Chapitre 38

16 2 0
                                    

Bradley

J'avais l'impression que ça faisait une éternité que j' était assis dans la salle d'attente de l'hôpital.  Je ne tenais pratiquement plus en place. J'étais stressé, nerveux, et en colère.
Pour la énième fois je passais ma main nerveusement dans mes cheveux.

Depuis lizy, je ne supportais plus les hôpitaux. C'est devenu un endroit de stresse permanent pour moi.
Je sentis une main se posé sur mon épaules et je tournais la tête vers Antoine.

-tous va bien se passer. Me dit-il d' une voix réconfortante.

Je ne dis rien et baisse la tête, repensent à la façon dont je j'avais retrouvé jordanne.

Quand moi et Tony, Sommes arrivés à l'adresse donné pas sacha, la police n'était pas encore arrivé.
Ce n'était qu'une question de minute avant qu'ils n'arrivent, mais je ne pouvais pas attendre. Jordanne était à l'intérieur entre les mains de ce type et dieu seul sait ce qu'il était entrain de lui faire.

-Qu'est-ce qu'on fait monsieur ?

-On entre.

D'un aire entendu, Tony avait sorti son arme.
Le mien a l'arrière dans ma ceinture, ont pénétraient la demeure.
Visiblement il était sûr qu'on n'allait pas les trouver puisqu' il n'y avait aucun garde à l'extérieur.
Par contre il y avait la lumière à l'intérieur.

À l'aide d'une épingle, Tony avait réussi à forcé la serrure.
Une fois à l'intérieur ,  les chose c'était passé très vite.
Des coups de feu s'étaient mit à retentir dans tous les sens .
Tony réussit à blesser l'un des gars d'ivanov au ventre.
Au loin, j'entendais déjà les sirènes des voitures de police approchées et j'aperçu ivanov et deux de ses garq courant vers l'étage.
Sans réfléchir, je les est couru après et c'est ainsi que je tombais sur la scène la plus exécrable qui m'avait été donner de voir.
Jordanne dénudée,  immobilière sur le lit, se débattant de toute ses forces, et lui derrière elle, s'apprêtant à la violé.

La hargne au ventre, j'avais pointé mon arme sur lui, mon doigt frôlant dangereusement la détente.

Putain ! Je n'avais jamais t'en eu envie de buter quelqu'un qu'à ce instant précis.

-Eloigne toi d'elle pauvre taré !

Il s'était retourné, son souri diabolique sur la face.
J'avais bien envie de lui en coller une, rien que pour le lui faire ravaler.
Mais avant que je puisse faire un mouvement, la police était là.

Pendant que la police se chargeait de menotter ivanov et ses acolytes , je m'étais précipité aux prés de Jordanne.
La couvrant de ma veste, j'avais pris son visage en coupe entre mes mains et quand mes yeux étaient tombé sur son visage meurtri , ma poitrine s'était serré tellement que j'avais cru un moment, ne plus pouvoir respirer.

Le bâtard l'avait battu !

-C'est vous qui accompagné la jeune fille qui a été battu ?

Je revenais brutalement au moment présent.

-Oui ! Comment elle va ? Je dis en me levant.

-être vous de la famille?

Je devisageait hésitant la femme médecin en face de moi.

-C'est sa petite amie. Répondit Anto a ma place. Je ne relève pas sa réponse.

- la passiente est arrivée avec une côte cassé et une commotion cérébral. Elle fessait aussi une hémorragie interne, on a du l'emmener d'urgence au bloc. Mais à présent, tous va bien, elle est en salle de réveil. Vous pouvez aller la voir.

Waynes :mon diamant noir TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant