𝐏𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞

chap12: un insecte de lumière

Pdv (t/p):

Arriver devant la porte du major Erwin le soldat me laissa. J'entrais sans toquer puis je vis Erwin accompagné de Livai et de Hanji. Livai prit la parole comme agacer:

« - Te voila enfin.

- Oh mais c'est nôtre championne qui a découper presque autant de nuques de titans que l'homme le plus fort de l'humanité en 30secondes.

- Tch. »

Livai avait vraiment l'air agacé par la remarque d'Hanji, c'est donc lui qui détient le record, sa ne m'étonne pas trop.
Je pris place sur une chaise et Erwin prit la parole:

« - Donc vue tes capacités nous pensons bientôt te faire Caporal Chef, comme Livai mais nous voulons d'abords voir ce que tu vaux sur le terrain. Une expédition aura bientôt lieu, tu intègres donc temporairement l'escouade Livai.

- NONN!! Je voulais qu'elle intègre mon escouade je te l'avais bien stipuler Erwin!! Tu exagères!! »

Cette femme aux lunettes était à la limite de pleurer mais pourquoi? je ne comprends pas tous mais bon.

« - Cest tout?

- Oui, tu peux disposée. »

Je me leva, suivis de près par Livai. On sorti et en fermant la porte il dit:

« - Tu es désormais sous mes ordres , demain c'est entraînement à 8h dans la même forêt que tout à l'heure. Et soit à l'heure. »

Il était sec, sa se sentait qu'il ne voulait pas parler, ou me parler peut être?
Je n'eus le temps de répondre qu'il était déjà parti. Qu' est ce qu'il a j'me le demande vraiment.
Mais pourquoi je m'inquiètes pour lui? C'est un traitre.. Pourquoi je penses ça déjà? Je crois que je me poses trop de question à moi même.

Je comptais allée me reposer dans ma chambre mais en arrivant devant ma porte, j'ai eux une soudaine envie de prendre l'air. Il devait être au alentours de 00h, l'air être doux et léger. Je marchais dehors sans réelle but j'avançais juste et sa faisais beaucoup de bien de pouvoir ne penser à rien.

Pdv Livai:

J'étais retourné à ma chambre pour encore et toujours finir la paperasse que Gros Sourcils m'a donné.
Quand mon instinct me dit de regarder par la fenêtre et je la vis, s'éloigner du QG.
Tch il devait bien être 0h30 qu'est ce qu'elle foutait?
Je pris donc la décision de descendre pour la ramener dans sa chambre comme un bon chef d'escouade rien de plus. Ou c'est se don j'essayais de me convaincre? Bon sa suffit assez parler.

Je me leva et essaya tant bien que mal de retrouver sa trace, elle était parti vers un coin que je connais bien.
Arriver sur les lieux je tomba de haut, se plan était magnifique, elle était magnifique.
Je ne vie qu'elle assise sur la branche d'un grand arbre une jambe tombant dans le vide, près de l'arbre un ruisseau qui reflétait les rayons de la lune pleine sur son visage. Tout au long de l'arbre, sur son tronc, sur ses feuilles se trouvait de magnifique lucioles qui brillait de milles feux. Elles m'illuminais comme un deuxième soleil. Elle, elle se trouvait au milieu de se soleil, elle ressemblait à une déesse, elle était le centre de l'attention. Je ne le vis pas sur le coup mais elle pleurait, des larmes silencieuses, mais remplis de douleurs. Elle accompagnait la danse des insectes de lumières d'un chant et j'admirais se spectacle jusqu'à qu'elle me remarqua.
Elle stoppa sa belle voix et l'on s'observa dans les yeux puis elle tourna le regard séchant ses larmes et descendu de l'arbre.
Dans une marche rapide elle me donna un coup d'épaule avant de continuer d'avancer.
Je lui attrapa le bras et lui dis:

« - Oie Il t'arrive quoi toi. Ta pas remarquer que le couvre-feu est passer depuis bien longtemps »

Malgré la scène magnifique que j'avais pu contempler quelques instants plutôt je n'oublie pas mon véritable objectif et lui parlait comme d'un Chef d'escouade à un de ses membres, même si c'était compliquer.

Elle se tourna brusquement vers moi dissimulant son point qui faillit atterri dans mon visage. Ses larmes avaient refait surface, pourquoi essayait elle de me frapper?
À la tentative de cette attaque mon premier réflexe fut de la bloquer au sol son visage face au mien l'empêchant totalement de bouger.

Pdv (t/p):

C'était vraiment la dernière personne que j'avais envie de voir.
Quand je l'ai vue je ressentis de la haine envers lui je ne sais pas trop pourquoi, mais une chose dont j'étais sûr c'est que je ne voulais vraiment pas le voir.
En essayant de fuir la situation il m'attrapa comme pour me mettre face à mes responsabilités:

« - Oie Il t'arrive quoi toi. Ta pas remarquer que le couvre-feu est passer depuis bien longtemps »

Il était là juste pour ça? A l'entente de ses mots ma ragent monta un peu plus, un peu comme mes sanglots. En essayant de le frapper il m'attrapa et me plaqua avec une facilité déconcertante.