Chapitre 18

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Point de vue: Elya Kinoui

Le soleil me faisait mal aux yeux, je mis ma tête dans mon oreiller pour cacher mon visage de cette forte lumière. Je me réveilla quelques instants après. J'étais dans mon lit, pourtant, à la fin de mon rêve, qui d'ailleurs me fait rougir rien qu'en y repensant, j'étais encore sur le canapé avec Aomine. Je n'étais quand même pas somnambule, si ?Je vis un petit papier à côté de ma table de chevet. Je le pris et le lis.

" Non tu n'es pas somnambule, je t'es simplement déposer ici quand je me suis réveillé :) "

Je souris face à ce mot. Il savait à quoi j'allais penser en me réveillant. Je me leva difficilement et partit dans mon salon pour me préparer de quoi déjeuner. Arrivé dans mon salon, je me dirigea près de mon canapé pour prendre la télécommande et l'allumer quand...

Moi: Aaaahhhh !

Aomine: Crie pas comme ça...

Moi: Tu n'as pas marquer que tu étais resté en même temps !

Aomine: Avoues que tu croyais être somnambule au moins.

Il rigolait. Il savait très bien que c'était vrai. Je ne répondit donc pas et partit me faire griller des tartines. je me redirigea ensuite vers le canapé où était toujours Aomine. Il regardait avec envie mes tartines grillées, sans me rendre compte, il m'en avait déjà piqué une, et en avait déjà avalé la moitié.

Moi: Non mais oh ! Déjà que je t'accepte ici, tu pourrais au moins demander avant de me la piquer.

Aomine: Mmh, nan.

Moi: Je vais la reprendre alors.

Une course poursuite dans la maison se fit. Je voulais a tout prix retrouver ma tartine. Alors je lui sauta d'un coup sur son dos. Il fut surpris mais rigola. Même avec un handicap majeur, c'est a dire, moi sur son dos, il ne lâchait pas cette satané tartine.

Moi: Donne là moi maintenant ! Je ne blague plus.

Aomine: Le petit bébé va bouder ?

Moi: Donne ou je te fou dehors toi et tes affaires.

Aomine: Tu n'oserais pas.

Moi: Ça doit être bien d'être en caleçon et t-shirt dehors.

Aomine: Élya... On sait toi et moi que tu ne le feras pas.

Moi: On parie ?

Je descendis de son dos et partis ramasser son pull et son pantalon. Je me dirigea à l'entrée de mon appartement, ouvris la porte et déposa les affaires d'Aomine sur le pallier. Le sentant courir, je me dépêcha de fermer la porte, évidemment à clé. Il s'écrasa lamentablement sur la porte. Je ne pus échapper un rire sortir de ma bouche mais quand je vis le regard d'Aomine, je partis le plus vite possible.

Aomine: Donne moi ces clés !

Moi: Mmh. Non.

Aomine: C'est comme tu voudras.

La course poursuite reprit. Seulement les rôles et l'objet de convoitise avait changer. Alors que je m'apprêtais à monter les escaliers, Aomine me sauta littéralement dessus. Sous l'effet de la surprise, je m'écrasa au sol dans un bruit sourd. Il avait osé.

𝘖𝘯 𝘺 𝘢𝘳𝘳𝘪𝘷𝘦𝘳𝘢 - 𝔎𝔲𝔯𝔬𝔨𝔬 𝔑𝔬 𝔅𝔞𝔰𝔲𝔨𝔢 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant