CHAPITRE 4: HOMME OU DÉMON

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Assis dans son bureau il appréciait le décor, tout était froid, noir avec quelques nuances de gris. La pièce était sombre, le mobilier dans la salle était principalement noir ou de couleur sombre, il y'avait peu de lumières, c'était parfait. Il avait toujours aimé les ténèbres.

Installé dans un fauteuil en cuir très confortable, il appréciait le corps de sa nouvelle victime. Au début il avait trouvé ce corps ridicule. Comment se defendre avec ce corps humain si faible. Il c'était sentis si vulnérable. Heureusement que sous cette forme il avait conservé ses pouvoirs, néanmoins il se sentais toujours faible. Dans se corps qui pourrissait, il n'était pas à 100% de son potentiel originel.

Mais il n'avait rien à craindre après tout qui pouvait le tuer? Les humains? Non, ils etaient trop faible même sous cette forme il pouvait exterminé la race humaine si il le voulais. Le seul danger c'était le karxan.

Il détestait quand même un peu ce qui lui arrivait. Il éprouvait un certain dégoût en pensant qu'on pouvais vivre toute sa vie, dans cet âmas de chair molle, sans consistance qu'on appellait, un corps. Être dans la peau d'un être humain lui donnait envie de vomir, lui qui rêvait depuis toujours de les exterminés jusqu'au dernier.

En plus de ça, il avait hérité des souvenirs de sa victime qui le hantais. Bien sur une fois qu'il l'aurais digéré de l'intérieur, tous ses sentiments, ses pensés, ses souvenirs auront disparus.

La façon dont il l'avait tué pour prendre possession de son corps revenait sans relache, sous forme de flashback. Cette conscience humaines freinait un peu ses instincts meurtrier. Sinon il ne ce serait pas contenté dans se fauteuil, il se serait mis en chasse. Il c'était même surpris a aimé les plaisirs de la vie humaine tel que dormir, mangé...Quand il voyait des humains, il avait toujours l'eau à la bouche, mais la conscience de ce type l'empêchait totalement de passé à l'attaque. C'était encore trop tôt, il avait été enfermé si longtemps qu'il n avait pas eu le temps de retrouvé la totalité de ses pouvoirs. Plus vite il aurait retrouvé son état normal et plus vite il pourrais repeindre ce monde en rouge vif, du sang des hommes.

Pour l'instant il devait se servir de cobayes pour accomplir son plan macabres, il avait réfléchi à ça toute la mâtiné. De sa main il caressa le bureau en chêne de couleur noir, comme le fauteuil qui semblait ancien, la plupart des meubles datait de matuzalem. Cette pièce ressemblait plus à un magasin d'apoticaire, qu'a une salle de travail.

Des vases de chines décorés de dragon, de boudha aux geishas était disposés un peu partout dont un sur le bureau ou dépassait des violettes fanés. Tout incarnais le luxe, un vaisselier contenant des assiettes décoré de bergères, de rois, de châteaux, de paysage féerique, des paysages du monde ancien, même des pièces de collections.

Il y'avait des chandelier en dont les bougies etaient encore neuves. Un grand lustres en or au plafond, décoré de cristal qui brillait malgré les ténèbres qui demeurait dans la pièce. Les seuls instrus c'etait les casiers au fond de la salle qui ne collait pas avec le mobilier.

En jetant un oeil aux document qu'il y'avais dans les casiers, il ne vit rien d'intéressant. Que de la paperasse d'archéologue sans valeur à ses yeux. Il ne comprenait pas pourquoi les hommes s'amusaient à fouillé la terre à la recherche d'os, de pierres et d'autres objets aussi inutiles. C'était une perte de temps pour lui. Tout ce cinéma pour que des gens d'extasies dans les musée devant des vulgaires os ou d'autres banalités du même genre. La race humaine était vraiment futile.

Il pensa à quand il redeviendra plus puissant, il en créera lui aussi des musées, où l'ont exposerais des corps humains décharné, à moitié déchiqueté, entaillé percé par des lances. Empalés comme des vulgaires poupée de chiffons. Ils auraient tous les yeux écarquillés, sortant de leurs orbites et de leurs bouches ils jailliraient des rivières de sang, qui couleraient à flot pour l'éternité. Il souris en pensant à cet idée.

Il se leva et se regarda dans un grand miroir décoré d'un cadre en or fin qui était collé au mur, ses cheveux d'un roux presque rouge était mal coiffé, tellement ses cheveux était hirsute. Ses grand yeux marrons foncé ne collait pas avec le reste de son visage. Son nez était très pointu et si fin qu'il semblait pouvoir se cassé à toit moment après un simple petit choc. Son ventre etait un bidon de graisse, un vrai bide de buveur de bière. Il avais un physique disgracieux. Son aspect lui donnait envie de vomir il souhaitais changé de corps le plus vite possible.

Il sentais les souvenirs de sa victimes qui essayait de refaire surface, il ne chercha pas à les repoussé cette fois. Au lieu de sa il ferma les yeux et se laissa aller dans les pensés de sa victime. C'était comme si il remontais le temps...

LE KARXANOù les histoires vivent. Découvrez maintenant