une seule chose pouvait me permettre de les distinguer l'un de l'autre, Charlie était blond et Florian brun.
Je m'asseyais à côté de Thomas et en face de Florian. Il avait l'air très gentil, je lui souris timidement.
Les trois hommes commençaient à parler affaire. Je ne comprenais absolument rien du coup je décidais de les regarder discuter en souriant.
- "Alors ça fait longtemps que vous êtes ensembles?" Lança Charlie.
Thomas me regarda avec un air de dire je m'occupe de ça.
Puis il a dit:
"Ça fait presque 1 ans, mais nous nous sommes mariés seulement le weekend enfin dernier."Je décidais d'être à fond dans son jeux, j'adore jouer même sur ca.
- "Je suis folle amoureuse de lui!" Disais-je en lui prenant la main et en le regardant avec le regard le plus tendre du monde.
Mon regard était presque sincère, je commençais à le supporter ce Thomas.
Il me regarda d'un air surpris puis hocha la tête.
D'un seul coup, il rapprocha son visage du mien et déposa doucement ses lèvres sur les miennes.
Les deux associés avaient l'air complètement convaincu de notre amour fou.
- "Vous êtes tellement mignon tous les deux, vous êtes fait l'un pour l'autre." Dit Florian, rêveur.
Thomas me serra un peu plus la main de ce faite.
Après ce petit moment "mignon", les serveurs nous donnaient la carte des desserts.
- "Chérie, on prend quelque chose à deux? Je n'ai plus très faim." Annonçais-je.
- "D'accord mon amour, prend ce qu'il te plait. De toute manière tu connais mes goûts" répondit-il toute en me faisant un clin d'œil.
Mais j'en ai aucune idée moi de ce qu'il veut, tant pis pour lui je prendrai ce que j'aime c'est à dire un brownie au chocolat pour deux.
J'avais déjà mangé ce dessert au paravent. Avec mon petit ami, avant que mon père me séquestre et qu'il me force à me marier.
Il s'appelait Antoine, il était mon grand amour, je passais tout mon temps avec lui. Le pauvre, je n'ai même pas pu le prévenir. Mon père ne m'a jamais rendu mon téléphone, et je n'en ai pas eu d'autre. Il fallait que je m'en rachète un! Au plus rapidement, pour pouvoir entendre la voix de mon véritable amour.
Enfin bref, nous finissions tous notre repas. Thomas et moi, rentrions à la maison.
- "Je trouve que tu as un peu abusé quand on a du parler de nous deux." Disait Thomas.
- "Peut être, mais ca leur a plu." Répétais-je les mots qu'il m'avait adresser durant notre première échange de mots.
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•Voilà le chapitre 3, j'espère qu'il vous a plu! On en apprend un peu plus sur le passer d'Ambre. Oubliez de laisser un commentaire et un vote, ça fait toujours plaisir 💕
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Mariage forcé.
General FictionJ'ouvris les yeux. Tout était noir, j'avais quelque chose qui recouvrait mes yeux. Mes mains étaient attachées dans mon dos. J'étais allongée dans un coffre de voiture. J'avais des frissons sur tout le corps tellement il faisait froid. La voiture s...