Nouvelle aventure

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Je n'avais eu que très peu d'occasion de sortir de notre territoire, dont l'une des fois était pour nous rendre à la bataille sous La Montagne Solitaire. Quand j'y pense, cela a été une énorme erreur de notre part de nous joindre à cette guerre, sachant que nous savons tous que ce sont les Orques que nous avons en ennemis communs, pas les autres espèces. Mais il en a voulu après ces chères pierres précieuses que la montagne possédait, il n'a réellement comprit la menace des Orques que quand ces derniers nous ont attaqué avec une armée venant de Sauron alors que Thranduil refusait catégoriquement de croire en cette attaque, ne voyant seulement que les Nains qui se mettaient en travers de ses pierres, et seulement pour cela, j'aurais pu ne jamais me réveiller.

Je secoua la tête, essayant de ne plus penser à tous que ce que j'ai pu faire dans ma vie afin de suivre mon ancien seigneur. Me voilà maintenant libre de mes propres choix et je ne dois plus obéir à quiconque se proclamerait « le roi ».

En galopant, je profite du paysage, me laissant distraire par la beauté des lieux. Les grands espaces vert, ou l'on pouvait voir au loin les grandes montagnes grises... tous cela ne m'était pas familier mais j'étais heureuse de découvrir librement ce vaste monde, sans avoir aucun ordre. Juste aller là où mon cœur me dit d'aller et de ne pas réfléchir plus longtemps.

Après quelques heures à avoir parcouru les différentes terres, je décida de m'arrêter au bord d'un ruisseau ou je pourrais laisser ma jument reprendre son souffle. Une fois desseller et débrider, je la fit s'approcher au bord du ruisseau ou elle y rentra dedans avec plaisir en grattant le sol et buvant quelques gorgés d'eau fraîche. Je la laissa profité et rejoignis mes affaires afin de m'assurer que mes dagues et mon épée soient bien affûter. Elles pouvaient être anciennes mais elles resteront toujours aussi coupantes, ce n'est pas pour rien que les armes elfiques sont vraiment tranchantes et perdure dans le temps. Je pris alors l'arc de Thranduil que je m'étais permise de prendre. Les rayons du soleil lui donnait la même couleur que celui-ci, brillant de mille feu avec les diamants incruster dans l'arc qui lui donnait par-dessus tout un aspect très chic.

Des bruits de pas me sortit de ma contemplation. Ils ne venaient pas dans ma direction, mais ce n'étaient pas des bruits ordinaires. Quelques petits rire d'enfants se fit entendre plusieurs mètres un peu plus haut sur le ruisseau. A première vue rien de très inquiétant, alors je mis mon arc dans mon dos et commença à ramasser mes affaires lorsque plusieurs cris stridents se fit entendre. Je pris mon carquois ainsi que mes dagues et sans plus réfléchir je me mise à courir en direction des cris.

Plusieurs cris suppliant se faisaient entendre et plus je me rapprochais, plus j'entendais des grognements. En arrivant plus haut, je vue alors plusieurs enfant réfugiés dans les branches des arbres avec à leurs pieds des loups géants montés par des Orques. Ces montres n'avaient donc pas été éradiquer pendant la bataille, certains d'entre eux avaient survécu...

L'un des enfants m'ayant vue me cria de venir les aidés et l'attention des certains loups qui n'étaient pas montés se tournaient alors vers moi. Sortant mon arc à toute vitesse, certaines de mes flèches arrivèrent dans le crâne des loups accourant vers moi. Deux d'entre eux se mirent côte à côte pour me foncer droit dedans, l'un des deux tomba une flèche planter dans le cœur mais l'autre ne s'arrêta pas. Sortant mon épée, je me mise à courir vers lui et arriver à quelques mètres de lui, je glissa sur le sol, l'épée lever, lui trancha alors tout l'abdomen.

Les orques se tournèrent alors vers moi au cries de leur bêtes hurlant de douleur sous mes coups, mettant leur loup face à moi. Ces derniers grognaient et les Orques quant à eux n'avaient pas l'air heureux de me voir faire échoué leur plan. L'un des orques ne mit alors à crier et les autres commençaient alors leur chasse sur moi. Je lance mon épée dans le cœur de l'un de leur loup qui se mit à tomber et à débarouler sur le sol avec l'orque sur lui. Je repris mon arc en main et lança les flèches aussi vite que je le pouvais. Je ne pouvais pas tous les avoir en un seul coups. Certains d'entre eux se rapprochaient dangereusement de moi, je me met à courir vers le loup que j'avais achevé avec mon épée quelques secondes plus tôt. Lorsque j'arriva à la reprendre en main, un loup seul accourant vers moi me surprise et je me baissa aussitôt vers le cadavre afin de ne pas être impacter. Celui-ci sauta par-dessus moi mais se retourna vite, il fonça sur moi et attendit le dernier moment afin d'esquiver son coup. La tête dans le cadavre, je lui monta sur le dos et abrégea sa vie d'un coup d'épée dans le crâne. Je continue d'envoyer quelques flèches sur quiconque osait s'approcher de moi. Bientôt ils se retrouvèrent beaucoup moins nombreux et arrêtèrent d'accourir vers moi. Je me mise alors devant l'arbre dans lequel les enfants c'étaient perchés, tendant mon arc sur chacun des orques toujours vivants qui osait faire un pas en plus vers moi.

L'orque ayant ordonné de m'attaquer fit un râle de sa voix grave, me dévisageant, les yeux pleins de haine. Mais il décida de s'en aller et les autres le suivit sans plus attendre en direction de la forêt.

J'abaissa alors mon arc laissant un soupir de soulagement m'échapper. Je ne m'étais pas battu depuis un moment mais c'était toujours bon à savoir que j'avais toujours les mêmes et bons réflexes. Mon attention se dirigea alors vers les enfants.

« -Vous pouvez descendre, vous ne craignez plus rien ».

Ils se regardaient quelques secondes entre eux, avant que l'un se décide à descendre progressivement de sa branche. Les loups ayant essayé de grimper aux arbres avaient arracher beaucoup de branches, il y avaient maintenant une grades distances entre le sol et les enfants. Je me mise alors en dessous l'arbre.

« -Saute, je te promet que je te rattraperais » dis-je en tendant les bras en dessous lui.

Il regarda le vide sous ses pieds, avalant difficilement sa salive avant de fermer les yeux et de se laisser tomber dans le vide. Le rattrapant dans mes bras, je sentais alors son corps se crisper lorsqu'il atterri dans mes bras et je le mit sur pied. Il ouvre difficilement les yeux avant de me regarder avec de grand yeux ébahit, comme-ci ce n'était qu'un rêve et qu'il allait bientôt se réveiller.

Après avoir aidé tous les enfants à descendre de l'arbre. J'entendis alors quelques chose tomber derrière moi. Lorsque je me retourna, une jeune femme se releva doucement devant moi. Ses cheveux bruns étaient ébouriffer, le teint de sa peau était pâle, tremblotant de tout le long de son corps mince, sa robe bleu était déchirer au niveau de ses genou. Je ne pus l'observer plus longtemps que certains des enfants accouru vers elle pour la prendre dans ses bras.

Celle-ci s'agenouilla aussitôt afin de voir chacun des enfants, leur demandant s'ils n'étaient pas blesser. Certaines larmes coulaient sur les joues de ces derniers, cette jeune femme se pressa à chaque fois qu'elle en voyait une couler, le prenant légèrement dans ses bras, leurs promettant que tout cela était finit.

Ne voulant pas leur imposer ma présence plus longtemps, je retourna progressivement de là ou j'étais venue.

« -A-Attendez ! ».

Au son de sa voix suppliante, je m'arrêta aussitôt, me tournant progressivement vers eux. La jeune femme c'était relever, les enfants avaient eux aussi toutes leurs attentions sur moi. Un lourd silence suivit, ne sachant pas quoi faire, elle n'osait plus parler, ni même avancer vers moi. Je la vue alors râler baissant les yeux, puis elle vient à moi. En quelques pas elle se retrouva devant moi, elle me prit mes deux mains dans les siennes sans aucune hésitation. Son attitude me surpris, mais son regard me calma aussitôt, ses yeux à la base vert étaient embrumer, devenu rougeâtre à cause des nombreuses les larmes qui avaient dû couler.

« -Je... je ne sais pas comment vous remerciez. Vous nous avez sauvez la vie. Nous venons fréquemment ici, c'est la première fois que nous nous faisons attaqué... J'ai cru qu'on allait tous y passer ».

Ses mains tremblantes, je retira doucement l'une de mes mains des siennes pour la poser calmement sur les siennes. Elle aussi fut étonner par mon geste. Je lui souris.

« -Vous n'êtes pas morte, c'est le principal. Cependant vous saurez qu'il faut se méfié encore plus de la forêt et de ne pas venir seule avec plusieurs enfants avec vous. Certaines vermines n'ont pas fini d'être expulser de ce monde » dis-je en remuant légèrement la tête, ne voulant pas lui faire la morale, seulement lui porter conseil.

Elle hocha vivement la tête en me faisant un bref sourire.

« -Aénor ! »

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Yo les gars ! J'espère que ce chapitre vous aura plus, n'hésitez pas à me dire ce que vous avez aimez et moins aimer ☺️
Je vous souhaite un joyeux noël et j'espère que vous serez gâtée !

Redevient le Legolas que je connaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant