1. 𝑷𝒂𝒓𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒂 𝒅𝒆́𝒆𝒔𝒔𝒆

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(t/p)= ton prénom
(t/n)=ton nom
(c/c)=couleur cheveux
(c/y)=couleur yeux

Cette histoire est actuellement en réécriture! Je pense que vous verrez très rapidement la différence entre les chapitres corrigés et non, je m'excuse d'avance des horreurs que vous allez lire des chapitres non corrigés..





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♪ | Shingeki Vc - Pf20130218, Hiroyuki Sawano |♪


Elle vivait dans le plus sombre, le plus dangereux et le plus effrayant des endroits..

Les Bas-Fonds.

Un endroit rempli de déchets humain, où le crime n'est qu'un quotidien et où survivre relevait de l'impossible.
Dans ses plus lointains souvenirs elle a toujours vécu ici, dans la crasse et la boue, se faisant jeter de tous endroits où elle avait le report et la sérénité.

Elle vivait isolé et seule dans la famine, et comme tout le monde pour sa survis elle enfreignait toutes les lois qu'elle avait connues jadis.
Ce jour-là elle n'avait que dix ans, alors que les « chanceux » comme elle aimait les appeler, vivait de lumière et de sécurité.

Choyé par la douceur de leurs parents aimant le teint rosi par un soleil agréable, les yeux pétillant de malices et de joies. Et elle, elle avait le corps d'une brindille prête à céder sous un poids qu'elle aurait considéré trop lourd, ces longs cheveux n'avaient eu la chance d'être nettoyés, ni même brosser.
Ils étaient poisseux de la crasse qui vivait dans l'air, abandonnés à vivre une vie sauvage.

Et ces yeux, de grands yeux (c/y) ternies, jamais ils n'avaient connu le bien-être de la lumière du jour, comme le reste de son corps d'ailleurs.

De ses plus lointains souvenirs elle a toujours survie seule, n'a jamais eu de parents, de frères ou bien encore de sœurs, tout ce qu'elle connaissait c'était le bruit tressaillant du silence.
Elle s'était résignée, imaginant bien sa mère la laissait au côté du premier détritus venu afin de s'éviter plus d'encombre qu'elle devait déjà en avoir.

Une grossesse non désirait, voilà ce qu'elle pensait être.

Elle ne volait que le minimum pour sa survie jusqu'à ce jour.
Ce jour où après avoir volé un bout de pain à un marchand elle se fit tirer dans une ruelle sombre et recluse du reste du marcher.

Quatre hommes contre elle.

Quatre hommes contre une enfant de dix pauvre année qui peinait à articuler le prénom qu'elle s'était inventé.

Ils l'ont battu jusqu'à l'épuisement pour qu'elle défasse sa prise sur l'aliment.

Tout ça pour un pauvre bout de pain sec.

C'est à partir de là, quand elle se retrouva à bout de forces seule face aux portes de la mort, qu'elle changea et ne devient plus que l'ombre d'elle-même.
Elle ne cessait de se demander, pourquoi?Pourquoi devrais-je me laisser faire alors que je ne fais ça que pour ma survit?

Plus elle y pensait, plus elle tournait en rond allongé sur le sol et plus elle trouvait ce monde injuste, mais elle savait qu'elle ne pourrait rien y faire.
L'homme est son propre destructeur, ils pourraient se soutenir mais ils préfèrent se retourner les uns contre les autres pour être celui qui obtiendra le plus.
L'homme est un être cupide.

Ce fut le déclic, alors qu'elle approchait les portes de ces onze ans qu'elle décida d'arrêter de survivre et de vivre pour elle quel qu'en soit le prix à payer.

Sombres pensées pour une enfant, n'est-ce pas?



Dix ans plus tard

Le temps avait passé et (t/p) n'était assurément plus la même qu'autrefois.

Après avoir eu le déclic qu'était d'arrêter de survivre elle avait décidé de se perfectionner dans l'art qu'était le vol, se faisant attraper plus d'une fois et à en subir les conséquences son moral avait été mise à rude épreuve.

En presque deux ans elle volait désormais comme elle marchait sans même parfois s'en rendre compte, juste par automatisme.
Mais malgré la bonne cachette qu'étaient les ruelles sombres, perçu comme la première chose à éviter ici-bas, son butin était bien trop important pour laisser ici.

Elle cherchait donc une maison inhabitée, un endroit où le passage se faisait rare afin d'éviter d'être étranglé pendant un sommeil qui se ferait trop profond. Et finalement, elle trouva son bonheur.

Une vieille bâtisse qui paraissait en ruine mais encore « neuve » de l'intérieur, elle la fit donc sa demeure.

Pendant ses dix ans elle ne s'était pas exercée qu'au vol mais également au corps à corps, à en devenir une pro a mains nues.
En combat armé elle magnait le couteau à la perfection, elle pouvait le faire s'envoler à plus de cent mètres du sol juste avec la force de son pied.

Sa force était devenue effrayante, qui aurait cru que la pauvre enfant de dix ans qui peinait à se nourrir deviendrait un monstre de muscles?

Et puis, après être devenue cette femme elle commença sa vengeance envers ce monde grotesque, ces premières victimes furent les quatre hommes qui l'avaient laissé pour morte dans cette ruelle, pas facile à retrouver après tout ce temps mais (t/p) garda patience. Tout vient à point à qui sait attendre.

Le chat avait trouvé ces souris et s'en était amusé, amusé de l'état déplorable dans lequel elle les avait retrouvés. C'est si facile..

Elle multiplia rapidement les homicides et ça ne l'a dérangé pas, c'est pour la bonne cause, se répétait-elle.

Au début elle prenait même du plaisir à tuer ses proies qui l'imploraient du regard de les pardonner pour leurs péchés et leurs égards envers elle et autrui. Mais elle s'en moquait et elle aimait prendre le temps de leur faire comprendre.

Puis plus le temps passait plus elle se lassait, elle ne trouvait jamais quelqu'un capable de lui résister plus de trois secondes après avoir réalisé qui il avait en face de lui, ce qui l'avait passionné au début l'ennuyait désormais à mourir.

On lui avait donné un surnom, un surnom des plus étranges selon elle. Un surnom qui en effrayait tellement que lorsque quelqu'un le crier tout au tour ne devenait
que crises et angoisses.

On l'avait surnommé 𝐏𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞.

Parque était une déesse de la mythologie romaine qui contrôlait la vie des hommes comme ça lui chantait, elle déroulait le fils de leur vie jusqu'à ce qu'elle le coupe de ses doigts de fée entraînants leur exil dans le monde des morts.

Ils l'appelaient comme ça à cause du nombre incalculable de meurtres qu'elle s'amusait à causer pour X ou Y raison,
mais (t/p) en rigolait et les trouvait bien ingrats alors qu'elle désinfectait simplement les rues sales des Bas-Fonds de ses cafards.

𝐏𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant