Chapitre 6

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-de bon amis tu dis?
-oui mama! On est juste amis Ali et moi
- il t'a invitée personnellement! À envoyer t'accueillir à l'aéroport comme si tu étais une princesse en s'excusant de son absence! T'a logée dans son côté du palais! A mis tous son service à ta disposition! Et bien il est soit amoureux ou extrêmement gentil et d'après sa réputation j'opte pour la première raison.
-mama je te rappelle qu'il l'a fais pour nous deux et aussi qu'il est fiancé!
-cela ne vous empêche pas de passer de longues heures au téléphone ! De plus il t'inclu beaucoup dans les affaires du pays! Il t'a même donné une section que tu gère à ta guise juste pour t'occuper de son peuple.
-Cali.. fit elle en s'asseyant sur le lit baldaquin...Tu interprètes mal ces actions! Il me voir comme une petite sœur! .... il me l'à dit

Cali pouvait lire la tristesse sur le visage de son amie. Elle se connaissait depuis plusieurs années et cela n'était arrivé que très rarement. Elle vint s'assoit près d'elle.

-mais toi tu l'aime? Et je ne pense pas que sa soit saint pour toi de continuer à le voir autant!
-mais je me sens heureuse comme sa et c'est suffisant pour moi.
-mais...
-s'il te plaît Cali parlons d'autre chose ! Je ne suis... prête

   Cali avait compris. Ce sujet là rendais triste. Et n'avait pas envie d'en parler. Elles passaient le reste de la journée à visiter le palais qui était d'une beauté à coupé le souffle de l'intérieur comme de l'extérieur, accompagnée du cheikh Ali-amed qui s'avérait être un excellent qui guide. Suite à cela ils avaient goûté ensemble sur une magnifique terrasse , après il s'était mis à discuter, Cali se sentais maintenant comme la cinquième roue de la carrosse.

-heu!! Excusez-moi votre altesse, mais si vous me permettez je souhaite me retirer dans mes appartements!
-je t'en prie Cali tu est libre de faire comme bon te semble! Et tu peux m'appeler Ali!
-merci.
-on se révéra à la soirée ou avant!
-à la soirée
-d'accord bon repos
-merci... Ali...Léna !

Elle lui fit un sourire et parti.


Elle se trouvait maintenant dans sa chambre. Était allongée sur le lit et repensa à son rêve.
Zahir al-Madjid!! Qu'est-ce qui l'avait pris de faire un rêve sur lui? En plus un rêve de ce genre ? Devenait t'elle folle ? Surtout après ce qu'il lui avait fait!

Mais mise à par sa! Il ne n'était manifesté aucune fois même après le verdict du juge. Mais pourquoi? Que fessais t'il? Pourquoi restait t'il aussi silencieux et calme. Sûrement qu'il lui préparait un salle cou. Après tous que pouvait t'il fais de plus?  Ou peut-être était t'il avec une femme ??

Cette pensée lui fit un effet qu'elle ne su expliqué!

-« sûrement du dégoût ! » se dit elle pour se rassurée !

      Sur cette magnifique pensée elle s'endormir. Léna vint la réveiller quelques heures plus tard. Ensemble elles se préparaient pour la soirée. Léna avait passée tout le temps a faire les éloges d'Ali. Cali était a la foi triste et heureuse pour sont amie. Elle eu à peine fini de s'apprêter qu'on frappa à la porte de Cali, qui s'ouvrir sur le cheikh Ali-amed vertu d'un djellaba traditionnelle qui lui allait à la perfection mettant en valeur sa carrure athlétique et son beau visage viril.

   Il venait d'entré la pièce et son regard était bloqué sur Léna qui avait portée une robe de soirée traditionnelle rouge revisité de sorte qu'elle face plus moderne, une de ces création. Et il avait pas à dire elle était vraiment très belle.

Ils se dévoraient littéralement des yeux et Cali commençait à se sentir très gêné! Ce fut elle qui ouvrit le débat

-bonsoir Ali ! Comment tu va ?
-Cali.... sa va merci... vous être prête ?
-oui....fit elles ensemble

              Ils allèrent à la salle de bain de fête. On annonçais le cheikh et il fit son entrée accompagné de Léna. Tous était très beau et parfait, l'ambiance était très détendue et agréable.  Le cheikh l'avait présenté à plusieurs personnes san oubliée de spécifier sont métier. Elle devait avouer que cela lui faisait grandement plaisir car cela lui permettait de faire du relationnel entrent dans un cercle plus fermé que le siens et ceux sans intermédiaire!

      Sa faisait maintenant plus deux heures que que la soirée avait débuté et elle devait avouer qu'elle ne regrettait pas d'être venue. Elle passait un agréable moment et surtout en bonne compagnie. Car elle se trouvait en face d'un très bel homme, cela ne faisait qu'une trentaine de minutes qu'elle parlait lui mais elle pouvait dire qu'il était très gentil , galant et surtout très charmant.

     Zahir venait de faire son entré en compagnie de son cousin Yassine. Tout deux était cousin au cheikh Ali-amed, en plus de sa était de très bon amis des confidents même. Dès leurs arrivés plusieurs personnes se ruaient vers eux, les hommes pour des établis des relations ou des connaissances des femmes dont le but était connu de par leurs prestances et attitudes.

    Ils échangeaient quelques instants avec eux, laissa ensuite Yassine avec eux. Parla avec son cousin qui était visiblement en une très bonne et belle compagnie et se préoccupait plus d'elle que du reste de ces invités. Il décida donc de s'éloigné, d'aller se servis un verre.

     Voulant allé vers le bar, il vit une silhouette qui lui était assez familière. Et s'en rapprocha. Et là il l'a reconnu aussi tôt. « Mademoiselle Haros ». Mais que pouvais t'elle bien fais la? Se demandât-il ? Elle était venu d'une magnifique robe turquoise légèrement volante a longue manche faites de dentelle. Ces longs cheveux roux étaient laissés au vent et descendaient en cascade jusqu'à sa taille. Lèvres charnues étaient peintes d'un rose brillant! C'est beau yeux bleu était souligné d'un trait noir qui augmentait leur éclats!

      Elle était de loin la plus belle femme qu'il lui était donné de voir dans cette soirée. Normal que cet abruti lui souriait aussi bêtement! Et elle aussi d'ailleurs !!!

   Sans trouvé logique, il senti en sentiments... par qu'il qualifierait de jaloux.. mais disons plutôt de mécontentement l'envahir.
   Et puis d'ailleurs comment pouvait- elle être là à rire s'amusé alors qu'elle lui pourrissais et retardait son projet.

Sans plus de cérémonie il s'avança vers eux.

- mademoiselle Haros ! Vous vous êtes égarée?

       Cali reconnu automatiquement sa voix! Et se retourna sur le côté. Elle se retrouvait face à lui maintenant ! Elle ne s'attendait vraiment pas à le voir ! En même temps c'est elle qui n'était pas vraiment à sa place!

   Zahir était très satisfait de sa réaction. Elle était là devant lui. Ne sachant quoi répondre. Il massacrerait sa soiré et en même temps celle de son compagnon qui n'était rien d'autre que ce minable pathétique de George. Il se tourna donc vers se dernier qui n'était plus que l'ombre de lui même.

-n'avez-vous rien de mieux à faire ?
-o...oui... monsieur Al-Madjid
-alors ??
-bien monsieur...
-heu... Cali...
-maintenant !
-bien monsieur...fit t'il avant de s'en allé littéralement au pas de course.

    Cali était étonnée de ceux qu'elle venait de voir! George venait de s'enfuir face à lui! Il était parti prenant à peine le temps de lui dire au revoir ! Elle était choquée! Elle jeta un regard autour d'elle et plusieurs personnes les regardait disons plutôt le regardait.. et elle pouvait lire de la crainte dans leur yeux!!

    Elle leva les yeux vers lui. Une forte colère c'était emparée d'elle! Une fois de plus il venait de l'humilier! Elle n'avait qu'une envie c'était de le frapper , lui dire le fond de sa pensée!
Mais mieux vaut s'abstenir. Car elle était à la fête d'Ali et elle ne devait pas faire de scandale.
  Elle le regardait avec toutes la haine dont elle disposait et lui dire avec mépris

-vous n'êtes qu'un malade!

Elle tourna les talons et partir vers les jardins!

confrontation entre milliardaires ( Terminé )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant