[Infos importantes à la fin du chapitre, veuillez les lire svp, prenez un peu de temps pour lire si le cœur vous en dit c'est important pour moi, merci d'avance et bonne lecture !]
PDV Gwendoline
Tenant les pans horriblement gênants de ma robe pour marcher en me dirigeant vers Hanji, Livai et Erwin, je leurs adresse un fin sourire en désignant d'un simple geste de main l'enregistreur accroché au ruban autour de ma jambe pour leur prouver que j'avais mené cette mission à bien. Alors que Hanji était à deux doigts d'hurler de joie en sautillant; notre très cher Livai colle sa main sur la bouche de la scientifique et la tient bien de sorte à ce qu'elle ne fasse pas de bruits qui pourrait réveiller l'entièreté du bataillon et attirer ainsi quelques petits curieux pas du tout bienvenue dans un moment aussi crucial et délicat. Si jamais on tombait sur eux et qu'on posait des question ou que même si l'un des supérieurs que sont moi, Livai, Hanji ainsi que mon beau et grand blond Erwin avaient l'air même le temps d'un instant; un impossible traître pourrait nous attirer des ennuis. Sauf qu'il en est hors de questions vu ce que j'ai du faire aujourd'hui pour ces preuves. Rah rien qu'a m'en souvenir j'en ai des hauts le cœur et des frissons, seigneur. Cependant ceux-ci s'effacent rapidement quand j'atterris dans les bras et contre le torse de mon major qui me serre contre lui en respirant l'odeur de mes cheveux comme pour se rassurer que oui je suis bien de retour. Je crois que même si la menace n'était pas comparable à celle que représente les titans; il a du bien avoir peur que le prince me fasse du mal ou qu'il découvre la supercherie ce qui aurait très certainement mener à une mort.
- Merci mon dieu tu es de retour... Soupire-t-il en embrassant mon front sous un soupir de bonheur de ma part. - Je suis là, tout va bien amour. Le rassurais-je en embrassant sa joue mal rasé.
- Bon c'est pas que vous retrouvailles m'ennuient mais on peut bouger ? Histoire que je lâche l'autre folle qui me mord comme un chien enragé pour que je la lâche. Dit Livai blasé en tenant Hanji qui visiblement le mordait bel et bien pour qu'il la libère ayant compris qu'elle devait se taire pour une fois.Avec Erwin nous pouffons de rire légèrement avant d'hocher la tête avant de monter dans le bureau du major. Mais avant cela on se sépare, pendant que je pars enfiler mon uniforme du bataillon bien plus discret et confortable, les trois autres partent dans le bureau d'Erwin ou je les rejoins le plus discrètement possible.
PDV extérieur
Assis tout les trois calmes autour du bureau ou repose cet objet qui contient nos preuves, l'excitation mais aussi l'angoisse d'être à porter de mains de pouvoir renversé ce prince et ce roi meurtriers, menteurs et trompeurs en relavant l'effroyable vérité que récite à voix basse Gwendoline sous les yeux grands ouverts choqués de cette révélation dont ils n'avaient pas vraiment estimé la grandeur de ces informations si facilement dérobées de la bouche du prince lui-même, qu'on entend et reconnait d'ailleurs parfaitement lors de l'écoute. Certes nos quatre gradés risquaient gros en ayant pigé le prince pour le faire accuser d'un crime qu'il avait bel et bien commit. Mais cela leurs importer peu, leur seul but était d'essayer de faire en sorte donner au peuple un roi ou une reine tel Historia premièrement légitime et deuxièmement qui sera en mesure de les écouter ainsi que de répondre à leurs attentes le plus possible. Est-ce une simple utopie ou tous serait heureux malgré tout ? Non. Une utopie serait composée en plus de la disparation totale des titans, cependant si le bataillon pouffait arranger les choses du coté des murs en aidant le peuple, cela serait retirer une grande souffrance du monde ou des innocents sont punis, des enfants meurent de faim dans les bras de leurs parents impuissants et d'un système politique corrompu. C'est cette pensée qui alimente la motivation sans crainte apparente des gradés.
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Nous deux, à jamais. |OC X Erwin Smith|
FanfictionSur une branche, attendait une jeune femme au regard noisette. Équipée telle une soldate, elle s'envole tel un oiseau avec ses câbles de fer pour rejoindre un grand homme aux sourcils épais. - À la vie, à la mort...Caporal-chef Rosyana. - À la mort...