Chapitre 7

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Mon réveille sonne à 7h00. Mais je suis encore fatiguée. Je savais que parler au téléphone avec Louis et me coucher à 1h00 était une mauvaise idée. Quoi que dormir à 00h00 non plus ne m'aurais pas aidé ce matin. J'ai énormément de mal à me lever, mais je me force.

Je vais dans la salle de bain, prend ma douche, et vais chercher comment m'habiller. Avant de choisir mes vêtements, je regarde sur l'application météo de mon téléphone et je vois qu'il annonce un grand soleil. Je choisis donc une jupe en jean et un haut blanc.

Accompagné d'un sac à dos en cuir avec tout mes affaires de cours dedans

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Accompagné d'un sac à dos en cuir avec tout mes affaires de cours dedans. Tout comme hier, je descends dire bonjour, je déjeune et je pars vers le lycée.

Pendant que je marche, j'entends mon nom et me retourne. J'y vois Louis. Aussi classe et bien habillé qu'hier.

- Salut

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- Salut. Me dit-il.
- Toujours aussi classe.
- Merci bien, petite Nina.

Je roule des yeux pour lui indiquer mon mécontentement et ignore ce petit surnom.

- Tu veux faire bonne impression pour la rentrée ?
- Oui, je voulais y aller en voiture mais l'école est trop mal située dans Paris. Une galère pour se garer. Donc j'y vais en transport.
- Tu me racontes ta vie ou je rêve ? Dis-je en rigolant. Il n'a pas l'air de rigoler. Je me reprends. Donc tu prend le même chemin que moi, comme toujours.
- Exactement. J'aime bien ta compagnie.
- On aime souvent ma compagnie.
- Généralement, c'est les filles qui aiment ma compagnie et pas l'inverse. Me dit-il avec son sourire charmeur.
- Cette information ne me concerne guerre.
- Je peux te poser une question ?
- Oui, bien sûr.
- Es- tu une femme prise ?
- Euh..... Oui. Lui dis-je sans pensée au répercutions. Je pense lui avoir dit ça pour ne pas qu'il s'imagine la moindre histoire.
- T'es pas la première à me dire ça. Me répond-t-il en m'arrêtant et en me regardant avec ses grand yeux bleus. T'es très belle, aujourd'hui.
- Que aujourd'hui ?
- Oui, hier t'était pas ouf.
- Couillon. Dis je en rigolant.

Sans faire attention, je remarque que Louis et moi nous nous sommes très vite rapproché. Tellement que je peux voir, un tout petit grain de beauté sur sa joue gauche.

L I A ROù les histoires vivent. Découvrez maintenant