CHAPITRE 6: WELVEN

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Tout c'était passé si vite, plus vite qu'il ne l'avait imaginé, il avait contacté une amie de son père, le professeur March. Son numéro etait dans le petit carnet, donc il l'avait appelé. Ils discutaient de tout et de rien, quand elle lui appris qu'elle devait justement se rendre en Égypte. Elle lui fit ses condoléances pour son père et demanda des nouvelles de sa mère, bien qu'elle ne la connaissait pas vraiment.

La vieille dame était très amical, elle le questionnais sur tout, comme si ils étaient des amis de longues dâte. Il avait l'habitude de cette fausse compassion gratuite, de cette pitié interminable, tout le monde lui faisait le même cinéma. Jason ne l'avait rencontré que trois fois dans sa vie, lorsqu'elle était venu chez lui.

La Compagnie Welven où travaillais son père etait une association d'explorateur, d'archéologue mais aussi des chasseurs de relique. La société appartenais à Jim Welss son père défunt et à Patricia March. Tout les deux possédait 50% des parts de l'entreprise. Il n'avait jamais mis les pieds dans cette agence, mais il savait qu'elle etait très réputé, sa propre famille baignait dans le luxe grace à elle. La renommée de l'entreprise figurait dans la presse, les journaux, la télé, la radio...Tout le monde connaissait l'agence Welven, elle était mondialement connu.

Au début son père avait commencé au bas de l'échelle et grâce au succès de ses découvertes en tant qu' archéologue, il avait fait fortune. Grâce à cela il avait racheté la moitié de l'entreprise.

Jim Welss avait découvert de nombreux trésors historiques, des objets d'art, des tombeaux souterrains, des grottes anciennes et secrètes, des parchemins anciens ect...Il était comme un Indiana Jones des temps modernes sans fouet et chapeau. Un véritable archéologue. Personne dans le milieu de l'archéologie n'avait trouvé autant d'éléments du passé que lui. Sa mort etait une grande perte pour le monde.

Jim aurait pu racheté la société entièrement mais cela ne l'intéressait pas il aimait être sur le terrain. Avant son arrivé tout le monde travaillais séparément. C'est lui qui avait reuni tout le monde, pour travaillé main dans la main. Cette méthode avait fait triplé le chiffre d'affaire de l'agence Welven. Le vieil homme avait aussi intégré les chasseurs de reliques dans leur projet. Eux qui était mal vu dans la communauté, considéré comme des sale braconniers, qui ne pensait qu'a faire des bénéfices en vendant leurs propres trophées.

Mais Jim Welss savais qu'il n'était pas tous comme ça, en plus ils étaient très utiles. Les chasseurs de reliques avaient une connaissance de leur environnement, du terrain qu'un archéologue n'avait pas. Ils avaient beaucoup de relations avec les villageois, la mafia, les administrations de l'état, les bandes organisées. Ils avaient énormément de contact. Eux seul savais à qui graissé la patte, il reconnaissait les flics pouri, les avocats véreux à des kilomètres. Et surtout ils étaient au courant de tout les dangers qu'ils pouvaient y'avoir sur le terrain.

Bien évidemment à la mort de Jim Welss, Patricia March était devenu PDG de l'Agence Welven. Et c'était bien normal vu que c'était elle qui avait créé l'entreprise et possédait la moitié de celle-ci. A la mort de son père les 50% restant de l'entreprise avait été partagé entre Jason et sa mère, devenant ainsi des associés à part entière de Welven.

La dernière fois qu'il avait vu Patricia il devait avoir 5 ans. Elle était venu parlé à son père, chez lui. Cette femme lui faisait horriblement peur à l'époque, car il n'avait pas l'habitude de voir des personnes aussi vieille et son regard etait glacial. Elle n'avait pas en général in caractère amical, c'était une vieille femme froide sans homme dans sa vie. Le genre de femme acharné et marié avec son travail. Il n'y avait personne de plus travailleur et méticuleux que cette femme, lui avait dit son père un jour. Lorsqu'elle c'etait approché de lui, il avait senti cette odeur de renfermé que les personnes âgée on parfois, mélangé à un parfum qui ne devais plus existé depuis des millions d'années dans le commerce. Un parfum pour vieille. Il n'avait jamais rencontré quelqu'un qui possédait une tel odeur, à l'epoque elle avait 50 ans mais elle semblait en faire beaucoup plus. Elle ressemblais à une vieille momie défraichi. Mais le pire c'était son rire qui faisait glacé le sang. Un rire si aigu qu'il ressemblais plus à un cri qu'autre chose.

En lui parlant au téléphone tout ses vieux souvenirs avait refais surface et il avait peur comme si il était retombé en enfance. Il lui demanda si elle pouvait l'accompagné dans son expédition et étrangement elle accepta sans discuté, elle semblait ravi. La vieille dame lui donna rendez vous dès le lendemain matin à 20h30 à l'aéroport. Il avait demandé à d'autres amis proches de son père de l'accompagné avant de pensé à Patricia, mais ils avaient tous refusé catégoriquement.

Il se demanda pourquoi cette femme avait accepté aussi rapidement, alors qu'elle savait qu'il ne l'apreciait pas. Était ce en memoire de son père? Jason se sentait fatigué, il s'allongea sur le canapé alluma la gigantesque télé du salon. Cette immense salon ou son père ne venait jamais. Pourtant il était magnifique, des belles couleurs armonieuses animait les pieces, des copies de tableaux picasso hornaient les murs. Cette salle etait l'inverse du bureau de son père, elle était très lumineuse. Le soleil entrait partout dans le salon. Un enorme vaisselier de style victorien, dans lequel se trouvaient les assiettes de collection de sa mère, et le service en argent de sa mère, se trouvait au fond de la salle.

Jason contemplait la pièce avec avec une impression qu'il ne la reverais plus jamais. Comme si son voyage était un voyage sans retour. Il se sentais étrange, etait ce le faite d'avoir parlé au professeur March? Ses pieds etait posé sur un mini tapis indien, un éléphant vêtu d'une parure de joyaux qui lui recouvrait la tête et le dos. Il fixa le rocking chair de son père qui aimait tant se balancé dessus avec Jason dans ses bras quand c'était encore qu'un gosse.

Il pris la télécommande coincé dans le canapé puis alluma la télé mais il n'y avait rien d'intéressant il zapait toute les cinq secondes. Jason senti que ses yeux devenait lourd. Il mis un truc au hasard et en même pas, 5 minutes il s'endormi.

LE KARXANOù les histoires vivent. Découvrez maintenant