Les dieux peuvent parfois bien n'en faire qu'à leur tête.
De leur proche chef, par leur seul décision, ceux ci peuvent décider de reprendre les files du destin et les tricotés d'une nouvelle manière. Modifier la première histoire pour en dessiner...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
━━━━━━━━
Après cette longue discussion attrayante en compagnie de Mal, je décide en sortant de ses appartements d'aller prendre l'air quelques instants dehors.
Je suis alors le grand couloir pour enfin arrivé à la large porte d'entrée et la traverser d'un pas vif. Sur les marches faisant face à la grande porte, je m'arrête et prend une grande bouffé d'air frais. Mes yeux fermés un instant, je profite de la légère brise fraîche qui tape mes joues pour me refroidir.
J'avais besoin d'un petit coup de frais soudainement, à présent mon esprit semble plus clair.
Alors que j'allais me retourner pour rentrer et aller me préparer à la sortie où m'a invité Mal, je remarque une silhouette un peu plus loin entre les buissons fleuris. Je reconnais sans mal le propriétaire de ses mèches caramels.
Après quelques hésitations, je décide de m'approcher de celui ci à pas de velours. Mais même avec ma plus grande discrétion, il remarque sans mal ma présence et n'a même pas besoin de se retourner pour m'interpeller.
"- venu admirer les fleurséclosent ? Demanda t-il soudainement d'une voix comme amusée, toujours tourner vers les parterre de fleurs.
- on peut dire ça comme ça, j'avais besoin de prendre l'air. ."
Un silence s'installa, seul les chants des oiseaux installés dans des arbres voisins se faisaient entendre. Yeosang s'abaissa doucement vers l'un des buissons fleuris et caressa de ses doigts lentement les pétales d'une rose rouge. Je le regardais faire sans rien dire, admirant chacun de ses gestes. Ses yeux avaient une étrange lueur lorsqu'ils se posaient sur l'un des bourgeons.
"- vous semblez apprécier les fleurs. Soufflai je en continuant de le regarder si intéresser par ces pétales.
- s'il vous plaît, tutoyez moi. Nous devrions devenir bons amis non ? Souri t-il en se relevant.
- très bien, très bien. Alorsfais en de même. Haussai je les épaules sans débattre plus que ça.
- voudrais tu m'accompagner un peu dans le jardin ? Proposa t-il soudainement."
Je hocha la tête positivement et il m'invita à marcher sur la petit allée de pierre traversant en plusieurs sens l'étendu verdâtre qu'est la propriété. Nous marchons côte à côte silencieux, Yeosang avait la tête tourné toujours vers les fleurs pendant que la mienne regardait le sol, gêné par ce silence pesant.
Je ne sais pas non plus comment engendrer la discussion avec lui. Yeosang semble être quelqu'un d'absolument gentil, c'est ce que me fait comprendre ses manières et le traitement qu'il m'a offert hier soir dès notre rencontré. Je suppose qu'il suis simplement l'étiquette et la politesse qu'on a du lui apprendre pendant son enfance, mais je reste tout de même gêner. Comme je viens du "monde moderne", ce niveau de politesse n'existe pas et je ne suis alors pas habitué à voir ça. D'où je viens c'est limite si les hommes ont l'amabilités de tenir la porte derrière eux. Mais pour ce qui est de laisser passer les femmes devant, complimenter ou même justement, pousser la chaise il faut oublier. Je suppose que ça dépend aussi de l'époque, ici c'est normal de le faire. Et puis je serai sûrement encore plus gêné si on faisait ça au restaurant..
