LA CHACALA SENEGALAISE😈😈

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Dans la peau de Fatou (La chacala)

Je transpirais à grosses gouttes, je vous jure que j'ai peur de me faire prendre. Vous savez pourquoi ? Et bien je suis sur le point de découvrir le secret de maman Fama, enfin je veux dire le secret de la chambre secrète. J'avais la main sur le loquet de la porte quand...

??: Qu'est ce que tu fais là?

Je me suis retournée et c'était maman Fama.

Zut alors, j'ai pas de chance.

Moi: Moi? Et bien je-je je cherchais Sweety oui c'est ça je cherchais Sweety.

Et heureusement je ne sais par quel miracle il est tombé sur moi.

Vous vous demandez sûrement qui est Sweety. Et bien c'est le chat de maman Fama, elle l'appelle Lucifer mais moi je préfère Sweety.
Donc je disais, je ne sais où il était mais il m'est tombé dessus et je peux dire qu'il m'a sauvé cette fois.

Maman Fama: Heho!

Moi: Euh oui tu disais.

Maman Fama: Évite cette pièce si tu veux vraiment garder tes pouvoirs.

Moi:  D'accord j'ai compris ma maman chérie. Ça ne se reproduira plus (en lui faisant un câlin)

Je me dirigeais vers ma chambre après ces mots mais je remarque aussi que Lucifer ou Sweety -ce que vous voulez- me suivait. Je déteste ce chat et en plus il est très très moche en plus il est trèèèès noir et a les yeux rouges sang. J'ai jamais vu un chat pareil, vous peut-être.

[...]

Astou: ki nou mako diepè
(Celle là comme la déteste)

Awa: kholko rek. Degoul wolof meunoul togg meunoul wakhtane ak Aÿ wadiouram. Ki mom dafa siss

(Regarde la. Elle ne comprends pas le wolof, elle ne sait ni cuisiner, ni même tenir une discussion avec sa famille. Elle est trop méchante)

Je les voyais me regarder en parlant mais je ne comprenais pas ce qu'elles disaient. Mais je sais une chose, c'est de moi qu'elles parlent et ça elles vont me le payer.

Ces filles ne sont personnes d'autres que les nièces de mon papou adoré.

Fa Binta: Craignez Dieu ! Quelqu'un qui ne vous a rien fait et vous restez là à parler sur elle parce que vous savez pertinemment qu'elle ne comprend pas ce que vous dîtes. C'est ça baissez la tête, tccchhhuurrrr même pas honte.

Comme je vous l'ai dit, je savais que c'est de moi qu'elles parlaient.
Attendez très chères, je vais me venger😈😏.

Comme vous le savez, j'aime personne mais Fa Binta est quelqu'un que je tolère beaucoup. Elle n'est pas hypocrite et est très gentille. La seule parmi mes cousines, qui m'est bien accueillis.

Mais bon là j'ai une vengeance à préparer contre ces sottes.

Une fois dans ma chambre, je veux dire la chambre qui m'est attribuée dans la maison familiale de mon père -je suis venue y passer la journée sur les supplications de mon père- je ferme tout et dispose mes matériels.

Moi: Pitim patam pitim patam, oncle Luci, venge moi. Je veux humilier mes deux saletés de cousines. Pitim patam pitim patam(en soufflant sur les deux bougies que j'ai allumé plus tôt)

??: AAAAAHHH soubhanallah!!

J'ai immédiatement commencé à sourire. Je vois bien que mes pouvoirs sont toujours aussi puissants. Huuum j'adore. J'adore être méchante, j'adore le malheur des autres et surtout j'adore le feu. Ah ah ah! Ah ah ah.

??: AIDEZ NOUS S'IL VOUS PLAÎT

Je suis descendu voir ce qui se passait et j'y ai trouvé tous les membres de la famille. Même cette Rouba et mon papou.

Astou ( en se déshabillant): Sniff aidez moi s'il vous plaît. Mon corps, mon corps me brûle. Au feu! Woy aidez moi.

Awa: AIDEZ-MOI. WOY SAMA YARAM (mon corps), ÇA BRÛLE.
SOUBHANALLAH À L'AIDE.

Oh-mon-Luci je suis trop trop con-ten-te.

Mon père: Mais qu'est ce qu'il se passe?

Personne n'a répondu, trop occupé à regarder ces deux mégères.

Je souriais quand mon regard a croisé celui de maman, enfin je veux dire celui de Rouba. Elle s'est aussitôt approchée de moi et m'a tiré par les bras.

Rouba: Je suis sûre que ce qui arrive aux filles est de ta faute.
Mais qu'est ce qu'il te prend à la fin?!!

Moi: Eh!! Ça suffit. Ça ne te concerne aucunement. Mêle toi de tes oignons.

Rouba: Tu peux me faire ce que bon te sembles mais ne t'avise pas de toucher aux membres de la famille!!! Je crois que je t'ai trop laissé faire.

Puis elle est partie. Je n'avais pas les mots. Depuis quand elle s'est rebellée. Il faut que j'en parle à maman Fama. Mais pour l'instant je crois que je vais libérer mes idiotes de cousine. Elles ont compris la leçon. Enfin, je crois.

Dans la peau de Fama

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