chapitre 40

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Une douce chaleur lui caressa le visage. Elle ouvrit paresseusement les yeux vit que c'était les rayons de soleil qui s'infiltrait dans la pièce à travers les rideaux.

La soirée de la veille lui revient en mémoire, telle un bouton déclancher des larmes se mit a coulé sur son visage . Après l'avoir enfermé dans la chambre elle avait cherché a sorti dans succès, attendus des heures et finir par s'endormir dans les larmes.

Elle se redressa et le vit assis face au lit dans un bourré qui n'était pas la veille.
Il avait troqué sa tenue princier contre un pantalon noir et une chemise bleu nuit dont les manches étaient replié.

Il était adossé contre le dossier du siège le regard sombre, le visage impassible ne traduisant pas la moindre émotions. Il était juste férocement beau.


- bonjour Habiba !

Sa voix était tellement grave et rauque quelle déversa en elle a la fois de la crainte et des frissons.

-..... Bonjour... Fit elle en détournant le regard

- bien! Je vais te posé des questions ! Et tu va me répondre ! Nous allons discuter calmement sans nous emporter !

Il avait dit ces phrases tellement calmement que cela l'inquièta qu'elle préféra abdiqué

- ...

- bien ! Maintenant dit moi se qui t'arrive ?

- je ne plus être avec toi ! .... Elle avait dit cette phrase les larme au yeux

- d'accord ! Et quelle en est la raison ?

- soyons sérieux ! Nous deux c'est juste une mascarade ! .... Tu .. je ne suis qu'une distraction pour toi. Une pauvre petite fille ajouté a ton tableau de chasse... Parlait en pleurant

- c'est Cortez qui t'a mis cette idée dans la tête ?

- Raphaël n'a fait que confirmer les dires de ta fiancée! Humm !! Quelle idiote je suis !

Elle se leva et pris ces chaussures a la main et se dirigea vers la porte..

- Zahir ouvre la porte s'il te plaît !

- nous n'avons pas fini!

- pourquoi tu me fais sa?? Tu essaies de te venger ?? Je me suis excusée pour ce que je t'ai dit !! Pourquoi tu joue ainsi avec moi ?

Sa tristesse augmenta encore devant son silence.

- je sais que tu es toujours avec elle ! Pourquoi tu ne me laisse pas m'en aller ?

- Nabilla ? Je ne suis pas avec elle!

- je vous es vu vous en allez ensemble ! Et elle était ici! Dans ta chambre ! Je l'es vu! Elle m'a très bien fait comprendre se qu'elle m'avait dit au Koweït !

- tu fais erreur Cali

- non je l'ai vu ! Elle sortait d'ici ! En robe de chambre ! Les cheveux complètement ébouriffé ! Plus besoin de faire... Elle termina sa phrase par les larmes..... Tu ne sais même pas se que nous sommes ! Tu a du mal à me présenté !.. j'ai compris.. tu comporte bizarrement...tu ..me touche ensuite tu me laisses en plan... Sa encore je peux le supporter parceque je.... T'aime... Je sais que c'est trop top! ... Mais je me disais que peut-être avec le temps tu m'aimeras aussi même petitement...mais là c'est trop !! Je ne peux pas supporté de te savoir avec une autre femme et encore moins en ma présence... C'est trop pour moi !..

" je t'aime " sa Cali venait de lui déclarer son amour !! Elle l'aimait ... Il avait entendu et compris tout ce qu'elle avait dit mais ce fut tout se que son cerveau retenait pour l'instant. Son cœur s'emblala , il se sentir comme revivre. Il sourit..

- j'ai changé ton lit par jalousie !

Cali leva les yeux et croisa son regard brûlant

- je ne supportait pas l'idée que tu es pu le partagé avec un autre homme ! Depuis que je t'ai rencontré je n'ai eu aucune intimité je n'y arrivais pas parce déjà là je n'avais que toi dans la tête ! Et s'y je me suis absentée aussi longtemps durant la soirée c'était pour gérer une affaire d'état. Un semblant de coup d'état d'un petit groupe de rebelle. Concernant Nabilla je suis en affaires avec son père , elle voulait forcément m'en parler du nous sommes monté ici!

Flashback

Zahir observait Cali de loin! Elle était tellement occupée, agissait en parfaite hôtesse en se préoccupant de chaque invité, des parents des différentes familles, des mariés, Elle était juste merveilleu....

- bonsoir monsieur Al-Madjid.! Fit une voix féminine dernière lui

Il se tourna et vit Nabilla Jawad sa précédente maîtresse.

- bonsoir Nabilla !

Elle s'approcha et elle lui fit une bise

- puis-je vous parlez en privé ! C'est très important au sujet de votre collaboration avec mon père

- le moment n'es pas opportun

- juste une minute ! Il m'a transmis les reines et je n'y connais rien ! vous savez je suis mannequin pas femme d'affaires !

Ne voulant attiré l'attention il l'emmena dans ses appartements.

- plus sérieusement qu'est-ce que tu veux Nabilla ?

- monsieur Al-Madjid... J'ai compris mon erreur !! Je suis tellement désolée ! Je n'aurai jamais du agit ainsi... fit elle en pleure.... Vous me manquez tant... Vous rappeler vous des merveilleux moments que nous avions échangé ?.... J'ai besoin de vous dans vie...

Sans mots il prit quelques mouchoirs du guéridon et lui tendit

- je ne veux plus de toi Nabilla! Peu importe la nature. Je te l'ai déjà fait comprendre arrête donc de t'acharné sur l'impossible... Passe à autre chose !

- non!! Non!!! S'il vous plaît.... Je ne peux pas..je...

elle parlait en suffocant. Il eu a peine le temps de lui poser une question qu'elle s'évanouit dans ces bras.

Il l'installais dans la chambre de son bureau et appella le médecin et une servante du palais a qui il ordonna de la débarrasser de sa tenue.

- votre Altesse ! Ce n'est qu'un coup de stress. Elle es sous alimentée .. je lui est prescrit des vitamines et beaucoup de repos.

- merci.

- excusez-moi votre Altesse ! Votre oncle vous réclame dans son bureau !

Zahir se rendra dans le bureau de son oncle le père d'Ali.

- vous m'avez réclamé mon oncle.

- oui! Je vous que tu te charges de diriger des soldats pour arrêter les rebelles a la frontière. Je sais que tu a rejeté....

- je vais m'en charger

- merci mon fils... Merci... Tu ferais un bon sheikh.

Fin du flashback.....



- C'est tout se qui ces passé. .. si je ne t'ai pas touché c'est parce que je ne voulais comprendre mes sentiments pour toi. Aussi le fait que tu recule a chaque fois n'arrange rien. Cali ?

Elle leva la tête

- approche ! Viens a moi... N'est pas peur...

Le cœur de Cali battait maintenant a cent a l'heure. Les jambes tremblant elle vit face a lui et s'agenouilla devant lui la tête baissée..

Tendrement il releva son menton.. et la regarda droit dans les yeux.

- Habiba, je te le répète .... Tu es mienne.. je ne t'ai jamais considéré comme gamine ou aucune autre inepties du genre. Même si je m'y refusait de croire je t'ai toujours considéré comme une femme .... Ma femme.. 'ant hubi Cali, 'ahbak.





confrontation entre milliardaires ( Terminé )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant