Chapitre 16 Felicity

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Ça vous arrive de dire des choses que vous regrettez des le lendemain ? Oui ? Et bien actuellement c'est mon cas.

Pourquoi ?

Hier j'ai dit à Stone mon grincheux que je voulais y aller doucement.
Pour moi c'était la chose à faire au vu de ma précédente relation .

Alors quel est le problème me direz vous.
Et bien le problème est cette masse de testostérone qui est actuellement torse nu en train de travailler sur le chantier.

Il fait chaud et le voir comme ça augmente encore plus la température.

- Il donne envie de lécher sa sueur dit Nancy le cul posée par terre à côté de moi

On les matte depuis 2 bonnes heures sans fatiguer.

- Je l'imagine plein de chocolat sur le corps,  j'en lecherais chaque millimètre en m'attardant sur ses tablettes repondis-je.

- Comment tu fais pour résister à ça ? Demande-t-elle.

- Je n'y arrive pas repondis-je,  je suis obligée de me satisfaire toute seule, merde regarde son pantalon descend un peu plus.

- Oh Oui vas y ! Montre nous ton matos cria Nancy.

Stone se tourne et nous grille en train de le reluquer la langue pendante.

Il me fait un clin d'œil et se baisse.

- Seigneur ce cul bien ferme qu'il a dis-je.

- Nancy arrête de mater mon frère cria Dean.
Vous avez pas des trucs à faire.

- Laisse nous fantasmer en paix repond-elle.
Et toi Stone baisse ton froc, ta copine veut voir ce que tu caches.

Je la déteste !

- Je lui montrerais ce soir repond-il.

- Woooouooooou tu vas passer à la casserole ma vieille !

- Fous lui la paix Nancy lui dit-il

Au moment du déjeuner,  Stone se rapproche de moi, je suis à bout, excitée comme je ne l'ai jamais été.
Il le voit bien.

Il se plaque contre moi, dégoulinant de sueur, les muscles saillants.

- J'ai l'impression que t'as un petit problème chuchote-t-il à mon oreille.

J'hoche la tête .

- Je peux t'aider à le régler dit-il.

Je passe la main sur son torse.

- Vraiment ? Demandais-je.

Il me prend la main et m'entraine à sa suite.
On monte dans une des camionnettes.

Il pose ses lèvres sur les miennes et commencent à me déshabiller.

Le désir que je lis dans ses yeux me coupe le souffle.
Entièrement nu sa main se glisse entre mes cuisses, m’arrachant un gémissement.

Il tetire sa bouche et suce le lobe de mon oreille.

Son pouce caresse mon sexe.

Mon corps est parcouru de frissons alors qu’il continue à me caresser.
Mon sang est en ébullition, mes seins gonflent de plaisir. Il murmure mon nom de sa voix rauque et sa bouche se pose sur mes seins. Je gémis, mordille son lobe d’oreille et prononce son prénom comme un mantra.

Il m'allonge sur mes vêtements faisant barrage à la porte de son corps.

Son visage glisse jusqu'à se retrouver entre mes cuisses.

Il écarte mes lèvres de ses doigts rugueux et me lèche.
Je ne trouve rien à agripper alors je me rabats sur ses cheveux.

Quand il introduit un doigt, je me sens me resserrer autour de lui.

Mon dieu ce que c'est bon, nos regards se croisent quand il releve la tête et son doigt commence à bouger.

Mes yeux se ferment sous le plaisir intense qu'il me fait ressentir.

- Ouvre les yeux dit-il.

Difficilement je m'exécute,  mes gémissements deviennent des cris quand il en introduit un deuxième.

Ses yeux ne quittent pas mon  visage .

Il me donne quelques coups de langue en accélérant.

Je perds pied, je ne sais plus à quoi me raccrocher, ma vue se brouille et quand il ajoute un doigt je me brise en mille morceaux.

Je n'avais jamais ressenti ça.







Le chagrin qui nous rapprocheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant